Le Premier ministre, Dr Choguel Kokalla Maïga, face à la presse ce lundi 13 mai 2023 au Centre International de Conférence de Bamako, a procédé au lancement officiel des activités de vulgarisation du Projet de Nouvelle Constitution. C’était en présence du ministre d’Etat, le colonel Abdoulaye Maïga, de plusieurs membres du gouvernement, et les faîtières de la presse.
Le 18 juin 2023, les maliens se rendront dans les urnes pour voter ‘Pour’ ou ‘Contre’ la nouvelle loi fondamentale du pays. En vue d’une meilleure compréhension du contenu du document portant Projet de nouvelle Constitution proposé aux maliens, et assurer une participation majeure pour son adoption via le référendum prévu le 18 juin prochain sur toute l’étendue du territoire et dans les représentations diplomatiques et consulaires, les hautes autorités ont instruit sa vulgarisation et son appropriation par l’ensemble du peuple malien. A cette fin, le gouvernement a entrepris des activités d’appropriation dont le lancement officiel, a été effectué ce jour, couplé avec la première session à l’intention des acteurs de la presse et des médias, elles vont se déroulées du 15 au 30 mai 2023 sur l’ensemble du territoire et dans les pays de forte concentration des Maliens établis à l’extérieur, a fait savoir le ministre en charge de la Refondation de l’Etat, Ibrahim Ikassa Maïga .
Introduisant la rencontre en rappelant l’ensemble du processus ayant conduit à l’élaboration du document jusqu’ à sa finalisation, le ministre Ibrahim Ikassa Maïga dira : « Et, jamais le processus d’élaboration d’une Constitution au Mali n’a été autant inclusif et participatif, que celui que nous vivons aujourd’hui. partager le contenu novateur et fécond du projet de Constitution, à travers débats, forums populaires, meetings, conférences, émissions médiatiques, dans toutes les langues nationales. ». Cette nouvelle phase est consacrée à la vulgarisation et de dissémination du texte au peuple pour son appropriation dans un esprit inclusif et participatif, a souligné le ministre de la Refondation. Notant que depuis le 15 mars dernier, il a été instruit un Comité de pilotage de la stratégie de vulgarisation du projet de Constitution, composé d’une Commission interministérielle d’orientation stratégique et une Cellule de coordination, en charge d’élaborer, de valider et de mettre en œuvre la conception scientifique et pédagogique des documents de référence et d’assurer l’organisation matériel et l’encadrement sécuritaire des activités, s’est attelé dès sa mise en place à l’exécution de sa mission. A ce titre, il a consulté et échanger avec l’ensemble des forces vives de la Nation sur le projet.
Revenant au programme de vulgarisation annoncé, il est prévu trois sessions d’appropriation à l’intention des forces vives de Bamako, des séances dans les casernes et garnisons, dans les écoles ainsi que dans les universités en plus des missions annoncées dans les régions et à l’extérieur du pays. Des sessions qui seront membres du gouvernement, les ambassadeurs et les experts de la Cellule de coordination.
Khadydiatou SANOGO/Maliweb.net
From information I have examined I believe Malian Transitional Government promoting of our new Constitution is properly managed plus results will be determined by Malian people wisdom. Whether they like it or not past twenty years should have convinced them we must position ourselves to at varying speeds evolve. Sometimes by quick plus temporary means plus other times by step plus stages highly scrutinized detail method. Our security condition alone ascertain we must have secular governance that possess sovereignty to give us as nation with laws freedom to fittingly act in our best interest. We will need even more to be able to instantly evolve to meet challenges of unstoppable accelerating Global Warming. As we have found governance adhering to foreign religions of Christianity, Islam plus Hinduism are not suitable for determining management of condition however, secularism with sovereignty allow them all to exist plus promote Negroid African ingenuity we must possess plus constantly reorganize to combat challenges of Global Warming plus comfortably live. That is condition above how we live now plus it is best humans under unstoppable accelerating Global Warming may live. More we desert misleading cleverness of ways of colonialism plus Stockholm Syndrome more we will awaken Negroid African ingenuity we must possess plus is available if we allow it to be all it should be for us.
Henry Author Price Jr aka Kankan
Coulibaly Yacoube tu escamotes l’histoire de notre nation, dommage! Tu ne dis pas la verite sur la periode Modibo Keita car pendant cette periode la gouvernance vertueuse existait, tu as bien décrit la tyrannie de GMT mais tu ne dis pas la verite sur la periode de la democratie a partir de 1991-2020. Demandes-toi pourquoi Alpha Omar Konare, Amadou Toumani Toure et Boua le ventru IBK ont tous voulu changer la Constitution de 1992 la xerox-copie de la Constitution de 1958 de la maudite France?
Oui, nous sommes d’accord pour cette nouvelle constitution, mais force est de reconnaitre que nos coups d’états n’ont jamais été liés aux insuffisances de ns constitutions passées, nos coups d’états sont liés plutôt aux mauvaises applications de ces constitutions point barre. Retenons que le premier coup d’état de 1968 était dû à la mauvaise gestion du pays et quand Modibo KEITA croyait à son socialisme, ses acolytes faisaient autres choses en affamant le pauvre peuple malien qui n’avait même plus de quoi à se mettre sous la dent, c’est dans cette situation désastreuse que Moussa TRAORE à l’époque homme de confiance du Président, a surgit de façon incognito pour poser son acte contre le régime le 19 novembre 1968. Ainsi, une nouvelle constitution fut mise en place en juin 1974.
Quant au deuxième coup d’état, il est survenu en mars 1991 lorsque le peuple était à bout de souffle après 23 ans de dictature sans partage à l’orée de cette ère démocratique où les acteurs du mouvement démocratique ont fait soulever le peuple malien qui agonisait et qui ne croyait plus à rien, ainsi le pouvoir de Moussa TRAORE a chuté le 26 mars 1991; une nouvelle constitution a été concocté en février 1992, celle-là a géré le pays jusqu’au coup d’état d’aout 2020 qui vient d’être contestée et remise en cause et qui sera certainement remplacée par une nouvelle constitution qui verra le jour très prochainement si tout marche bien. Ce qui reste certain, la première constitution du 22 septembre 1960 peut encore gérer le Mali si le pays était doté d’hommes et de femmes bien réfléchis et bien éclairés car aucun coup d’état ne peut mettre en cause nos différentes constitutions pour le fonctionnement et la gestion du pays depuis 1960. C’est le comportement des hommes et des femmes qui sont en cause et non le contenu de nos constitutions. Prions très fortement afin que cette nouvelle constitution soit la bonne.
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