Un homme qui crie n’est pas un ours qui danse disait A. Césaire, dans un tout autre contexte aussi tragique, les enfants de la ville de Gao qui sortent en masse pour affronter à mains nues l’occupant jihadiste sans foi ni loi de surcroit drogué et surarmé, ces enfants là ne ressemblent pas à des ours qui dansent. Non cela n’est pas du folklore. Ces enfants ont bien vu hier certains de leurs camarades tués, tombés sous les balles assassines des apatrides du MNLA, d’Ansar Eddine, des affreux du MUJAO, d’AQMI, Ansar Charia et autre Boko Haram. Ces enfants ont bien vu leur ville se vidée à l’arrivée de ces sauvages sanguinaires, des gens venus du fond des âges. Les porteurs d’uniforme, les fonctionnaires, commerçants, artisans et même les parents sont tous sortis les abandonnant à leur sort, pas par lâcheté mais c’est parce que ce sont les règles de la guerre. Ces enfants qui sont restés, très souvent forcés, parce que sans ressources et les jeunes qui ont créé les mouvements Ganda Koy et Ganda Izo avec des moyens dérisoires ont tout simplement refusé la forfaiture, l’humiliation que voulaient nous imposer nos frères qui ne savent que tirer dans le dos.
Le Ganda Koy et le Ganda Izo ne sont autre chose que l’expression de la révolte d’une population qui veut rester débout et digne malgré les circonstances défavorables. Ce sont nos enfants, les enfants maliens, qui ont pris des initiatives opportunes et adaptées pour résister aux envahisseurs barbares, narcotrafiquants et terroristes de tous poils. Il mérite du respect de tous, et surtout de ceux qui ont le devoir de les protéger.
En ces temps troubles où nos valeurs se perdent dans des débordements incontrôlés, sachons garder notre lucidité et évitons une autoflagélation qui, à bien des égards, ne nous grandi point.
L’exemple des grandes actions prouve que si grand, si pur, si difficile que soit le devoir, il n’est pas impossible de l’accomplir. L’Intifada des jeunes de la Palestine meurtrie, considérée à juste comme un acte d’honneur et de bravoure, est une illustration de ce qu’est le devoir sans prétention aucune, le refus d’abdiquer devant l’adversité si puissante et si cruelle qu’elle soit. C’est l’essence de ces mouvements de jeunesse qui ont surgis partout au Mali sous diverses appellations. Cette jeunesse qui est le concentré des valeurs positives de notre peuple mérite respect et considération. C’est loin d’être du Folklore Monsieur le Président.
Rendons les hommage ainsi qu’à tous ceux militaires et civils qui d’une manière et d’une autre ont posé des actes pour que nous retrouvions notre liberté et note dignité.
Vive le Mali, un et indivisible.
Aliou I. MAIGA
Niamana – Bko
Sale arabe va te faire foutre l’arabe le plus dégueulasse des arabes c’est l’algérien il y’a pas plus maudit que les algériens. Voyez dieu vous a tout donné à travers votre sous sol mais regardez comme le Maroc est 10. 000 fois plus développé que vous car vous n’avez pas de cervelle sales arabes qui puent
Et toi un réfugié dans le camp de bassikounou .Ah bon vous mangez maintenant la sardine.Tu connais bien le Gandakoye.Quittez chez nous allez régler vos affaires de viols au Mali, ne nous apportez pas vos péchés.
gnda izo et ganda koye ont aussi fuit a l’entreé des islamiste. ils ne sont et ne seront que des negres et esclaves noirs comme tous les maliens fuillards et exlaves des français . vive l’azawad et des camikaze jusqua la fin pour que le mali ne va pas en avant pour jamais. a bas les negres vive l’azaad
Le avancera et tu le verra espèces d’égoïste nous préférons être les esclaves des français que sous la joug des faux musulmans comme ton espèce. Tu verras le Mali à vie où à trépas
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