Moeurs : Les DVCD à l’attaque !

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Minijupes au vent, faisant admirer leurs belles jambes juvéniles, ou jeans serrés au ras de fesses impudiques, les DVCD ou filles au dos, ventre et cuisses dehors envahissent notre quotidien. Ces jeunes filles modernes, se promener presque nues,  une façon de vivre avec son temps, de se sentir femmes, de jouir de la vie à belles dents, malgré les tabous et les pesanteurs sociales.

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La nouvelle fille malienne libérée des mœurs anciennes, vaccinée et sacrément moderne offre sa nudité au tout venant dos, ventre, cuisses et poitrine dénudés.

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Minijupes au vent, faisant admirer leurs belles jambes juvéniles, ou jeans serrés au ras de fesses impudiques, les DVCD ou filles au dos, ventre et cuisses dehors envahissent notre quotidien. Même si vous êtes un ecclésiaste, un moine ayant fait vœu de chasteté ou un imam de l’Amupi, l’association religieuse musulmane, il vous sera impossible de ne pas voir leurs corps impudiques tellement ils agressent ou s’imposent avec une provocation savamment orchestrée aux regards masculins.Tant d’innocence feinte, de faux naturel dans l’exhibition éhontée de tant d’avantages féminins fait redoubler l’instinct égrillard sinon la concupiscence du gente mâle. Beaucoup de gens avouent qu’il est difficile de toujours fermer les yeux pour échapper à la convoitise avec tant de beaux corps offerts à profusion. Le signe de ralliement de la nouvelle fille malienne libérée des mœurs anciennes, vaccinée et sacrément moderne, outre sa nudité offerte au tout venant dos, ventre, cuisses et poitrine dénudés, c’est le téléphone portable.

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Un instrument ludique et très pratique qui accroche infailliblement les candidats à la tentation. Pour beaucoup de ces jeunes filles modernes, se promener presque nues est une façon de vivre avec son temps, de se sentir femmes, de jouir de la vie à belles dents, malgré les tabous et les pesanteurs sociales. Ne dit-on pas qu’ « il faut que bien que jeunesse se passe ? »Dans certaines familles cela se passe plutôt mal pour ces filles traitées de dévergondées, de demi prostituées. A cause certainement du comportement  de celles d’entre elles qui font une véritable chasse à l’homme. Ceux qui sont séduits par ces Diane chasseresses sont comptabilisés comme des trophées, immortalisés parfois dans des clips affriolants tournés avec elles sur leur portable. Il arrive qu’elles échangent ces films à la limite du porno ou carrément « hard ».

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Personne ne peut plus canaliser sa fille

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Dans les familles où l’éducation est encore d’actualité et stricte, les filles ne peuvent s’habiller n’importe comment. Elles sont tenues aux usages que le respect et la pudeur recommandent dans leur habillement. Même si une partie de leur corps est dénudée, cela doit se faire parcimonieusement, de façon à ne pas heurter de front la morale, provoquer les hommes, bref indisposer l’entourage. Celles qui s’entêtent risquent au moins des châtiments corporels de la part de leurs parents, des âmes bien pensantes qui croient qu’ils sont encore gardiens vigilants de leur bonne moralité. Au pire, elles peuvent-être chassées, excommuniées par ces parents intraitables qui en font « la honte de la famille.»D’autres parents ont démissionné depuis longtemps devant la déferlante en clamant leur impuissance par ce constat révélateur : « personne ne peut plus canaliser sa fille ! »

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Ce courant à priori irrésistible est entrain de pervertir et de noyer les bonnes mœurs de la jeune fille malienne dans les villes. C’ est un phénomène de mode fabriqué de toute pièce sous l’influence des télé films occidentaux français, américains, brésiliens, mexicains, péruviens et les clips musicaux où la nudité des filles est filmée de manière incroyable au travers de vêtements osés qui déshabillent plutôt qu’ils n’habillent ces créatures, des tentations personnifiées.Ici comme partout en Afrique, il s’est créé un phénomène d’identification, de mimétisme aux héroïnes sulfureuses de ces films et clips. Au-delà de la tenue vestimentaire de nos filles déshabillées ce sont les bonnes mœurs féminines qui sont mise à nues, nos valeurs de respect et de considération à l’égard de la femme en général qui sont touchées. Car ces filles qui s’habillent « osé » sautent facilement le pas en banalisant le sexe, tout comme dans les séries télévisées en question dont toute la famille raffole, sauf les rares parents qui ont choisi de les censurer.

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Les jeunes filles attendent le geste du Tigre

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Cela n’empêche pas les filles accroc de  contourner l’interdit en allant se délecter du plein de scènes grivoises chez le voisin ou la copine d’à côté. De même elles camouflent leurs tenues préférées sous un pagne anodin, et une fois loin de la maison et des foudres parentales, elles offrent leur nudité, dos, ventre, cuisses et poitrine dehors, aux yeux intéressés des hommes. Certains, comme le tigre aimant la chair fraîche, n’hésitent pas à racoler à leur tour ces jeunes filles impudiquement déshabillées. D’ailleurs, elles n’attendent que ce geste.Le mouvement n’est pas prêt de s’arrêter en si bon chemin. Même dans les écoles et les universités la vague a fait sauter depuis longtemps les digues de la décence.

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A se demander comment les profs assiégés réussissent à faire leurs cours et à ne pas perdre la tête, tant les filles poussent au crime par des tenues perverses. On se croirait dans des hauts lieux de streap-tease, malgré    l’obligation dans certaines institutions de la tenue scolaire réglementaire. Comme tous les éducateurs ne sont pas des saints, loin de là, on connaît la suite.Si beaucoup d’hommes voudraient profiter de ces pauvres filles acculturées perdues dans la facilité, peu accepteraient d’en faire leur épouse légitime et la mère de leurs enfants. C’est tout dire.La mode déshabillée des jeunes filles pose actuellement un grand défi à nos valeurs traditionnelles et au respect de la personnalité féminine.Oumar Coulibaly

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Les filles “libérées-forcées”

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L’exhibitionnisme, le m’as-tu vu, sont des attitudes nouvelles chez les jeunes filles maliennes. Ces « libérées-forcées » attirent irrésistiblement les regards, pas toujours flatteurs. Elles jouent à provoquer, à déshabiller savamment ou vulgairement leur corps plutôt qu’à se vêtir avec une grâce naturelle, comme les jeunes filles en ont encore l’habitude dans nos campagnes.Les filles d’autrefois étaient prudes, pudiques et réservées. Il en existe encore des exemples de ces perles rares dans les grandes villes. Mais sont-elles désirées par les garçons folâtres adeptes du « consommer-jeter » ?L éternel féminin avec ses artifices et atours naturels semble bien avoir changé de dénominateur commun et de cap chez les jeunes filles de maintenant, ces séductrices précoces qui ont l’art et la manière de faire feu de tout bois.Dans notre société de consommation, les canons de la mode occidentale la plus dévergondée s’imposent avec une facilité déconcertante, comme s’il n’y a jamais eu de garde-fous à ces excès vestimentaires des filles.Notre monde a vraiment changé, de même la mentalité de la jeunesse qui n’est pas loin de considérer définitivement les principes moraux cardinaux comme « une affaire de vieux croulants ». Nos jeunes filles de plus en plus modernisées et libérées y trouvent un bonheur artificiel.

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O.C

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