Mme Koné Fatoumata Camara est titulaire d’un Master de Business en Administration et en Gestion des Ressources Humaines à Strayer University Washington, DC. De nationalité malienne, la jeune dame quitta le continent depuis l’âge de 13 ans pour le lycée Clarkston High School et continua son cursus universitaire à Atlanta Technical College où elle obtint un DEUG en Gestion d’entreprises.
Fatoumata Camara Kone s’est beaucoup outillée dans la culture du monde des affaires aux Etats Unis à travers la Structure «Trusted Translations, Inc. Washington D.C, GMSDC Georgia Minatory Suppliers Development Council, Vector Marketing et JC PENNEY», en qualité de cadre commercial, d’interprète et d’assistante en ressources humaine.
Avec un Bag round en Anglais qui était devenu un outil de distraction, elle faisait office d’interprète indépendante aux Etats Unis, puis au Mali. «Après plus de 10 ans, j’ai décidé de rentrer au bercail, parce que le Mali est mon pays et a besoin de tous ses enfants».
Ses années d’expériences lui ont permis de vite intégré et d’acquérir l’esprit d’équipe. Actuellement Directrice pédagogique d’une grande Ecole de commerce à Bamako, elle s’oriente davantage ver le profil d’amélioration et d’appropriation du bilinguisme.
Pour tous travaux d’interprétariat et de traduction, contacter Mme Koné Fatoumata Camara au 77 28 72 73/73 53 50 03 ou par E-mail : camara.fatu@gmail.com
Souvent je ne comprend pas les maliens, ils veulent leur pays, mais ils ne veulent pas se battre pour ça, je le dis parce que jusqu’à preuve du contraire ils n’arrivent pas à s’unir comme une seule personne pour combattre l’ennemi commun qui découvre son front, contrairement à la parole de leur hymne national, ils n’ont pas pu faire respecter, pour mauvaise foi, leur constitution qui réglait entièrement leur problème d’absence du pouvoir, leur armée ne respecte pas du tout le peuple et se pavane dans ses beaux habits sans s’inquiéter de la sécurité, de ce peuple qui l’a nourri, blanchi, logé et même électrifié, le comble elle arrive à trouver encore des supporteurs parmi ce même peuple. Je comprends que l’on puisse aimer les places avec ses avantages, cela peut être humain, mais quand on a la place et pas le pays, comment fait-on? Ou quand on a la place et sans la liberté? Les maliens se plaignent de ne pas être aimé par les autres pays voisins, mais s’ils se posent la question de savoir pourquoi, ils verront que ce n’est pas la peine de se poser de telle question, parce que cela n’est pas vrai. Personne n’a aucune raison de détester le Mali, au contraire vue sa centralité chacun s’y retrouve un peu chez soi. Mais à la question des maliens que les blancs veulent leurs ressources minières, je dirais que quelque soit la situation paix ou guerre, les maliens n’ont aucune expertise pour pouvoir les exploitées, c’est toujours les blancs qui vont extraire, vendre, acheter et utiliser, dès fois même contre eux,maliens. Alors brave maliens, j’en suis un, pour une fois cessons toutes méchanceté gratuite et cherchons ce qui nous rassemble, pour ne pas voir notre pays, beau ou pas, grand ou petit, nous échapper. Après tout ce n’est que dans nos seuls intérêts et peut être de celui de nos enfants et petits enfants, sinon la France elle nous montre qu’elle défend contre vents et marées les siens, et cela est un bon exemple pour nous. Comprenons que les pays n’ont pas d’amis, mais des intérêts, si nous voulons être aimer par tout le monde alors faisons tout pour que tout le monde ait des intérêts chez nous. Sinon sachons que nous ne sommes qu’un pays pauvre sans amis, et nous n’avons que l’union sacrée à faire pour continuer à exister, à défaut nous disparaîtrons et comme nous ne sommes pas le centre du monde, le monde ne le remarquera même pas.On choisit pas son sauveur quand on se noie. Salut. beffodougou@gmail.com
Du n’importe quoi!!!
“Une figure emblématique dans la sphère des entreprises en ligne” qui se paye une publicité minable…Pourquoi ne pas acheter des encarts publicitaires dans des journaux plus “serieux”?
Mon ami réveille toi un peu ce n’est que le commencement, ce genre d’initiative est à féliciter.
La presse est un moyen de communication donné à tout le monde et libre si ce n’était pas un journal qui se lisait tu n’allait pas le voir sur Mali web (et tu n’allait pas le lire)
Tocard et pour ton info arrête de mettre des messages sur le web avec des fautes.
Mais en tant que bon Malien tu à réagi de manière négative il faut évoluer négro.
Dis moi Piqueur, tu vois combien de fautes dans ce message: “La presse est un moyen de communication donné à tout le monde et libre si ce n’était pas un journal qui se lisait tu n’allait pas le voir sur Mali web (et tu n’allait pas le lire)
Tocard et pour ton info arrête de mettre des messages sur le web avec des fautes.
Mais en tant que bon Malien tu à réagi de manière négative il faut évoluer négro.”?.
PS: Pour t’aider à corriger, quelques pistes :
– “tu n’allait pas le voir sur Mali web…”
– “tu n’allait pas le lire”
– “arrête de mettre des messages”
– “tu à réagi de…”.
Et pour finir la leçon, voici le proverbe à méditer :”Avant de regarder la paille dans l’oeil de ton voisin regarde la poutre qui est dans le tien.”.
Ceci dit Miniankaden a raison, le titre de cet article c’est du n’importe quoi. Pour être une figure emblématique, il faut être au minimum être reconnu, être une référence. Ce qui n’est pas le cas de cette dame. Et franchement je ne vois pas quel est le rapport entre la traduction et l’interprétariat avec les entreprises en ligne.
Merci d’avoir répondu à cet individu qui me fait bcp de peine tant il s’ignore!!! Je voudrais juste qu’il souligne (sans faire de fautes!) les fautes que j’aurais commises. Je me ferai un devoir de les corriger.
Merci les esprits simples.
Et bon courage pour la suite comme vous pensez que c’est comme ça que les choses avances.
Innovation est mon dernier mot.
Valable pour aussi pour toto machin chose chouette.
“les choses avancent” et non “les choses avances”. Mais bravo Piqueur tu as presque réussi à faire une phrase sans faute. Sans rancune “tièba”. 😆 😆 😆
Comments are closed.