Mauvaise qualité et cherté des produits de première nécessité : Un seul coupable, l’Association des consommateurs du Mali (ASCOMA) !

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Défendre les intérêts des consommateurs est l’objectif principal de l’Association des consommateurs du Mali (ASCOMA).

Malheureusement cela n’est plus le cas au Mali depuis belle lurette. Car,  depuis  quelques temps, l’ASCOMA est animée par des responsables peu orthodoxes. Conséquence, les consommateurs maliens broient du noir. A titre d’exemple le marché malien est envahi de toute sorte de produit aussi, en 2002 le peuple malien  a été sollicité de soutenir la réalisation des infrastructures devant abrité la CAN en achetant une bouteille de coca à 225 F CFA au lieu de 200 F CFA et après cette compétition le prix d’une bouteille de sucrerie devrait baisser. Malheureusement c’est le contraire qui s’est produit, au vu et au su de l’ASCOMA. Cela est valable pour tous les autres produits de première nécessité.

 

Selon un adage, l’homme régalé n’a point besoin d’un bon hivernage  « kônô faralé ma kot tè nyon nyèlen  la ». Cet adage sied bien avec le comportement de l’ASCOMA qui en réalité ne cherche qu’à satisfaire les intérêts de ses dirigeants plutôt que, de servir l’intérêt national. Sinon comment comprendre que, de sa création à nos jours, elle peine à poser des actes concrets. Chose qui explique le discrédit que jettent les consommateurs sur elle. La plupart de ceux-ci pensent que, l’ASCOMA est à la solde du gouvernement et des opérateurs économiques. Ils pensent également que, cette association prête plus d’attention aux revendications du patronat que celles des consommateurs.

 

Pourquoi ça ?

 

La réponse est simple, ladite association est animée par des incompétents, et des véreux qui ne pensent qu’à remplir leurs poches. Quant aux préoccupations des consommateurs, elles sont foulées au sol.

Par ailleurs, le pire est qu’au moment où l’UNTM se bat bec et ongles  pour l’amélioration des conditions de vie des travailleurs et des consommateurs, l’ASCOMA brille par son silence.

Un silence incompréhensible quant on sait que, tout est cher aujourd’hui au Mali.

Pour enfoncer le clou, le marché malien est inondé de toute sorte de produit de première nécessité.

En commune V du district de Bamako par exemple, c’est le comble total. Car, la vie des consommateurs est reléguée au second rang de la part des organisations, et des autorités qui ferment les yeux sur l’abattage clandestin des animaux.

Le phénomène a pris tellement de l’ampleur que, dans la plupart des quartiers de ladite commune, notamment ceux de Sabalibougou et de Bacodjicoroni, les animaux sont abattus en plein jour. Et aussitôt abattu, aussitôt distribué dans les marchés et les alimentations les plus huppées de la place.

Ici, chacun à son client clandestin.

 

Inutile de chercher plus loin, ils vendent moins cher. Souvent les prix sont tellement bas qu’on se demande d’où les clandestins sortent leur viande.

Certaines sources indiquent que, les clandestins sont réputés d’être les plus grands voleurs de bétails en Commune V.

En commune V, il est courant de voir les ossements d’animaux, les résidus de viande et du sang, jonchés les rues. Un fait qui rend la vie des populations désagréables à cause des odeurs nauséabondes que dégagent ces résidus et des maladies liées à des problèmes d’hygiène.

Sans parler des problèmes que peuvent causer la consommation de ces viandes incontrôlées.

 

Le plus grave est que, l’Association des consommateurs du Mali (ASCOMA) en charge de veiller sur la qualité des produits se contentent seulement des ateliers et forums.

Des sources concordantes affirment que, l’ASCOMA collabore avec certaines industries de la place, en vue de mieux sucer le sang des maliens qui n’en peuvent plus. Bien sûr moyennant des sous.

Selon  ces mêmes sources,  le département en charge est bien au courant de cette affaire de dépouillement  des populations de leurs maigres revenus.

 

 A suivre

Yacouba Dembélé  

 

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74 COMMENTAIRES

  1. Par ailleurs, le pire est qu’au moment où l’UNTM se bat bec et ongles pour l’amélioration des conditions de vie des travailleurs et des consommateurs, l’ASCOMA brille par son silence. ➡ ➡ ➡
    La solution est tout à fait simple. Il faut que nous unissions nos forces pour soutenir l’UNTM et laisser moisir cette bande d’incompétents qui ne défendent plus notre cause.

  2. l’ASCOMA est animée par des responsables peu orthodoxes 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁
    C’est très triste mais tout n’est pas perdu il faut que nous consommateurs prenions nos responsabilités car ils sont là pour notre service notre cause mais s’ils ne peuvent plus répondre à nos attentes on doit les remplacer par des personnes plus honnêtes et plus responsable.

  3. Contrairement certaines opinions sur la question de la cherté des produits de premières nécessités, le gouvernement fait beaucoup d’effort pour le bien-être de la population. Nous encourageons le gouvernement à toujours œuvrer pour le bonheur de la population malgré les difficultés.

  4. Malgré la crise que nous traversons, l’Etat n’a aménagé aucun effort à se consacrer au bien-être des citoyens. Il faut que les uns et les autres comprennent cet état de fait et encourager le gouvernement dans cette dynamique.

  5. La flambée des prix des denrées alimentaires sur le marché de jour en jour est le fait de nos commerçants malgré les efforts consentis par l’Etat. Il faut que chacun joue son rôle pour le bien-être de la population.

  6. Le défi de la cherté de la vie nous interpelle tous, mais en particulier nos commerçants. Car, ces derniers sont les premiers responsables de cette cherté de la vie. Que voudraient les efforts de l’Etat si ceux-ci n’honorent pas leurs engagements dans ce challenge ? Je dirai à RIEN. Donc que chacun respecte ses engagements dans cette lutte commune.

  7. A mon humble avis, cette situation incombe en grande partie à nos commerçants. En effet, les prix des denrées augmentent tout le temps par ces derniers malgré les efforts de l’Etat. Ils sont responsables de cette situation. A eux de jouer leur partition pour le bien-être de tous.

  8. Ne cherchons pas de bouc émissaire ce sont nos commerçants et vendeurs qui sont à la base de cette situation de cherté et de prolifération des produits malsains. Il faut donc punir par des amendes ceux qui se rendront coupables de spéculations car l’état fait déjà sa part à travers les subventions de certains produits.

  9. Cette cherté est due en partie par nous même. En effet, du jour au lendemain le prix des denrées alimentaires grimpent sans aucune raison valable. L’Etat est-il le seul responsable ? Je NON ! Il faut que chacun joue son rôle.

  10. Il faut vraiment que les autorités chargées du contrôle des prix prennent des mesures répressives contre les personnes qui ne respectent pas les prix fixés par le gouvernement et aussi ceux qui font de la concurrence déloyale.

  11. Les autorités mettront tout en oeuvre pour alléger les souffrances des Bamakois voire toute la population entière. Cependant, l’Etat lui seul peut pas tout faire. Donc, il faut que nous lui facilitons cette tâche surtout nos commerçants.

  12. Tout ne peut pas reposer sur le gouvernement car comment comprendre par exemple qu’on achète 1 kilo de tomates au paysan pour 400f et le revendre à 1000 f?
    Il faut que nous prenions les choses en main pour pousser l’ASCOMA à l’action.

  13. Les conditions sont bien remplis pour qu’on bien vivre. Prenons l’exemple les cours du carburant sont ajustés selon les cours mondiaux mais il n’y a pas répercussion sur le coût du transport. Il revient aux associations de consommateurs de mener des actions dans ce sens. Mais si ceux ci ne font pas leur travail; on ne peut que rester perplexe.

  14. Nous devons être objectifs et voir les choses en face car nous sommes nous même responsables de cette situation. Si l’ascoma ne joue pas son rôle nous devons mandater d’autres structures pour le faire.

  15. Nous sommes des spécialistes de la spéculation comment pouvons nous bien nous ne sortir.
    Malgré les normes que posent l’état concernant la fixation des prix; chaque commerçant impose le prix qui lui sied prétendant qu’il a obtenu les marchandise à un coup élevé pourtant souvent il s’agit des produits subventionnés par l’état. C’est donc normal que les choses deviennent chères. On doit forcer l’ASCOMA à l’action ou entreprendre de créer une nouvelle organisation pour défendre nos droits.

  16. Concernant la cherté de la vie, l’Etat a déployé tous les moyens possibles pour lutter contre ce phénomène malgré la crise que nous traversons. Je pense que les commerçants devraient contribuer aussi à cette lutte afin de soulager les consommateurs que nous sommes.

  17. On doit pouvoir dire que l’état subventionne les denrées de premières nécessités mais ce sont nos commerçants qui voulant se remplir les poches à tout prix ne manquent pas d’astuces pour renchérir les prix des marchandises.Il faut donc que l’Ascoma joue son rôle ou dans le cas contraire ses responsables doivent être relevé de cette tâche.

  18. Je crois que dans cette situation même si le gouvernement à une part à jouer; mais il revient aux associations des consommateurs d’entreprendre des actions en vue de dénoncer toutes augmentations injustifiées et mener des actions afin que des solutions puissent y être trouvé cependant si celle-ci est inactif on ne sait plus à quel saint se vouer.

  19. “Quotidien des Bamakois : La vie n’est pas facile ! ” dixit DK dans la parution du quotidien Tjikan.
    Effectivement, la vie n’a jamais été facile. Mais, l’Etat est entrain de mettre tout en place pour remédier à ce phénomène grandissant dans notre société. Cela ne saurait se réaliser sans la volonté de tous car nous population sommes coupables aussi de cette cherté de vie.

  20. Dans un pays qui sort d’une crise comme le nôtre,nous ne devons pas être aussi pressés pour ressentir les impacts de la croissance.
    Nous devons plutôt être patients pour permettre aux autorités de consolider cette croissance afin que les retombées soient durables.

  21. Dire que la vie est devenue plus chère avec l’arrivée du président IBK,c’est vraiment faire preuve de mauvaise foi.
    Il est venu trouver cette situation et c’est lui qui fait tout pour y apporter des solutions.
    Les maliens commencent même à ressentir les retombées de ses actions.
    Merci IBK…

  22. Il est vraiment important de reconnaitre les efforts des uns et des autres pour sortir ce pays du trou.
    Le président IBK a réussi à faire en deux ans ce que d’autres n’ont pas pu faire en deux mandats.
    Que voulez vous de plus?
    Soyez quand même honnêtes et reconnaissez les mérites de l’homme…

  23. Vous vous acharnez sur le Président et sa politique.Lui il travaille sans même vous écouter.Comprenez donc que ce que vous dites n’est pas du tout important.IBK a un seul souci: le bien être de ses compatriotes.Merci président,ton peuple te soutient. 😛 😛 😛 😛

  24. Tout ce que nous pouvons faire c’est de soutenir le président pour ce qu’il fait dans le sens du bien être des maliens.
    Et les président des syndicats de consommateurs doivent plus lutter pour le bien être de ceux qu’ils défendent.

  25. Par le biais de la corruption que subit notre pays Nous pouvons affirmer que la corruption des médias bat son plein dans ce pays. Les différents partis politiques contrôlent les médias en vue de solliciter leurs œuvres
    la vie a toujours été cher et personne ne s’est plein depuis les présidents antecedants

  26. Un pays développé c’est un pays d’abord non corrompu. Qui travaille sur les règles du chef de l’état. Si les média maliens ne travaillent pas sous les règles de la nation. Notre pays cours vers la ruine.

  27. Bonjour vous savez quoi la population malienne nous sommes des lâches sa c'est corruption qui faire que tout sa arrive et nous le peuple malien nous avions peurs de manifesté contre la corruption.pour finir ce probleme il faut manifester contre la corruption par ce que une population qui ne mange pas à sa faim,qui n'est soigner comme il le faut et qui est pas éduquer n'est pas libre le pays aussi donc mes frères et Sœurs peuple du Mali est temps de ce réveiller

  28. Je suis malien et je suis fier voir même heureux d’apprécier avec honnêteté les bienfaits de IBK. Pendant que d’autre pays souffre de martyre soyons tous fier des compétences d’IBK. C’est le meilleur.

  29. On reconnait la capacité d’un journaliste à travers ses articles et ces idées qu’il évoque.
    Vous ne dites que des mensonges, alors arrête de dire des bêtises sur l’autorité du pays.
    Les vrais ennemis du pays sont ceux qui critiquent le président et son gouvernement.
    On sait réellement que vous êtes en complicité avec certain opposant comme TIEBLE DRAME qui cherche à rendre la situation beaucoup plus difficile en critiquant IBK.
    Quand le singe veut mourir, il dit qu’il fait chaud dans la foret. Cet article montre votre faiblesse et votre incompétence dans le domaine du journalisme.

  30. Dès son arrivée au pouvoir, IBK a fait beaucoup de voyage à savoir la CHINE qui lui a offert plus de 150 milliards pour que le Mali puisse fonctionner à 100%.
    Cet argent a été répartis par tout au pays, région par région, cercle par cercle, commune par commune pour le bon fonctionnement de l’Etat

  31. IBK est l’homme de la situation, il est la solution à tous nos problèmes.
    On sait que les journalistes Maliens ne réfléchissent même pas avant de rédiger leurs articles.
    La remise des tracteurs aux paysans, et la distribution des logements sociaux ont été l’une des choses la plus importantes qu’un dirigeant Malien n’a jamais faites.

  32. Monsieur le journaliste, si vous n’avez rien à dire, mieux vaut fermer vos usines dentaires car, vous êtes en train d’embrouillés les fans de Mali web et de Mali jet. Quel pauvre journaliste, vous faites la honte de la presse Malienne.
    IBK est mieux que tes parents con.nards

  33. « En 2014, l’économie malienne a renoué avec une croissance vigoureuse, enregistrant une augmentation de 7,2% du PNB. Ce chiffre est à comparer aux résultats de 2012, année où la croissance a été nulle en raison de la crise sécuritaire », a déclaré vendredi Christian Josz, chef d’une délégation du FMI qui s’est rendue à Bamako.
    Au cours d’une conférence de presse, il a rappelé qu’en 2013 « la croissance n’a pas dépassé 1,7% à cause d’une mauvaise récolte ». Le pays avait plongé en 2012 dans une très grave crise marquée par un coup d’Etat militaire et la prise de contrôle du nord du pays par des groupes islamistes – alliés à Al-Qaïda – jusqu’au début 2013.
    Se félicitant de la confiance retrouvée entre son pays et le FMI, Mamadou Igor Diarra, le ministre malien de l’Economie, a déclaré que « le gouvernement malien était décidé à lutter contre la culture de l’impunité et à s’atteler à avoir une économie performante pour assurer le développement du Mali ».
    Alors qu’a fais le président
    Alors on constate que l’économie malienne accroît et aussi la jeunesse comm)ience à beneficier des emploi alors quel est le problème

  34. La cherté de la vie est un phénomène mondial donc ne cherchons pas à soulever des discours de sourds.
    Des mesures sont en cours sur le coût des maisons. Les propriétaires des maisons profitent pour augmenter les loyers.
    Cette cherté nous avons notre part de responsabilité dans cette histoire. Les commerçants augmentent les denrées comme ils veulent alors qu’il n’y a plus de barrages sur nos routes
    Nous venons d’une crise donc cela n’est pas facile. IBK a mis une équipe très compétence pour la lutte contre la pauvreté
    La cherté de la vie ne date pas d’aujourd’hui c’est la loi du commerce celle de l’offre et de la demande.

  35. Le travail du Ministre de l’économie et des finances, son dévouement, son envie de bien faire, son engagement et sa volonté de voir ce pays se développer font qu’aujourd’hui notre pays a atteint un niveau de croissance record jamais égalé, soit 7,2% de croissance !!!

  36. Oui, l’espoir est permis, parce que le Mali est un pays où le climat des affaires est propice, un pays prisé par les investisseurs, qui se bousculent au portillon. Le Représentant de la Banque Mondiale pour les opérations au Mali vient de confirmer que les clignotants à Bamako sont au vert et son institution encourage les porteurs de projets à venir au Mali.
    Même son de cloche chez le Représentant du FMI au Mali, qui martèle haut et fort qu’avec l’avènement d’IBK au pouvoir, «le Mali a décollé».

  37. Vous manquez de formation de journaliste sinon IBK a fait beaucoup il faut que les commerçants lui emboîtent pas ainsi que l’association des consommateurs a joué son rôle de protecteur des consommateurs maliens

  38. Les réformes qui ont apporté une bouffée d’oxygène à notre économie. L’annulation des 45 milliards de F CFA [68,6 millions d’euros] de dette avec la France, le retour de l’aide au développement, ainsi que la signature de nombreuses conventions de financement portant sur la réalisation d’un grand nombre de projets illustrent ce retour de confiance de nos partenaires

  39. Le compte courant de la balance des paiements s’est considérablement amélioré ces douze derniers mois, ce qui traduit le gain de compétitivité de l’économie malienne
    Il faut des volontés privées car l’état seul ne peut tout faire. Donc l’ASCOMA doit doubler les efforts pour remédier cette situation qui rend difficile le quotidien de la population

  40. Les critiques toujours des critiques, rien que des critiques et encore des critiques à l’encontre de l’État. La presse malienne, depuis fort longtemps a stoppé son rôle primordiale qui reste celui de l’information, elle a maintenant pour rôle de perturber la conscience publique et stabilité politique.

  41. les finances publiques ont recouvré leur santé. En ce qui concerne les opérations avec l’extérieur, le compte courant de la balance des paiements s’est considérablement amélioré ces douze derniers mois, ce qui traduit le gain de compétitivité de l’économie malienne.

  42. Selon le FMI, le taux de croissance prévu pour 2016 s’établirait à 5,4 %
    Pour conforter cette relance économique, le Mali mobilisera 453 milliards de F CFA au terme de l’année 2015 sur le marché sous-régional, où le pays jouit à nouveau d’une bonne cote. Ce qui laisse augurer de belles perspectives.

  43. L’ASCOMA doit faire surveiller les prix des denrées car on remarque que les prix changent d’une boutique à une autre. Cela doit interpeller tout le monde.

  44. J’invite l’ASCOMA a mené à long et bon terme son travail, la population malienne les réclames depuis fort longtemps. Le gouvernement est indexé alors que c’est pas de sa faute. L’ASCOMA doit ne mettre au travail pour répondre aux attente de la population.

  45. Certes, actuellement la vie est dure, le quotidien de la vie devient de plus en difficile pour plusieurs personne, le gouvernement est au courant de cette situation. Le gouvernement est en train de prendre des dispositions possibles pour que la population malienne puisse au moins être soulagée dans l’obtention de son quotidien.

  46. Certes, le gouvernement est le premier concerner, mais en réalité le gouvernement n’est fautif pas le fautif. C’est la faute de l’ASCOMA. Le gouvernement n’est en œuvre pour que les couts des denrées soient abordables à la population, mais de l’autre côté l’ASCOMA ne joue pas pleinement son rôle.

  47. L’ASCOMA doit prendre ces responsabilités, les consommateurs maliens ne plaigne de plus en plus de leurs travaillent. Il n’accomplissent même pas le quart de la tâche qui leur est confié.

  48. Le mois passé nous avons assisté à la rechute du prix de la viande, seulement pour vous soulignez que le gouvernement n’est pas en reste même le gaz butane est subventionner par l’Etat. L’Etat fait de son mieux comme il peut pour qu’au moins les denrées de première nécessité soit à la porter de la population. Comme on le dit si bien « Il n’y a pas de fumée sans feu ». Les autorités ont simplement poussés le bouchon loin pour que l’économie de notre pays puisse se redresser et voler de ses propres ailes.

  49. 👿 L’ASCOMA œuvre pour le bien être de la population, mais depuis quelque année nous remarquons largement qu’il ne font pas comme il se doit leur travail. Les consommateurs maliens en n’ont assez de l’ASCOMA qui ne joue pas sont rôle. 👿

  50. Moi ce dont je ne comprends pas dans mon quartier, les commerçants détaillants ont pas tous la même quantité malgré que les prix sont les même. Surtout concernant les denrées de première nécessité. J’ai fait ma petite enquête et j’ai remarqué que c’est toujours la faute des fournisseurs mais très souvent des revendeurs aussi. Tout le monde à sa part de responsabilité dans cette affaire de la hausse des denrées de première nécessité.

    • Biensûr et bon commentaire,
      Mais ce probleme est maintenu par un triangle (asso. Des consommateurs, operateurs economiques et detaillants). Le gouvernement en tapant du poing peut remettre les pendules mais la corruption qui s’evit en son sein 🙄 ❓ .
      Alors……

  51. Tu as raison comme le dit l’adage bamanan « La dépouille de la chèvre est sans propriétaire et l’hyène se décide toujours propriétaire ». C’est dans ce genre de situation que la population devient elle-même son pire ennemie. La cherté de la vie n’est pas que la faute du gouvernement la population aussi est fautif dans cette affaire.

  52. Le responsable de tous cela ne peut être le gouvernement, parce que le gouvernement malien fait tout pour régulariser la situation. Mais les revendeurs ou commerçant profite dans le dos du gouvernement pour faire montée leur prix.

  53. Vue la crise multidimensionnelle dont traverse le pays les commerçants et les fournisseurs doivent faire preuve de patriotisme et de bonne foi. Les fournisseurs, les commerçants grossis et détaillants profitent toujours de la situation pour rehausser le prix des denrées de première nécessité. Le pays appartient à tous et tout le monde doit donner le meilleur de soit pour sa bonne cause. Le gouvernement produit des efforts à la population en particulier les vendeurs d’en faire de même.

  54. L'Ascoma n'a rien posé comme acte allant dans l'intérêt des consommateurs depuis sa création à nos jours. C'est plus tôt en faveur de l'intérêt de ses dirigeants qu’elle a posé des actes concrets.

  55. Les maliens vivent dans des conditions misérables. Les produits de première nécessité sont tous chers. Les populations ont du mal à se nourrir convenablement. Cela au su et au vu d’une association censée tout faire pour que le prix de ces produits n’augmentent pas. Dommage!!

  56. Les consommateurs doivent demander la dissolution de cette association qui n’a rien servi depuis qu’elle a été créée. Avec une existence de plus d’une décennie et sans aucun acte concret, je crois que cette association ne peut rien servir pour les consommateurs.

  57. L’Ascoma a pour seule et unique mission de satisfaire aux besoins de ses dirigeants. Malheur aux fameuses populations malienne, précisément les consommateurs que nous sommes. C’est toujours de la sorte avec les association à but non lucratif car ce sont les grandes têtes qui vont s’enrichir sur le dos des autres.

  58. Depuis sa création à aujourd’hui, l’Ascoma n’a pu poser aucun acte concret dans le cadre de sa mission. Finalement cette association mérite-t-elle d’exister au sein d’une population pauvre et piétinée? Une question qui mérite d’être posée.

  59. L’ASCOMA est censée œuvrer à ce que les produits de première nécessité deviennent moins chers. Mais il me semble que, n’ayant pas pu faire cela, cette association œuvre pour le contraire. Car le prix de ces produits ne cesse d’augmenter dans notre pays.

  60. Toute chose reste à savoir sauf que l’ASCOMA a fait quelque chose pour que les prix des produits de première nécessité ne montent pas dans ce pays. Mais dommage que nous assistons chaque jour à des augmentations de prix de ces produit. 😈 😈 😉 😉

  61. Les maliens ne peuvent plus de la cherté de la vie. Si cette association des consommateurs maliens ne veut pas que le peuple se désengage de ses activités et ne la reconnait plus, elle a intérêt à œuvrer pour les causes du peuple.

  62. L’Association des consommateur maliens (ASCOMA) n’offre rien à ce peuple. Depuis 2002 jusqu’aujourd’hui, les prix de certains produits de première nécessité ont augmentés. Et depuis, ils ne sont plus redescendus. C’était à cette association de dénoncer cela.

  63. L’ASCOMA a échoué dans sa mission. Depuis plus dune décennie, le prix des produits de première nécessité a pris de l’ascenseur. Donc cette question se pose aux militants de cette association: qu’ont-ils fait pour empêcher cela? ❓ ❓ ❓

  64. Même si nos autorités font de leur mieux pour remédier à ce problème, il faut qu’il prenne des sanctions contre les dirigeants de cette association. Ils doivent être punis pour leur silence.

  65. En tout cas, si ce passage est une réalité, l’ASCOMA doit revoir la situation dans laquelle le pays traverse. Les maliens crient chaque jour à la pauvreté, comment le président de la République peut se permettre d’augmenter le budget présidentielle ?

  66. Si défendre les intérêts des consommateurs est l’objectif principal de l’Association des consommateurs du Mali (ASCOMA). Elle est appelé alors à jouer pleinement son rôle enfin que cette situation puisse changer.

  67. C’est évident que tout ne peut pas voir le jour en un clin d’œil. Mais autant de comprendre que cette association ne fout rien. C’est ma première fois d’entendre ce nom, je ne savais même pas qu’elle existait. 😆 😆 😆 😆

  68. 😉 😉 😉 😉 😉 Beaucoup de gens accusent le gouvernement alors qu’ils ignorent l’existence d’une telle association. Cela est dû à la négligence et à l’incompétence de l’ASCOMA. Elle devrait se battre jour et nuit pour maintenir la même image. 😳 😳 😳 😳 😳

  69. Il faut que la population malienne comprenne que la monté des prix ne dépend pas de du gouvernement. Voici la preuve, l’Association des consommateurs du Mali (ASCOMA) est sensé sanctionné tous les marchands en cas de violation de loi.

  70. Le prix de la viande avait baissés suite à un accord entre le gouvernement et les syndicats des bouchers. Mais peu après, ces bouchers ont rehaussé le prix, dans cette conditions le pays ne peut pas avancer.

  71. Il faut que les fournisseurs et les revendeurs comprennent que chacun de nous est appelé à jouer ses devoirs patriotiques. Sinon à ce rythme, la cherté ne fera qu’envahir tous les prix des produits ainsi, ça sera une coutume.

  72. Assumons nos responsabilités et laissons le gouvernement en dehors de ces détails. Le malien est le seul garant de ce qu’il lui arrive. La hausse des prix de première nécessité ne repose pas sur la volonté du gouvernement malien. Qu’on se dit la vérité ce n’est IBK ou ses ministres qui produisent ou importent les produits. C’est plutôt les citoyens eux-mêmes. Donc nos préjugés envers nos gouvernants sont injustes et insensés, du moment où nous savons tous la vérité.

  73. L’augmentation des prix des denrées ne dépend pas des autorités. Force est de reconnaitre que chacun de nous veut se procurer de l’argent vite fait. A ce que je sache, cela n’est pas la solution propice. Par contre au Mali le taux de pauvreté est plus élevé que celui de la richesse. Donc, c’est à la population elle-même de réduire les prix des produits et non le gouvernement. Ce n’est pas le gouvernement qui doit apporter le surpoids à ce niveau.

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