La circulation routière dans le District de Bamako est un véritable casse-tête.
rnElle se caractérise par l’anarchie totale de la plupart des usagers. La situation s’amplifie particulièrement les jours de mariage, soit les jeudi et dimanche de chaque semaine. Mais cette situation est plus ou moins préoccupante selon que l’on se déplace d’une commune à une autre. C’est le cas des cortèges de mariages en commune VI.
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Depuis quelques années, compte tenu de la multiplication du nombre d’accidents de la circulation routière et des embouteillages, des mesures conservatoires ont été prises pour règlementer l’accès des cortèges de mariage aux différentes mairies. L’objectif de cette initiative qui consiste à réduire le nombre d’usagers, prenant part aux cortèges et se rendant aux mairies, est de réduire au maximum les attroupements dans les mairies. Si dans certaines mairies, l’application de la mesure est satisfaisante, telle n’est pas le cas dans toutes les communes du District de Bamako.
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Et aujourd’hui, ce à quoi on assiste en commune VI est simplement très embêtant pour les usagers de la voie publique
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En effet, ici, l’on a toutes les peines du monde à passer ; tant la circulation est quasi impossible les jours de mariage. Les habitués de l’avenue de l’OUA en savent quelque chose. Par ces temps-ci, le désordre qui se créé aux environs, est plus que révoltant. Dès fois, il arrive que les bouchons persistent pendant plusieurs heures. Mais, à ce niveau, c’est le moindre mal pour qui sait comment ça se passe aux autres endroits jouxtant la mairie de la commune VI.
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Pendant les jours de mariage, on est confronté aux embouteillages devant la mairie, au niveau du service de
rnEn plus, en raison de l’embouteillage, nombre d’usagers des routes qui n’ont rien à voir avec ces mariages, perdent énormément de temps.
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Ainsi, par le fait du laxisme des autorités municipales de la commune VI, c’est tous ceux qui empruntent cette voie qui sont pénalisés les jours de mariage.
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Les autorités communales ne doivent pas être indifférentes face à une telle situation, contraire à l’esprit de civisme, à la préservation de la sécurité et au respect du code de la route. Espérons que des solutions idoines et urgentes seront trouvées à cette situation qui n’a que trop duré. Au moment où les autres communes travaillent à rendre plus fluide la circulation, c’est l’insouciance du conseil municipal vis-à-vis du respect du code de la route qui est mise nu. La commune VI ne peut pas aller à l’école de la commune V.
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rnTiémoko TRAORE
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