Le dimanche 8 juillet 2022, à la fin de la messe et après les annonces, monsieur Adama Jean Joseph Dembélé, directeur de l’organisation non gouvernementale (ONG) FDS/ADECIL-Mali s’est fait le porte-parole des autres ONG du Cercle de San dont une des importantes activités est la lutte contre le mariage précoce. Ces ONG sont entre autres Asdap « Programme Debo a Lafia », Educo, Enda-Mali, Wale.
À l’entame de son intervention, monsieur Dembélé a défini ce qu’il faut entendre par mariage précoce. Le mariage précoce, a-t-il précisé, est l’union entre deux personnes, un homme et une femme, dont tous les deux sont des enfants ou l’un des deux. Alors que faut-il comprendre par enfant. Selon la définition internationale, un enfant est une personne humaine de sexe masculin ou féminin qui n’a pas encore atteint l’âge de dix-huit ans révolus. Notre pays, le Mali a signé et ratifié les textes internationaux sur le mariage précoce. Alors, monsieur Dembélé a mis en garde l’auditoire car même si certaines dispositions légales de notre pays permettent de se marier à l’âge de seize ans avec l’autorisation des parents, s’agissant notamment de la fille, il faut savoir que la loi internationale prime. En ne respectant pas ces dispositions internationales, en mariant votre enfant qui n’a pas atteint dix-huit ans, vous vous exposez à des poursuites judiciaires et à des sanctions.
Monsieur Dembélé a ensuite développé les multiples causes des mariages précoces chez nous, entre autres la coutume, la pauvreté des parents, avant de s’étendre sur les conséquences du mariage précoce sur le marié et son épouse : interruption des études, vieillissement précoce, maladies…
L’intervention de monsieur Dembélé qui a salué la présence de beaucoup de jeunes dans la cathédrale Notre-Dame de Lourdes de San ce dimanche, a édifié plus d’un parmi les fidèles. À la fin de son intervention de conscientisation/ sensibilisation. Enfin monsieur Dembélé a souhaité que chacun et chacune soit un relais pour faire un barrage définitif au mariage précoce dans son milieu.
Alphonse Dembélé et Yass
C’est de la pure pédophilie, il faut appeler un chat par son nom, il faut l’arrêter car une enfant ne doit pas avoir des relations sexuelles et a plus forte raison faire des enfants, alors soyons courageux et honnêtes et abandonnons cette pratique hideuse, immorale, dangereuse pour la sante de la fille et de la femme et pour la sante publique en generale, elle est une pratique sans vertu sociale!
‘est de la pure pédophilie, il faut appeler un chat par son nom, il faut l’arrêter car une enfant ne doit pas avoir des relations sexuelles et a plus forte raison faire des enfants, alors soyons courageux et honnêtes et abandonnons cette pratique hideuse, immorale, dangereuse pour la sante de la fille et de la femme et la sante publique generale, elle est sans vertu sociale!
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