Dans un communiqué signé par le président du M5-RFP Mali Kura, Modibo Sidibé, le mouvement exprime sa préoccupation suite à la montée croissante de l’insécurité dans la région de Bandiagara, marquée par deux attaques meurtrières contre les civils des villages de Bodio et Yarou.
La région de Bandiagara est le théâtre des expéditions meurtrières perpétrées par les terroristes depuis le début de mois d’août. Cette recrudescence de l’insécurité fait réagir les états majors politiques tel le comité stratégique du M5-RFP Malikura qui, dans un communiqué a déploré la détérioration de la situation sécuritaire dans le centre du pays. « Des villages sous menace se vident de leurs habitants, et des villages attaqués avec mort d’hommes, dont celui de Bodio qui aurait fait plus d’une dizaine de morts et le village incendié », a-t-il déploré.
Le mouvement a également évoqué dans son communiqué les incidents tragiques qui ont émaillé la manifestation organisée par les Forces vives de Bandiagara et autorisée par les autorités compétentes. Il regrette que la dégénération de cette manifestation pacifique qui a été marquée par les jets de grenades lacrymogènes et de tirs de sommation entrainant 6 blessés et un mort.
Toujours le mouvement dirigé par l’ancien premier ministre, Modibo Sidibé, a exprimé sa vive préoccupation par le niveau croissant de l’insécurité dans la région de Bandiagara qui, selon lui, est attesté par les évènements malheureux survenus le 18 août dans le village de Yarou, commune de Timiniri. Le M5-RFP Malikura fait était d’un bilan « d’une vingtaine de personnes tuées et plusieurs blessés, des maisons et infrastructures publiques brûlées, le bétail emporté ». En dépit de plusieurs spéculations autour de cette attaque, les autorités régionales n’ont pas encore donné un bilan.
En louant les efforts des Forces de défense et de sécurité, le mouvement a exigé des autorités nationales une enquête diligente pour situer les responsabilités. Egalement, le M5-RFP Malikura recommande aux autorités plus de professionnalisme dans l’encadrement des manifestations dans le cadre strict de la loi, une réponse appropriée, diligente et durable aux besoins de sécurité exprimés par les populations et une assistance adéquate aux déplacés.
Siaka DIAMOUTENE/Maliweb.net
Il faut que ces gens de ce groupement arrêtent d’être hypocrites.
Soit ils soutiennent pleinement l’armée nationale soit ils se taisent à jamais!
Quand l’armée lance des opérations contre les terroristes, ce sont les mêmes qui appellent les médias occidentaux, HRW..etc pour balancer des mensonges de soit disant allégations de crime commis par les FAMAS.
La plupart de ces gens de M5-RFP sont des vrais hypocrites!
Walaye bilaye la majorité de ces gens là ne soutiennent pas les FAMAS.
Les appels anonymes sur RFI, fr24, HRW,..c’est majorité des personnes membres des groupements comme M5-RFP….ce sont tous des hypocrites.
Tant qu’il y a une forte instrumentalisation politique de la situation dans la zone de Badiangara ou ailleurs, ça sera un cycle sans fin.
Voici le déroulé du cycle sans fin :
Les FAMAS interviennent, les criminels se cachent parmi la population, les FAMAS les debusquent, les hypocrites diront à RFI que les FAMAS tuent les civils, les FAMAS arrêtent les opérations, les terroristes ressortent et s’attaquent aux populations, les hypocrites instrumentalisent l’insécurité dans la zone…..etc le cycle repart de zéro.
Je pense que le problème sécuritaire du Mali c’est d’avoir écarter les dozos dans la défense et la protection de la nation.les dozos c’est notre armée traditionnelle.Ils connaissent toutes les forêts plus que l’armée.Leur effectif 10fois supérieur à l’armée.Bien encadrés et motivés ils pouvaient constituer les réservistes.Chaque village a des dozos.Du moins au sud et centre.
Les dozos et armée sont complémentaires.
Aucun mouvement suspect aux abords des villages sans que les dozos ne soient au courant.
Les dozos font parti des catalyseurs des crimes dans cette zone.
Il ne faut surtout pas les renforcer.
Les dozos sont devenus des instruments politiques d’opposition aux opérations des FAMAS. Les dozos sont trop instrumentalisés par les politiques.
Le vrai problème dans cette zone c’est la politisation que certains font de l’insécurité.
On se retrouve ainsi dans un cycle sans fin.
L’armée doit bien analyser la situation avant de lancer les opérations contre le terrorisme.
Sans une meilleure compréhension dans la situation, toutes opérations de l’armée seraient un échec.
Les autorités judiciaires doivent se saisir de ce dossier et lancer des mandats de perquisition chez certains hommes politiques partout sur le territoire.
“Le M5-RFP Mali Kura préoccupé par le niveau croissant de l’insécurité dans la région de Bandiagara”
Et pour ce qui est d’être “préoccupé”, ce n’est rien à côté des populations de la zone qui elles, sont CARRÉMENT TERRORISÉES !!! (Et à juste titre hélas)
Les seuls chez nous à n’être pas vraiment “préoccupés” par le problème, ce sont nos “Hautes Autorités ” de mini rambos d’opérette qui eux, au lieu de faire voler H24 nos tucanos sur la zone en surveillance aérienne PERMANENTE de la zone, préfèrent les déplacer au Niger pour faire de la politique-spectacle et médiatique !!!!
Et pendant ce temps-là, tant pis si privés de la moindre protection, nos innocents villageois risquent de se faire massacrer à chaque instant par l’ennemi jihadiste …
Pas de temps à perdre avec ça, alors qu’on peut SE CREER UNE IMAGE de gros bras auprès des plus cons en envoyant “en démonstration ” ces petits avions qui seraient pourtant TELLEMENT UTILES EN CE MOMENT SUR LA ZONE DE BANDIAGARA !!!😭😭😭😭😭😭😭
Dès que les FAMAS commencent les opérations, vous verrez les mêmes déblatérer des allégations contre l’armée, appeler RFI…pour balancer des mensonges sur nos FAMAS.
Nous demandons à l’armée d’étudier tous les contours de la situation dans la zone de Badiangara avant toutes opérations.
Dans cette zone, le ver est dans le fruit.
Une armée,c’est plus l’anticipation que l’action.
ASSURER LA SÉCURITÉ C’EST FAIRE PEUR À L’ENNEMI.
Ce n’est pas détruire l’ennemi.
LE FAIT QUE NOS VILLAGES SONT ATTAQUÉS MONTRE QUE NOUS N’AVONS PAS D’ARMÉE.
L’ennemi n’a pas peur de s’en prendre à nos villages, va jusqu’à attaquer et détruire nos camps militaires.
C’est le signe qu’il n’y a pas d’armée.
Un exemple permet de comprendre qu’on n’a pas d’armée.
Dans nos quartiers insécurisés , il est constaté qu’il suffit de placer deux ou trois policiers, même désarmés pour que la sécurité s’installe.
Une armée ne veut pas dire avoir des hélicoptères,des avions de chasse, des chars modernes….,mais une STRUCTURE EFFICACE QUI ASSURE LA COORDINATION ENTRE LES SERVICES DE L’ARMÉE.
Imaginer qu’à chaque fois que les assaillants tentent d’attaquer nos villages ou les positions de l’armée, ils sont repérés vite et neutralisés.
Ils ne vont pas éviter nos villages et les positions de l’armée?
IL EST CONSTATÉ QUE LE MANQUE DE COORDINATION ENTRE LES SERVICES DE L’ARMÉE EMPÊCHE NOS GUERRIERS D’AGIR À SOUHAIT.
L’ennemi en est conscient, a même infiltré nos camps car l’AUTORITÉ POLITIQUE incarnée par les CINQ COLONELS pense plus à protéger le pouvoir qu’à nettoyer l’armée des pourritures qui l’affaiblissent.
LE FAIT QUE L’ARMÉE MALIENNE EST INFILTRÉE EXPLIQUE SON IMPUISSANCE MALGRÉ DES INFORMATIONS DONNÉES DES JOURS AVANT QUE LE VILLAGE SOIT ATTAQUÉ.
Le MASSACRE D’AGHEL’HOC est l’exemple palpable d’une armée infiltrée.
Depuis rien n’a été fait pour nettoyer l’armée malienne des pourritures malgré les changements de régime.
C’est pourquoi le MASSACRE D’AGHELHOC s’est multiplié depuis 2012 jusqu’à nos jours
ON REFUSE DE RÉFORMER L’ARMÉE MALIENNE EN MANIPULANT LA POPULATION PAR LES ACHATS D’ARMES QUI SERVENT À ENRICHIR LA MAFIA INSTALLÉE.
L’attaque des villages est minime par rapport à ce qui est en cours.
Une coalition SÉPARATO-JIHADISTE décide de reprendre les deux tiers du territoire comme en 2012,ce serait fait facilement.
C’est ce qui est en cours malgré la présence des russes.
À rappeler que les soldats de WAGNER ont fui les JIHADISTES en Mozambique.
Ces terroristes ont parmi de la population de la région de Bandiagara, J’ai trouvé le remède il faut que l’état donne des armes le milice de Toloba comme le général Moussa Traoré paix son âme a été fait certains localités de la région de Kayes en 1989, Aujourd’hui la pratique des criminels les civils qui connaissent pas le militaire .
Justement c’est ce qu’ils veulent!
Il ne faut surtout pas renforcer les dozos de Toloba. Je pense qu’ils sont responsables des crimes dans la zone de Badiangara.
vous le m-5, vous avez combattu IBK, maintenant vous etes cacher.
Comments are closed.