Mali : la Semaine nationale de la sécurité routière sous le signe de la limitation de la vitesse et le port du casque

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Le Ministre des Transports et des Infrastructures a lancé, le lundi dernier, la semaine de nationale de sécurité routière à Bamako.  Cette 18ème édition est consacrée au port du casque et la limitation de la vitesse.

Au Mali, le Ministère des Transports et des Infrastructures veut faire  le port du casque et la limitation de la vitesse un moyen  pour  circonscrire les accidents de circulation.  A Bamako, la  ministre en charge  des transports a lancé  la semaine de nationale de sécurité routière. Au menu, plusieurs activités de sensibilisation relatives au respect du code de la route, le port du casque,  la limitation de la vitesse et de nombreuses formations  en faveur des chauffeurs. Déjà, le lancement de la 18édition a été marqué par plusieurs messages de sensibilisation.  Des messages sur le respect du code de la route  sont relayés par les personnalités influentes de toutes les obédiences : les politiques, les religieux, les artistes, les membres du gouvernement, les leaders des jeunes, des femmes.

Outre, la protection civile  est associée à cette campagne de sensibilisation contre les dangers des circulations routières. A partir de janvier 2023, le gouvernement veut rendre obligatoire le port du casque  pour les usagers des engins à deux roues  et de trois roues.  Les chiffres impliquant les nombres des conducteurs des engins à deux roues fonts froid au dos.  Selon la direction régionale de la protection civile,  environ 47 interventions  sont réalisées par jour par les soldats du feu dans les jours ouvrages et 80 cas dans le week-end. «  97% de ces cas d’accidents  impliquent les usagers des engins à deux roues et la plupart des décès intervenus lors des accidents  concernent le motocycliste qui ne portent pas de casque », indique la protection  civile malienne.

Pour la ministre des Transports et des Infrastructures, Mme Dembélé Madina Sissoko, l’insécurité routière a pris des proportions inquiétantes. « Les accidents de circulation sont pernicieux pour le développement socioéconomique d’un pays comme le Mali qui perd 600 jeunes actifs  âgés de 18 à 35 ans chaque année », regrette la ministre des Transports. Ajoutant qu’il urge d’augmenter le taux du port du casque de protection  pour les usagers des engins à deux roues et  la lutte contre l’excès de vitesse dans la circulation.

 Siaka DIAMOUTENE/Maliweb.net

 

 

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2 COMMENTAIRES

  1. Pourquoi le ministère des transports et des infrastructures ne parle jamais d au moins 30% des accidents de la route causés par ses services. Des gendarmes couchés jamais paints en blanc et non réglementés sur les routes: cela tue les usagers en moto, voitures immédiatement et à la longue. A la longue, parce que les directions des voitures et autres dérangées par ces gendarmes couchés non visibles et non réglementés provoquent des défaillances qui renversent les véhicules et tuent les passagers. Alors le ministère tue chaque année plus de gens sur les routes. Pourtant il est très simple de réglementer les gendarmes couchés

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