Face à l’impérieuse nécessité de mettre un terme à la prolifération des armes légères et de petit calibre au Mali, la commission de Lutte contre la prolifération des armes légères et de petit calibre au Mali vient d’initier une large opération d’identification des armes existantes. Les travaux de marquage des armes ont été lancés par le Directeur de Cabinet du président de République, en présence de la générale Kany Diabaté, Présidente de la Commission Nationale de Lutte contre la Prolifération des Armes légères et de petit calibre et de l’ambassadeur de la Grande Bretagne au Mali, entre autres.
Œuvrant ardemment pour la paix et la normalisation de la société, les autorités militaires du pays dans leurs démarches de lutte contre la prolifération des armes légères et de petit calibre ont multiplié les efforts. C’est ainsi qu’il apparait aujourd’hui nécessaire pour la commission nationale de lutte contre la prolifération des armes légères et de petit calibre de procéder à l’identification des armes existantes par une opération de marquage.
C’est pourquoi, le général Kany Diabaté a dit qu’il s’agissait du début d’une procédure, celle du marquage des armes légères et de petit calibre de nos forces armées au Mali. Cet exercice, selon lui, constitue sans nul doute dans le respect de la convention de la CEDEAO pour les armes légères et de petit calibre pour le domaine précis de marquage et du traçage, conformément à article 18-19. Le secrétaire général du département de l’environnement de l’eau et de l’assainissement, quant à lui, a dit que la prolifération des armes légères et de petit calibre constitue de nos jours un problème de sécurité humaine qui compromet dangereusement toutes actions de développement dans l’espace CEDEAO, en général et dans notre pays, en particulier.
Selon l’ONU, il circule dans le monde une (1) arme légère pour 12 habitants en moyenne, faisant 1300 victimes par jour. Dans cette même minute, ce sont plus de 15 armes et une tonne de munitions qui sont produites. Depuis l’avènement de mars 2012 et l’occupation de la partie septentrionale de notre pays, la prolifération des armes légères a connu un regain d’intensité et favorisé la constitution de groupes criminels organisés. Les conséquences humaines sont désastreuses et les populations sont atteintes de diverses manières. L’une des solutions à ce phénomène reste sans aucun doute la sécurisation des armes dites légales, issues des stocks de l’Etat et des particuliers autorisés au port d’armes, par identification des armes existantes. Le représentant du chef de cabinet du président de la République, Lt-Col. Diarra, a ajouté que cette activité pilote, dont la direction nationale des eaux et fortes est le premier bénéficiaire, va se poursuivre dans les tous prochains jours et l’opération s’étendra dans sur le domaine pour le bonheur des populations.
Traoré Mah Bellem
Tan que nos militaires ne sont pas discipline ils sortirons des armes des casernes pour vendre aux malfrats vu que le mali a le ministre de l’intérieur plus nul du monde les armes continuerons à circuler et le banditisme augmentera le ministre meme la dit la semaine derrière qu’il est reste 17ans colonel sans avancement ce qui prouve qu’il est nul et je ne ses pas quel exploit qu’il a fait pour qu’il soit nommé général par son amie ibk peut être il a gagné un concours de lever le coude dans un bistrot avec son pote ibk
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