Le syndicat national de la production (Synapro) section IER, est sur un pied de guerre. Motif ? Le licenciement dans des conditions jugées inacceptables, de plusieurs fonctionnaires en situation de détachement. Les responsables du syndicat ont animé, dimanche dernier une conférence de presse pour informer l’opinion de leur mot d’ordre de grève…
Le Syndicat national de la production, section IER, s’insurge contre le licenciement de 38 fonctionnaires, par le Ministère du travail et de la fonction publique chargé des relations avec les institutions. Le syndicat a organisé, le dimanche, 11 septembre 2016, une conférence de presse à laquelle plusieurs membres du bureau ont massivement pris part.
La rencontre qui s’est déroulée dans les locaux du CRRA, à Sotuba, avait pour principal conférencier, M Bamory Diarra, le Secrétaire général du syndicat. Qui a évoqué les difficultés et contraintes auxquelles l’IER fait aujourd’hui face. En décidant d’observer une grève de 48h (15 et 16 septembre), le Synapro, selon son Secrétaire général adjoint, exige la satisfaction de cinq points de revendications : la régularisation de la situation administrative de tout le personnel détaché de l’IER à leur départ à la retraite, le recrutement du personnel contractuel de l’IER par la Fonction publique, la prise en compte et la régularisation des indices des fonctionnaires détachés de l’institut, la résolution définitive de la pression foncière sur les parcelles d’expérimentation de l’IER et bien évidemment l’annulation pour ce qui concerne les fonctionnaires détachés de l’IER, des arrêtés portant licenciement (de leur emploi) de fonctionnaires pour non renouvellement de disponibilité ou expiration de la durée légale de la position de détachement. En ce qui concerne ce dernier point, ce sont 38 fonctionnaires détachés de l’IER, qui se sont vu licencier, la plupart, à seulement 2 ou 3 années de leur départ à la retraite. Pour le SGAL adjoint, le syndicat a entrepris plusieurs démarches et a aujourd’hui épuisé toutes ses voies de recours. «La seule option qui nous reste est notre droit syndical d’aller en grève», a-t-il ajouté. Le conférencier a indiqué toute leur détermination à mener cette lutte pour éviter le discrédit et le déshonneur qu’on veut porter à ces honnêtes chefs de familles. «Licencier dans ces conditions conduit à les présenter aux yeux de l’opinion comme des gens qui trichent avec l’Etat en empochant régulièrement leur salaire sans travailler, ce qui est totalement faux. Car, ce sont des gens qui, durant toute leur carrière, ne se sont jamais absentés un seul jour de leur service », a souligné le conférencier.
Nous y reviendrons.
Papa Sow
Ce problème est délicat pour plusieurs raisons.
1- pourquoi la fonction publique n’a pas notifié aux intéressés la fin de leur disponibilité par écrit.
2 – avant de licencier quelqu’un la fonction publique doit passer par des étapes. Ce qui n’a pas été fait. Ca passe par la notification aux intéressés, les communiqués à la radio et à la télé entre autres.
3- convier le syndicat concerné pour lui part de la situation qui prévaut. Si on veut faire quelque chose il faut bien le faire sinon c’est l’effet contraire qui risque de se produire. Les travailleurs peuvent se munir de ces fautes commises par la Fonction Publique pour attaquer l’Etat et ils auront raison. Le Ministre de la Fonction publique s’est trop précipitée avant de s’entourer de tous les gardes fous. Ce qui est préjudiciable pour l’Etat.
Licencier pour “non renouvellement de disponibilité ou expiration de la durée légale de la position de détachement” . S’ils n’ont pas renouvelle la disponibilite c’est qu’ils ont continuer a recevoir leur salaire de fonctionnaire sans travailler pour l’ETAT et c’a c’est pas honnete.
Mais bon le licenciement semble un peu dur, ils auraient pu etre sanctionnes autrement par exemple quelques mois sans salaire ou rembourser a l’Etat pour la periode ….
Je suis d’accord avec les syndicalistes.
au lieu du licenciement, le gouvernement devraient leurs demander d’opter pour une option. Soit etre totallement mis à la services de l’IER et en qualité d’agent de l etat, soit les rappeler a leurs services. Toutesfois, ces cas devraient toujorus etre discutés avec les syndicats
S’ils sont en irrégularité ou est le problème ???? Qui dit que le Mali ne change pas sous IBK !!! ATT a tellement fait de mal a ce pays ou tout était permis…….
Toi tu es la bas jusqu’à présent mon ami, il faut laisser ATT en paix.
ces des gens qui méritent la prison. ils sont meme gagné parce qu’ils sont en liberté sinon ils doivent tout ce qu’ils ont empochés durant tout ce temps. je voie pourquoi les gents en veulent à IBK. CE nullard ATT a permit tout dans ce pays
c’est toi le nullard espèce de con idiot qu’est ce que ATT a à voir dans ça;
et d’ailleurs espèce d’illettré tu ne sais pas que quelqu’un qui est en disponibilité ne perçoit pas de salaire et tu accuse ces gens d’avoir volé l’état
Ces gens dont tu parles ont envoyé des demandes individuelles pour etre rappelé à activité au bon moment . Il ya toutes les preuves avec les bordereaux d’envois. La direction de la fonction publique n’a rien fait. Mieux le contrôle général des services publiques (contrôle d’état) qui dépends de la primature a recommandé en juillet 2015 à travers la premier ministre au ministres de la fonction publique de les rappeler à l’activé et de rendre compte le 31 décembre 2015; si ce licenciement n’est pas abusif pour des agents qui n’ont jamais quitter leur postes.
Tu ne comprend rien de tout cela car tu n’est pas malien même si tu te surnomme malien. ces gens sont des honnêtes citoyens maliens qui ont plus de 30 ans de loyaux services pour la recherche agricole. Un Ministre stagiaire ignorante en plus ne peut pas se rendre compte de ses anneries comme la plupart de ses collègues. Un service comme l’IER ne doit pas être à la merci de ces gens lèche botte du tout puissant seigneur <ibk. Courage camarades syndicalistes nous sommes avec vous.
mon frère Moussa tu peu venir a L, IER on vas te démontrer de A a Z qui n ont jamais été en position irrégulier en se moment tu pourras mieux juger merci
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