En outre, une commission présidée par le Ministre du commerce, Abdel Karim Konaté et composée des six maires du District de Bamako ; du Maire du District ; du Président du Collège transitoire de la chambre de commerce et d’industrie ; du Président du Conseil malien des transporteurs routiers ; du Président de la Coordination des Associations et groupements des commerçants détaillants du Mali (Cagcdm), Hama Aba Cissé ; du Président du Synacodem , des représentants des forces de l’ordre et de sécurité ainsi que de toutes les associations des commerçants détaillants a été mise en place.
La première rencontre officielle des membres de cette commission est prévue cet après midi à 15 heures dans la salle de conférence du Ministère du commerce.
Comme on peut le constater, l’artisan principal de la description de cette situation n’est autre que le Ministre du Commerce, Abdel Karim Konaté. En effet, depuis l’annonce de la mise en œuvre du Plan de fluidité de la circulation routière dans le District de Bamako, une certaine panique s’est emparée des occupants illicites des voies ouvertes à la circulation qui ne sont autres que les marchands ambulants, les chauffeurs de Sotrama entre autres. Les associations de défense de cette corporation versée dans l’informel ne pouvaient donc rester les bras croisés. C’est ainsi qu’ils ont pris langue avec leur département, le ministère du commerce pour faire part de leur désarrois face aux mesures de déguerpissement qui sont prévues sans contre partie en retour.
Des arguments qui ont été utilisés par le Ministre Konaté pour convaincre son homologue de la Sécurité d’accorder un délai supplémentaire afin de privilégier la sensibilisation et la démarche inclusive. Le premier résultat palpable a été donc le report de la date du vendredi 4 février au 17 février prochain comme date butoir.
C’est donc fort de ce résultat que le Ministre du commerce, Abdel Karim Konaté cette fois-ci accompagné de ses homologues de l’Urbanisme et de la politique de la ville, Moussa Mara et Malick Alhousseyni de la Décentralisation ont rencontré ensemble et les élus municipaux, les représentants des Commerçants des transporteurs, des forces de l’ordre et de sécurité. Après avoir passé en revue tous les aspects touchants à la problématique de la fluidité dans le District de Bamako, et recueilli l’avis des Maires par rapport aux recasements des commerçants ambulants, victimes de cette opération, il a été décidé de créer cette commission pour mieux accompagner et épauler le ministre de la sécurité dans son travail.
Les raisons d’une croisade
Cette mesure s’impose aujourd’hui à cause de tous ces accidents de circulation surtout ces incendies qui ravagent de plus en plus nos marchés.
Les causes réelles des entraves à la fluidité de la circulation routière dans le District de Bamako et plus particulièrement dans le centre ville sont essentiellement dues à l’incivisme de certains usagers ; l’occupation anarchique des voies ouvertes à la circulation ; le relâchement dans certains endroits des acteurs impliqués dans la gestion de la fluidité de la circulation et enfin l’état défectueux des infrastructures routières.
Les artères en question
Les lieux d’occupation anarchique des voies ouvertes à la circulation ont été ciblés. Il s’agit entre autres :
• Sur le tronçon ‘’Anneau Sotrama’’, de Stop Odipac à Rond point Médine ;
• De la place de la liberté à la Rue Titi Niaré en passant par la grande poste, devant l’INA, la direction des Impôts jusqu’au 3ème pont ;
• De l’Ecole Liberté A en passant par le Stade omnisports Modibo Keïta, l’Ecole de Missira, le Marché de Banane pour aboutir à Photo cola-Hippodrome ;
• De la place de l’indépendance à la Place du Souvenir en passant par Gondole Mali Mag ; • De la place de la Liberté au pont des Martyrs ;
• Du Monuments de la Paix au Monument de l’Independence ;
• De carrefour Shell à Kontron Ni Sanè en passant par l’Ortm, la Bank of Afrika, Aïcha Cabine et Ecole de Boulangerie (Soadef) ;
• De l’Avenue Alqoods en passant par l’AssemblÈe Nationale, la Rue Titi NiarÈ jusqu’à la promenade des Angevins ;
• Tout le centre commercial (Marché Rose, Dabanani et Dibidani). Selon un document produit par le Ministre de la Sécurité et intitulé ‘’Plan de Fluidité de la circulation routière dans le District de Bamako’’, ces occupations des voies consistent en l’installation anarchique des marchands ambulants sur les trottoirs et même sur la chaussée, des réparateurs de motos, du stationnement des véhicules devant les boutiques et même de construction de Kiosques ou de hangars devant les magasins, de l’étalage des marchandises de la méconnaissance des règles de la circulation par les conducteurs de pousse-pousse.
Les points embouteillés
A en croire le même document, les trois (3) ponts sont des véritables points d’embouteillages. Pont des martyrs :
A ce niveau il y a moins d’encombrement aux heures de pointes pour raison de son utilisation en sens unique en ce moment. Cependant l’étroitesse et la défectuosité de sa piste cyclables font que les engins à deux (2) roues empruntent la chaussée.
Pont Fahd :
Les deux sens (Foyer de l’Air Care Mali et Care-Mali-Foyer de l’Air) sont embouteillés aux heures de pointe, en raison de la densité du trafic. Aussi, les pistes cyclables s’y trouant sont confondues avec la chaussée à la descente du pont obligeant les motocyclistes à aller devant le Centre International de Conférence de Bamako.
Pont de l’Amitié Sino malienne (3ème pont) :
Du coté de Missabougou, il n’y a pas de piste cyclable, ce qui fait qu’aux heures de pointe, l’embouteillage est crée depuis la descente du pont vers Sotuba, où les encombrements sont constatés, jusqu’au Rond point ‘’général Soumaré’’. Globalement, conclut ledit document, tous les carrefours à forte densité dans le District de Bamako connaissent des problèmes d’encombrement. Les véhicules de transport embarquent et débarquent n’importe comment les passagers, créant ainsi des embouteillages. Ils ne respectent pas les points d’arrêts communément appelés ‘’bateau’’ qui d’ailleurs sont insuffisants. A cela s’ajoutent les mauvaises manœuvres des conducteurs de Sotrama après un arrêt pour réintégrer la file.
Etat des chaussées
Nos chaussées sont incommodes : étroitesse et défectuosité des voies, insuffisance des signalisations horizontales et verticales et des pistes cyclables, mauvais réglages des feux de signalisation etc. Toutes choses qui ont été comprises par les marchands ambulants et leurs représentants à cause de la sensibilisation et de la démarche inclusive. Déjà à cause des assurances données par les Maires disposés non seulement à annuler les autorisations provisoires mieux à donner des sites de recasements, tous les acteurs sont désormais déterminés à ce que cette opération se passe dans les bonnes conditions.
Birama FALL
N’oubliez pas de faire déguerpir l’usine barikatiki de la voie publique sur la route de la zone industrielle. Cette usine occupe illégalement la route en causant un embouteillage quotidien et de nombreux accidents.
VOUS VOULEZ DININUER LE NOMBRE D’ACCIDENTS ET VOUS DONNEZ UN DELAI SUPPLEMENTAIRES A DES FAUTIFS ON SE DEMANDE DANS QUEL TYPE DE PAYS ON SE RETROUVE.
CE QUI EST TRES GRAVE DANS TOUT CELA C’EST LA FATIHA PUBLIQUE.
LE LIBERATION DES VOIES PUBLIQUES EST UNE OBLIGATION LEGALE IL N Y A PAS QUESTION DE FATIHA.
ENCORE PLUS GRAVE LA DIRECTRICE DE L’ANASER QUI VA DONNER DES COLAS ET AUTRES CHOSES A DES IMAN POUR FAIRES DES BENEDICTIONS POUR DININUER ET SENSIBILISER LES POPULATIONS SUR LES ACCIDENTS DE LA ROUTE.
AU LIEU DE DEPENSER TOUTE CETTE ENERGIE ILFAUT CHERCHER A REPARER LES FEUX TRICOLORES DEFECTUEUX.
JE PROFITE DE L’OCCASSION POURINFORMER LA DIRECTRICE QUE SUR LE CARREFOUR ENTRE LA RUE TITI NIARE ET LA ROUTE QUI VA AU CIMETIERE DE NIARELA IL Y A UN VENDEUR DE VIANDE DONT LE HANGAR OBSTRUE LE CHAMP DE VISION DES DIFFERENTS USAGERS DE TRONCON ET QUI CAUSE ENORMEMENT D’ACCIDENT DANS CE LIEU TRES FREQUENTER PAR LES ELEVES.
-Et la descente du pont des martyrs jusqu’au niveau des stations total à badalabougou?
-Surtout sous les arbres là où on vend les chaussures, c est devenu un nid de vagabondage, tout ce qui est volé en ville est revendu là-bas 30 minutes après. Un endroit qui est le poumon du quartier est devenu une zone insalubre et d’insécurité.
-La rue Bla-Bla aussi est pire! Que le Ministre Mara fasse un tour dans cette rue la journée pour qu’il puisse s’empreigner de la réalité.
-Construction de bars en béton comme si c’était sur les caniveaux qui drainent toute l’eau de pluie au fleuve, et à chaque saison de pluie il y’a inondation dans badalabougou et la SemaI.
-Tous les cas de viols et d’agressions mortelles qui sont signales dans les journaux se font dans ce endroit ou y prennent leur source.
Plusieurs fois signalés à la mairie depuis plus de dix ans, des décisions de demolition sont prises, ouf! Après à cause de dessous de table tout est bloqué au niveau du gouvernorat.
Quelle honte!
Cher internaute il n y a pas de souciis a se faire.ces maisons ne bougeront plus jamais de kolakani.
Les traore seront dans ces villas tot ou taard alors un peu de patinece.
On ne p3ux pas tout faire ensemble
La remise officielle des clés des logements sociaux de Kolokani était initialement prévue le jeudi 19 décembre 2013 mais avait été reportée sine die. Il est à signaler que le Conseil de cabinet tenu le mercredi 04 décembre 2013 et présidé par le PM avait, à son point 4, entendu une Communication du ministre du Logement relative à l’organisation des cérémonies de remise de clés des logements sociaux à San, Koutiala, Dioïla, Kolokani et Niono.
Du coup, les heureux bénéficiaires se posent la question à savoir pourquoi cet énième report intervenu juste la veille du jour J? Qu’est-ce qui se manigance du côté du Département en charge du logement? Est ce un mépris pour le vaillant peuple bamanan du Bélédougou si l’on sait que ce projet a été lancé depuis 2010 et que l’inauguration des logements sociaux de San, de Koutiala et de Doïla a été effective depuis le mois dernier?
Monsieur le Directeur Général de l’OMH que faites vous des liens (amicaux et parentaux) qui vous unissent à cette ville et qui datent de plus de 30 ans ?
Son Excellence Monsieur le Ministre du Logement, pourquoi ce silence injustifié ?
Combien de km sépare Kolokani de Bamako pour laisser dégrader ces maisons et leurs peintures intégralement refaites ? Et cela sur le dos du contribuable malien ?
N’étiez vous pas sur le chantier des 1500 logements sociaux de Tabacoro voilà deux semaines et celui de Ngouina l’autre jour seulement?
A quand finalement la reprogrammation de cet événement quand on sait que le Président de la Commission d’attribution jure la main sur le cœur que vous lui avez promis de le faire courant janvier 2014 ? Il urge car nous sommes le 10 Février aujourd’hui.
Son Excellence Monsieur le Premier Ministre, vous êtes également interpellé pour le suivi de la bonne exécution des résultats issus dudit Conseil de Cabinet.
Son Excellence Monsieur le Président de la République, répondez aux cris de détresse de la population du Bélédougou.
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