Ça y est, la mairie du district de Bamako vient de notifier aux représentants des commerçants détaillants, de libérer plusieurs voies de circulation envahies par les étalages de toutes sortes. Une rencontre préliminaire avait été organisée entre les différents acteurs concernés par ce fléau. Elle était placée sous l’égide du ministre de la sécurité le Général Sada Samaké. C’est ainsi que la date du 7 février 2014 à minuit avait été fixée comme délai de rigueur pour la libération de ces artères. Quant aux voies à libérer, elles sont au nombre de 9. Il s’agit de la route qui va de la place de l’indépendance à la place du souvenir en passant par Gondole Mali-Mag. Sont concernés par cette mesure, les étalagistes qui se trouvent au niveau de la place de la liberté au pont des martyrs. Ceux qui sont installés à l’école Liberté A en passant par le stade omnisports, l’école de Missira, le marché des bananes jusqu’à la photo cola de l’Hippodrome.
Il faut rappeler que tout le centre commercial est concerné par cette mesure.
Station Oilibya : les clients désabusés
La société Oilibya serait-elle en faillite ? Cette question taraude plus d’un Bamakois au regard de la rareté du gas-oil dans cette station. Le client, surtout ceux qui détiennent les bons d’essence, sont désabusés. Ils ne font qu’aller de station en station à la recherche du précieux liquide. Sans succès ! Le problème est monnaie courante et il persiste depuis plus d’une année : la société Oil Libya, héritage de feu Kadhafi, a des difficultés pour satisfaire ses clients. Avec le petit nombre de stations d’essence dans la capitale, dès que le client se présente pour se faire servir, il suffit qu’il dise au pompiste qu’il a un bon d’essence pour que ce dernier lui réponde…qu’il n’y a pas de gas-oil.
Cependant, si cette malheureuse situation persiste, il faudra alors que les responsables de cette entreprise s’apprêtent déjà à rembourser les sommes décaissées pour l’achat de ces bons d’essence. Ou qu’ils ferment boutique. Et sera une mort de plus pour le Guide de la révolution libyenne, le Colonel Mohammad Kaddafi qui ambitionnait le développement de l’Afrique par les africains.
ANASER : le comptable incarcéré, après: la disparition de 25 millions FCFA
L’agence chargée de la sécurité routière a, décidément, du mal à sécuriser ses propres sous. En effet, ce sont 25 millions FCFA appartenant à l’Agence nationale de la sécurité routière (ANASER) qui se sont volatilisés entre les bureaux de ladite structure, située à Lafiabougou, et une banque de la place. L’affaire est depuis au niveau du Tribunal de la commune III où ont été entendus la directrice générale de l’agence, son comptable et un chauffeur. A la suite de son audition, le comptable a été incarcéré.
Assemblée nationale : Fare et SADI s’allient aujourd’hui
En vue de pouvoir former un groupe parlementaire à l’Assemblée nationale, désormais relever de 5 à 10 députés, le parti SADI (5 députés) et les Fare (6 députés) vont signer en principe aujourd’hui au siège de SADI à Djélibougou en commune I du district de Bamako une convention politique.
Il faut préciser que les deux formations politiques s’étaient abstenues de signer le contrat de législature proposé aux partis alliés du RPM, par le Premier ministre Oumar Tam Ly.
Rassemblés par la Rédaction
Cette mesure de déguerpissement n’est tout simplement pas applicable. c’est du déjà vu. les opérations antérieures se sont soldées par des échecs. En effet pour pouvoir débarrasser nos artères du centre commercial, il faut un véritable projet de reconstruction de ce centre. Au lieu de s’adonner à des spectacles vains avec des pauvres vendeurs il faut chercher un investisseur immobilier dans les pays du golf ou en chine qui ont beaucoup de moyens pour venir casser ce centre qui a besoin d’être modernisé en exigeant des constructions avec les normes suivantes:chaque bâtiment aura: un sous sol comme garage, le rez de chaussez en halles pour accueillir tous les kiosques et ambulants qui bouchent les rues et 3 à 4 niveaux supérieurs pour les autres types d’activités. les ambulants ne doivent pas payer le manque d’idées de nos technocrates urbanistes.
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