Les musulmans chez IBK sans Dicko

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Mahmoud Dicko

Contrairement aux apparences, le président IBK n’a pas totalement rompu avec ses amis religieux. En atteste pour le moins son récent conclave avec les leaders de cette confession, la semaine dernière, à l’issue de la grande convergence qui les a réunis dans le cadre de leur contribution à des consultations électorales apaisées. Les leaders islamiques sont allés remettre au chef de l’Etat les conclusions de leurs travaux. Largement diffusée par les médias d’Etat, leur présence massive au Palais présidentiel a été nuancée par l’absence notoire d’un certain puissant président du Haut conseil islamique du Mali. Il est d’ailleurs revenu à son grand rival, Thiéro H Thiam, d’en faire les choux gras en parlant au nom de la délégation pléthorique reçue par IBK. Bref, le nouveau décor consacre manifestement la rupture entre le locataire de Koulouba et un homme qui était naguère encore la notoriété religieuse la plus fréquente au Palais. Entre Mahmoud Dicko – c’est de lui qu’il s’agit – et IBK un mur de glace infranchissable s’est visiblement érigé. Et à quelques encablures d’une présidentielle où les soutiens du président sortant étaient déjà amoindris par la défection d’un autre notable religieux, le Cherif de Nioro notamment.

La Rédaction

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4 COMMENTAIRES

  1. La religion est un système d’esclavage de masse contre les enfants mendiants, les femmes, les hommes par un culte de domestication que constitue la prière, le jeun au profit de fainéants imams qui se nourrissent de la rançon des offices religieux comme baptême, mariage, décès, etc. Libérez vous donc hommes dignes.

  2. Que les religieux s’occupent de religion dans la societe et non dans la presidence. Qu’IBK s’occupe de politique pour gerer les affaires des Maliens, sinon qu’il degage.

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