Une femme a été retrouvée nue au cimetière de Lafiabougou. Elle procédait, selon toute apparence, à des rituels.
Le phénomène prend de l’ampleur dans notre pays surtout en cette période où tous les politiciens veulent accéder à des postes. Est-elle une commerçante, une politicienne, on ne saurait le dire concrètement. De nos jours, ce phénomène de pratiques mystiques et macabres dans les cimetières du pays prend de l’ascenseur avec, de jour comme de nuit, le spectacle peu orthodoxe auquel se livrent les adeptes de maraboutage. Nous posons la question de savoir réellement ce que cherchent nos frères et sœurs dans les cimetières ? Ils sont nombreux, fonctionnaires, hommes d’affaires, sportifs, et hommes politiques à se livrer à ces pratiques dans ces lieux de repos. Tous les ingrédients y sont pour déranger nos morts et ce pour maintenir les affaires ou pour accéder à un poste stratégique. Il n’est pas rare de voir des ministres, dès l’annonce d’un remaniement, mettre tout le paquet pour se maintenir avec ces pratiques peu recommandables.
Vol à Dravéla Bolibana
Une visiteuse s’empare du salaire du personnel
La tension était à son comble en ce mardi 1er novembre 2011 dernier entre le comptable et le personnel. L’agent est revenu de la banque pour la satisfaction du personnel en cette fin du mois n’a pas pris soin de mettre l’argent dans le coffre-fort avant de recevoir une visiteuse à la recherche d’un employé. Touché par la beauté de cette dernière, il usait de toutes les stratégies pour atteindre le cœur de la « déesse ». Au même moment, son portable sonne, il se lève pour répondre à l’appel d’un supérieur. Selon nos sources, juste après son départ, la visiteuse aperçoit l’enveloppe posée sur le coffre-fort. Elle s’empare rapidement de l’enveloppe contenant l’argent des agents qui se préparent activement pour la fête. La même source nous précise que ce n’est pas la première fois que ce comptable est victime de vol de ce genre. Qui lui a dit que les femmes n’aiment pas l’argent ? Toutes les recherches sont restées vaines pour retrouver la charmante avec les 850.000 FCFA.
Place CAN
Un boutiquier bastonne sa femme
Un boutiquier bastonne copieusement sa femme en ce 30 octobre 2011 à cause de sa copine. Le non refus de la femme de remettre deux kilos de sucre en l’absence du mari est à la base de cette tension. La copine se voyant humiliée n’a pas tardé à joindre son amant pour se plaindre du comportement de sa femme. Selon nos informations, la copine, une vendeuse de bouillie, n’arrivant pas à honorer ses engagements envers le boutiquier, est devenue du jour au lendemain sa maîtresse, payant en nature ses dettes. Cette relation a été mal perçue par la femme du boutiquier. En attendant, le calme est revenu entre le boutiquier et sa femme grâce à l’intervention des voisins qui ont conseillé au boutiquier de faire très attention pour éviter la faillite.
Affaire de bar
Un militaire terrassé par sa femme
Notre ami le militaire était un homme d’une autre époque. En cette veille de Tabaski où chacun court pour satisfaire les besoins de la famille, il se permet, après avoir touché son salaire, de se rendre dans un bar de la place en compagnie de trois mange-mil. Pour ne pas remettre l’argent de la popote, il ose dire à sa femme qu’il a des ennuis avec son patron et ne pouvait toucher son salaire de ce mois. La pauvre dame, pour rendre ses enfants belles, s’est déployée auprès de ses parents pour avoir de l’argent. Il a fallu la présence d’un ami de son mari pour avoir la vraie information. Aussitôt, elle appelle son mari, déjà entouré de filles. Et comme elle connaît son endroit préféré, elle débarque avec un bâton. Le sauve-qui-peut s’installe. La chance était du côté de la dame qui arrivera à mettre la main sur le mari, le terrasse de force. Les filles ont pris la jambe à leur cou.