Jamais un régime n’a été sous le coup d’accusation de ses populations. Ces dernières qui croyaient tourner les douloureuses pages de la crise de l’occupation doivent prendre leur mal en patience pour voir la relance de l’économie locale. Entrepreneurs, commerçants, vendeuses de condiments au marché attendent impatiemment la relance de l’économie locale qui se fait toujours attendre.
Si le pouvoir se targue d’avoir une macro économie qui se porte en forme, force est de constater que la micro économie qui soutient l’économie locale laisse à désirer. La majorité des concitoyens qui vivent de cette économie locale, attendent depuis belle lurette sa relance par les autorités. C’est toujours l’attente. En attendant, le panier de la ménagère en fait les frais de cette situation peu confortable. En faisant un tour dans nos marchés vous êtes frappés par le manque de la clientèle devant les commerces ou vendeuses de condiments.
Les propos de ce commerçant d’articles divers frisent avec la réalité : « nous passons des journées entières à scruter la venue de potentiels clients pour payer nos produits mais en vain. Non seulement les clients manquent et quelques uns qui viennent retournent sans rien payer. Après avoir marchandé, ils retournent sur leurs pas arguant que les produits sont chers et ne sont pas à leur portée. On ne les en veut pas, car la crise est là. Si les autorités ne font rien pour dénouer la situation, les petits entrepreneurs disparaitront des écrans et le pays va en pâtir ».
Même son de cloche chez cette vendeuse de condiments au Marché Bomboli en commune II du district de Bamako : « auparavant je finissais de vendre mes condiments avant 11h00. Toutes celles qui arrivaient après cette heure trouvaient mon étal fermé. Aujourd’hui, je passe presque une bonne partie de la journée sous écouler la moitié des condiments. C’est la décadence chez nous vendeuses de condiments. Nous ne savons où se donner la tête, la crise est présente », a dit en soupir notre interlocutrice.
Ce banquier de la place déplore la crise économique en ces termes : « le secteur bancaire souffre de plus de cette crise économique que connait le pays. Les dépôts d’argent se font rares. Ceux qui plaçaient des sommes de 10 millions avant la crise arrivent à peine à placer 4 millions voire 5 millions. Ceux qui étaient dans la fourchette de 40 à 80 millions ont régressé en revenant dans la fourchette de 10 à 20 millions de nos francs. Cette situation est due à la crise socio économique qu’a connue le pays et jusque là, on n’est pas parvenue à la juguler. Si la situation évolue de la sorte, on peut craindre une crise bancaire aux conséquences fâcheuses dans notre pays. Il revient aux autorités à trouver la solution avant que la situation ne s’empire », a martelé notre banquier.
Comme vous pouvez le constater, la crise économique est loin d’être jugulée par le régime en place. Quoi qu’on dise les citoyens maliens dans leur majorité souffre de cette crise. Ceux qui exercent des activités libérales tels que les artisans, les entrepreneurs, commerçants … sentent de plus la crise. Partout, des gens poussent des cris de détresse afin qu’on les vienne à l’aide. Toutes les localités du pays vivent le phénomène à des degrés divers avec une toile de fonds au panier de la ménagère touché de plein fouet. Les prix de denrées de première nécessité ne cessent de grimper dans l’indifférence totale du pouvoir en place qui se complait à dire que tout va bien. C’est le lieu d’interpeller les autorités du pays à jeter un œil sur le citoyen lambda qui souffre beaucoup de cette crise. Cela s’appelle relance de l’économie malienne.
Par Hassane Kanambaye
Avec la mise en place des autorités intermédiaires, l’administration malienne sera représenté partout au nord cela mettra fin à la crise que nous vivons. Ainsi beaucoup de choses seront accessibles.
Depuis l’arrivée d’IBK au pouvoir la croissance économique du Mali a été soumise à plusieurs chocs exogènes. Le taux de croissance s’est maintenu autour de 4,5 % ces dix dernières années, à la faveur d’un développement rapide de l’offre de main-d’œuvre, de l’urbanisation (parallèlement au développement du secteur informel et de l’activité tertiaire), de l’agriculture extensive, de l’investissement public et de l’extraction d’or.
le développement économique est un changement de mental nous peuple malien avons dit que nous voulons aller au développement et c’est le début donc acceptons ce sacrifice pour un lendemain meilleur.
La reprise est attendue, notamment dans le BPT et les services, avec des taux de croissance respectifs de 5.6 % et 7 % prévus pour 2015.
Cette croissance est tirée par le secteur primaire (9.4 %), grâce aux performances du sous-secteur agricole (en hausse de 13 %), consécutives à une bonne campagne. L’activité a aussi été stimulée par le secteur tertiaire (4.8 %), avec un regain d’activités dans les transports et télécommunications (7.4 %) ainsi que le commerce (3%). En revanche, le secteur secondaire a connu une contre-performance en 2014 (1.8 % contre 5.5% en 2013)
L’inclusion spatiale est devenue l’une des priorités du Mali, aussi bien pour réhabiliter l’État que rétablir la sécurité et reconstruire l’économie.
le régime en place fait toujours des efforts pour que le peuple malien soit à l’aise. le gouvernement a fait et continu de faire car en ans de gestion nous voyons une croissance économique et cela encourage. soutenons le pouvoir en place.
Malgré les efforts du gouvernement et de la communauté internationale, la crise politique et sécuritaire de 2012 s’est soldée par une hausse de la pauvreté, passée de 41.7 % en 2011 à 42.7% en 2012.
la cherté de la vie est dure la crise que vit notre pays en ce moment et cette crise est presque à sa fin et la lute contre la cherté de la vie commence.
L’économie malienne a confirmé la reprise amorcée en 2013 avec un taux passé de 1.7 % à 5.8 % en 2014 et prévu à 5.4 % en 2015, dans l’hypothèse d’un accord de paix conclu à Alger.
que chacun prend son mal en patience car le gouvernement est au travail et c’est pour nous les maliens qu’il est là. nous devons croire au pouvoir en place et les petites entreprises se développeront.
une fois que les denrée de première nécessité commence à devenir chère cela montre que l’économie malienne est en marche avec le régime IBK. Que la population se patiente car des travaux sont en cours pour la baise des produits de première nécessité.
Le régime au pouvoir est en train de relever l’économie malienne, raison pour laquelle temporairement nous remarquons que les denrées de première nécessité ont augmentés. La population doit prendre son mal en patience dans peu de temps le gouvernement trouvera une suite favorable à tous.
L’économie malienne a souffert de la crise mais les prévisions de croissance, la poursuite du soutien financier de la communauté internationale et les mesures envisagées par le ministre des Finances permettent d’espérer que le pays retrouve son sentier de croissance des années 2000-2010. Durant cette décennie, le PIB a cru au taux annuel moyen de 5,7 %. Le PIB malien a enregistré en 2012 un recul de 0,4%, après une année 2011 dont la croissance avait déjà été assez faible (2,7%). Mais la croissance a rebondi en 2013 avec 1,8 % puis a été de 7,2% en 2014. En 2015, le taux de croissance est estimé à 5,5%.
La crise de 2012 a tiré le Mali vers le bas, à cause de cette crise l’avenir de notre pays c’est tirer encore vers le bas. Cette crise reforme plusieurs catastrophes car c’est une crise multidimensionnelle. Le nouveau régime né en 2013, s’est plus confronter à plusieurs problèmes urgents à résoudre à la fois.
Lors de crise de 2012 l’économie malienne a pris coup, le coup d’Etat du 22 mars 2012 a ruiné le Mali. Le régime d’IBK n’est pas a considéré comme le fautif mais plutôt le solutionnaire, car il arrive de plus en plus à répondre à de nombreux défis.
On ne peut pas aimer une chose et son contraire, le peuple malien aspire au développement sans faire de sacrifice. J’invite tous les vrais patriotes, je dis et redire tous les vrais patriotes doivent apporter leurs pierre à l’édifice. IBK est un grand économiste, il gère très bien la situation.
Le mois passé nous avons assisté à la rechute du prix du carburant et de plusieurs choses, seulement pour vous soulignez que le gouvernement n’est pas en reste même le gaz butane est subventionner par l’Etat. L’Etat fait de son mieux comme il peut pour qu’au moins les denrées de première nécessité soit à la porter de la population. Comme on le dit si bien « Il n’y a pas de fumée sans feu ». Les autorités ont simplement poussés le bouchon loin pour que l’économie de notre pays puisse se redresser et voler de ses propres ailes.
Moi ce dont je ne comprends pas dans mon quartier, les commerçants détaillants ont pas tous la même quantité malgré que les prix sont les même. Surtout concernant les denrées de première nécessité. J’ai fait ma petite enquête et j’ai remarqué que c’est toujours la faute des fournisseurs mais très souvent des revendeurs aussi. Tout le monde à sa part de responsabilité dans cette affaire de la hausse des denrées de première nécessité.
Tu as raison comme le dit l’adage bamanan « La dépouille de la chèvre est sans propriétaire et l’hyène se décide toujours propriétaire ». C’est dans ce genre de situation que la population devient elle-même son pire ennemie. La cherté de la vie n’est pas que la faute du gouvernement la population aussi est fautif dans cette affaire.
La presse malienne a perdue toute sa crédibilité et sa dignité, parce que le manque de professionnalisme manque le plus dans ce milieu. Les journalistes maliens racontent toujours des balivernes.
Vue la crise multidimensionnelle dont traverse le pays les commerçants et les fournisseurs doivent faire preuve de patriotisme et de bonne foi. Les fournisseurs, les commerçants grossis et détaillants profitent toujours de la situation pour rehausser le prix des denrées de première nécessité. Le pays appartient à tous et tout le monde doit donner le meilleur de soit pour sa bonne cause. Le gouvernement produit des efforts à la population en particulier les vendeurs d’en faire de même.
Quand on a un pays assez défavorisé comme le notre avec des sources de revenus assez limités; ce n’est vraiment pas du tout aisé de s’en sortir économiquement. Aussi avec la conjoncture que le pays a connu après la crise de 2012 qui a été à la base de plusieurs investisseurs et notre dépendance des importations; ce n’est pas chose facile mais nos autorités doivent engager de plus en plus de mesures pour que nous ressentions les effets de la croissance.
Les actions menées dans le sens de la relance de l’économie ont portée leurs fruits mais pour booster cet élan les choses n’ont pas suivi comme il se doit car les partenaires techniques et financiers ont pris des engagements qu’ils n’ont pas respecté; c’est ce qui est à la base de cette situation.
La crise économique dans notre pays a été jugulé mais les retombées sur la poche du citoyen ne se sont pas fait encore sentir. Nous avons eu un taux de croissance de 6% ce qui n’est pas du tout négligeable pour un pays qui était à 2% de croissance il y a quelques années.
Il faut vraiment que les autorités chargées du contrôle des prix prennent des mesures répressives contre les personnes qui ne respectent pas les prix fixés par le gouvernement et aussi ceux qui font de la concurrence déloyale car malgré que les impacts de relance économique ne sont pas assez ressenti; les commerçants aussi en font trop en augmentant les prix des denrées de manière incontrôlée.
Les dispositions sont déjà prises car l’état subventionnent les engrais et certains produits de premières nécessités afin que les produits puissent revenir moins chers aux populations. Mais les commerçants qui veulent se faire des profils allant souvent jusqu’à 150% sont les responsables de cette situation.
Comment comprendre par exemple qu’on achète 1 kilo de tomates au paysan pour 400f et le revendre à 1000 f?
Ça aussi c’est le gouvernement?
Le gouvernement de notre pays a entrepris plusieurs reformes dans le domaine de l’économie. Ce qui a permis de relever le niveau de notre économie mais seuls les spécialistes le diront assez bien; les effets de cette croissance ne peuvent pas être visibles aussi rapidement. Il faut donc que nous soyons patients car les souffrances économiques seront bientôt derrière nous.
L’économie malienne malgré l’état chaotique dans lequel le président IBK a trouvé le pays a connu une nette amélioration.Cet article fait allusion à une autre économie peut être mais pas celle de notre pays.Tous les experts sont unanimes du fait que le président IBK a fait un progrès notable sur le plan économique.
Cette situation est imputable à nos commerçants car ils augmentent les prix comme bon leur semble.
Imaginez vous un instant je prends un exemple banal: une plaquette d’œufs que j’ai l’habitude d’acheter à 2000 et que le commerçant me dit que le prix est de 2300 francs sans pouvoir donner de raison valable à mes questions. Est ce que là encore c’est la faute au gouvernement?
Soyons objectifs et voyons les choses en face car nous sommes nous même responsables de cette situation.
Certes les effets de la relance économique ne sont pas encore ressenti mais nous sommes aussi des spécialistes de la spéculation comment pouvons nous bien nous ne sortir?
Malgré les normes que posent l’état concernant la fixation des prix; chaque commerçant impose le prix qui lui sied prétendant qu’il a obtenu les marchandise à un coup élevé pourtant souvent il s’agit des produits subventionnés par l’état. C’est donc normal que les choses deviennent chères.
L’’état subventionne les denrées de premières nécessités mais ce sont nos commerçants qui voulant se remplir les poches à tout prix ne manquent pas d’astuces pour renchérir les prix des marchandises. C’est ce qui est à la base de la cherté de la vie.
Je crois que dans cette situation même si le gouvernement à une part à jouer; il revient aux associations des consommateurs d’entreprendre des actions en vue de dénoncer toutes augmentations injustifiées des prix des denrées de premières nécessitées et mener des actions afin que des solutions puissent y être trouvé.
IBK a fait des preuves durant ces deux années et quelque mois au pouvoir. A commencer par l’avènement de la paix, la relance économique avec un taux de 7,2% de progression, la réintégration de la confiance de la communauté internationale et des partenaires financiers avec notre pays, la reconstruction de l’armée avec des programmes de formation de l’EUTM. Même sur le plan sportif le bilan est à applaudir. Bravo à IBK !!!
Monsieur le C’est le travail qui fait l’homme et c’est le travail qui a donné cette crédibilité à l’homme d’IBK. A moins de deux ans il a fait signer le Mali plus de 400 projets dans tous les domaines et dans tous les secteurs que cela soit politique, économique, social, sécuritaire ou religieux. IBK la solution les maliens vous soutiennent toujours, il ne faut pas écouter les jaloux, ils veulent faire une prise de conscience des ignorants qui ne connaissent pas la réalité des choses. Vive le Mali et vive IBK. Monsieur Journaliste, les militaires n’ont pas voté pour qu’IBK les transforme à des milliardaires, ils ont voté IBK pour que leurs conditions de travail soient dans les bons états. IBK est venu pour régler les problèmes du Mali et non pour satisfaire une particularité.
Mais monsieur le journaliste malgré toutes vos diffamations ou mensonges, le vieux réussit à faire du mieux. Malgré les difficultés conjoncturelles, le Mali progresse, avec un taux de croissance de 7,2%, contre 1,7% au moment où IBK venait aux affaires, en septembre 2013. Qui dit mieux
Monsieur tu ne t’es pas trompé, c’est nous qui avons voté IBK et nous soutenons encore jusqu’à la fin de ses mandats. Toi tu n’as jamais aimé IBK à forte raison de te tromper donc détrompes toi égoïste que tu sois.
IBK est venu trouvé le Mali dans ce trou et c’est grâce au contraire que les choses bougent maintenant en bon train sur tous les plans. Agriculture, armée, économie et partenariat même sur le plan sportif. Qui dit mieux !
Moi président du Mali, j’arrêterais tous les auteurs des informations susceptibles d’incitation populaire ou aux insurrections populaires.Je pense que ces journalistes exagèrent à la fin.
Si j’étais le président de la république, je décréterais que tous les journaux ou informations soient sous contrôle d’abord avant sa publication ou bien que chacun justifie ou apporter des preuves concrètes à l’appui de son information.
Au Mali nous n’avons plus un média privé mais un média pyromane. Ce sont les médias privés qui sont les sources de désinformation actuellement. Ils transforment totalement les réalités en mensonges et vice-versa.
Au Mali actuellement les journalistes deviennent plus dangereux que l’insécurité même. Certains journalistes publient des articles qui peuvent transformer le Mali en un seul jour à AFGANISTAN, tellement que sont bourrés des bêtises qui incitent la révolte de la population.
Monsieur le journaliste, en toute franchise, j’ai été déçu par votre article du jour. Je ne m’attendais pas à une telle analyse de votre part. Dites-moi en toute sincérité si la vie est toujours chère, malgré les efforts déployés par les autorités en places depuis fin 2013? Ces témoignages sont tous des scénarios que vous avez montés.
C’est aussi facile que cela de dire que la vie est chère au Mali. Notre pays vient de traverser une crise. C’est le fondement de la cherté de la vie.
Je me demande ce que les maliens attendaient et attendent toujours d’IBK. Après avoir été élu à la Magistrature Suprême de notre pays en période exceptionnelle, la rébellion qui n’épargne rien. Les compatriotes malintentionnés disent encore que la vie est devenue chère sous le régime d’IBK. Aucun malien n’est censé ignoré cette cherté depuis le régime d’Alpha Oumar Konaré. Mais je ne suis pas surpris d’attendre cela de la bouche d’un journaliste. Car nos journalistes sont tous des corrompus et des détracteurs payés par les opposants, tels que Soumaïla Cissé et Tiébilé Dramé.
Vous n’êtes qu’un sale journaliste, Hassane Ibrahim Boubacar a toujours fait et continuera de faire la gloire des citoyens maliens. Ce n’est pas à cause de votre article de con que nous allons laisser tomber cet homme qui ne ménage aucun effort pour notre bonheur.
Le régime en place est à féliciter sans cesse. Arrivé en période de crise, il a fait de son mieux dans la satisfaction du peuple. Ce plan de redressement présenté peut faire notre affaire. Donc que les bailleurs de fonds s’engagent à nos côtés.
Si notre économie est confrontée à de tare de problèmes aujourd’hui c’est que le régime précédent a mal géré le domaine. Sinon le régime en place allait facilement relancer notre économie. Mais malgré tout il est arrivé à faire de son mieux. Nous félicitons le pouvoir en place.
Le président de la république et son équipe travaille nuits et jours pour que les citoyens puissent se glorifier de leur gestion. Dès son avènement au pouvoir, IBK n’a pas caché sa volonté de relancer notre économie. Et il a fait l’essentiel.
Avant l’arrivée d’Amadou Toumani Touré à la présidence de notre pays, l’économie malienne était sur un seul pied. Mais dès son arrivée il a cassé ce seul pied qui tenait notre économie débout. Le régime en place essaye de trouver coûte que coûte une solution pour relancer cette économie mais difficilement. Bonne chance à IBK.
Notre pays est déjà sur le point de se relancer. Nous sollicitons des bailleurs de fonds de ne pas trop se fier aux résultats de l’ancien régime pour se désolidariser de notre pays et ses autorités. Le personnel dans le domaine économique d’IBK est différent de celui sous ATT.
Peut importe comme les bailleurs de fonds procéderont. Mais notre pays a besoin du financement pour non seulement relancer son économie mais aussi pour la bonne mise en œuvre de l’accord de paix issu du processus d’Alger.
Les maliens peuvent sans doute se glorifier de leur économie aujourd’hui. Car malgré la situation dans laquelle le pays se trouvait, IBK dès son investiture jusqu’aujourd’hui, a fait du jamais fait et du jamais attendu dans ce pays avec un budget annuel de 2000 milliards FCFA. C’est un succès qu’il a fait.
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