Le réseau citoyenneté et co-entrepreneuriat et DE JOKO Ni MAAYA : Une solution pour une sortie durable de la crise globale et sécuritaire

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Suite à une analyse comparative du Chapitre VII de la charte des Nations Unies et l’article 7 de la loi O4-051 du 23 Novembre 2004, portant organisation de la défense Nationale du Mali, le Réseau de la Citoyenneté et du Co-entrepreneuriat et l’Association JOKO ni MAAYA, concluent, que nos autorités disposent le levier sur lequel elles peuvent s’appuyer pour résoudre définitivement et proprement la crise Malienne. La crise Malienne n’étant qu’économique majoritairement, cette loi O4-051 donne droit à l’état  Malien, sans conteste nulle part au monde, de relire tous les contrats de gestion des affaires publiques avec les milieux des affaires nationaux et multinationaux. 

 

 

Avec seulement un petit décret d’application de l’article 6 de la loi 04-051 du 23 Novembre 2004, sur la disposition du droit de soumettre à contrôle et à répartition les matières premières, Sociétés de téléphonie mobiles (Orange Mali, SOTELMA), etc. En conformité avec le standard S2 du Seuil de Sécurité Economique et Sécuritaire pour toute localité présente et future abritant une branche co-entreprise afin de contenir les menaces et réduire les attaques contre les 4S.

 

 

Il s’agira donc de:

–  renforcer la capacité de rétention de richesse de la nation avec 5% du capital d’investissement aux communautés des localités ;

– Renforcer la capacité de participations aux emplois  des communautés pour 5% ;

– Formation du capital de la branche co-entreprise économique Africaine selon les règles de rétention des richesses et des emplois de la nation (45% entreprises prives et les communautés des localités; 15% entreprises privées des nations africaines qui acceptent cette stratégie de globalisation du co-entrepreneuriat; 40% aux multinationales  autres qu’africaines dont 25% à une entreprise partenaire stratégique, 15% pour un pool de partenaires)

– Révision des codes miniers et de tous les contrats miniers pour la norme ci-dessus de 4S et le standard S2;

– Création de la co-entreprise sécuritaire du Sahara (COESA) branche de Tessalit;

– Commandement sous le leadership de l’Union Africaine/CEDEAO (15% Mali; 45% UA/CEDEAO; 15% USA/AFRICOM; 25% pool de partenaires UE, Chine, Russie, Canada, etc.);

 

– Mesures et Programmes de stimulation;

-Acte de réquisition suivant la loi O4-051 du 23 Novembre 2004 (60% des productions industrielles de l’Or 2013; 100% du contrôle de la production Industrielle; 100% de Fonds d’Accès Universel (FAU).

 

 

Cette recette d’un Malien, qui est une production scientifique, de marque déposée, a été largement diffusée auprès de nos autorités de transition, qui elles seules,  connaissent les raisons de leur refus d’application de ladite loi 04-051 du 23 Novembre 2004, même si, en partie elles s’y appuient pour nommer les hauts fonctionnaires de la défense auprès des départements ministériels. Ce qui est sûr, il est connu que beaucoup de nos dirigeants sont en collusion avec ces multinationales.

 

 

Sans démordre en un seul instant, le Groupe JOKO ni MAAYA et Réseau de la Citoyenneté et du co-entrepreneuriat, ont fortement interpellé nos autorités depuis la crise de Mars 2012, pour l’application la Loi 04-051 du 23 NOV portant Organisation Générale de la Défense Nationale pour un Plan de Sortie durable de la Crise Sociale globale et Sécuritaire. Nous estimons que se trouve à ce niveau, la Solution ou en tout cas l’une des meilleures solutions pour une Sortie de Crise immédiate et durable. Malheureusement, nous constatons un refus total de la  part de nos gouvernants sans raison à nos yeux.  Nous estimons que ce refus ne peu  qu’être un crime à condamner. Une plainte du Réseau Citoyenneté et Co-Entrepreneuriat contre le Premier Ministre du Gouvernement de Transition du Mali pour forfaiture (Art 72 du Code Pénal de la Loi No. 01-079 du 20 aout 2001) est déposée auprès de  Monsieur le Procureur Général.

 

 

Dr. Daba Coulibaly

Réseau Citoyenneté Co-entrepreneuriat

JOKO ni MAAYA

Tél : 76 48 79 39/66 02 76 69

E-mail : dabaacfp@yahoo.fr

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