Le Mali en crise : Inertie de la Société Civile

200
Budget annuel 2015 adopte avec ses risques : Bonjour les scandales !
Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEITA, Président de la République

Deux ans après la tenue de l’élection présidentielle, suivie des législatives, notre pays peine à se relever. Beaucoup de gens pensaient que l’arrivée de M. Ibrahim Boubacar Keïta au pouvoir contribuerait à amoindrir les effets de la grave crise de leur pays. L’homme, lui – même, promettait monts et merveilles à ses électeurs. A son peuple, il assurait ne devoir dire que la vérité. M. Ibrahim Boubacar Keïta ne se privait pas d’interpeller ses proches collaborateurs si jamais ils ne lui disaient pas la vérité à leur tour.  Mais au fil du temps, l’on se rend compte que tout cela n’était que du bavardage.

Par exemple, l’opérateur économique Bazoumana Fofana court aujourd’hui dernière la justice de son pays. Floué par la direction de l’Office du Niger, trimballé de tribunaux à tribunaux, il n’a cessé d’alerter les autorités du pays. Presque toutes les Institutions de la République ont été informées, par correspondances, des déboires du vieux Fofana. Aucun département ministériel ne saurait ignorer son affaire.

Idem pour les associations et organisations de la Société Civile. Le Haut Conseil Islamique du Mali de Mahmoud Dicko a été largement informé.

Lui est considéré comme le proche des proches du Chef de l’Etat, M. Ibrahim Boubacar Keïta. C’est à lui et à d’autres que le Chef de l’Etat a demandé de lui dire toujours la vérité. L’on sait que dans beaucoup de situation, Mahmoud Dicko avait pris son courage des deux mains pour parler. Dans le cas Bazoumana Fofana, c’est son silence qui continue d’étonner le public. Membre très influent de la Société Civile, il pourrait, avec le président Allaye Touré, faire bouger les lignes. L’opinion a confiance en eux. Ils ne sont pas dans une tour d’ivoire contrairement au Médiateur de la République, M. Baba Akhib Haïdara, qui feint d’ignorer les problèmes du pays. En fournissant un peu d’effort en faveur du vieux Bazoumana Fofana, un opérateur économique, ils rendront tous un grand service à leur pays. Car, cela contribuerait à atténuer, tant soit peu, la crise actuelle.

Koné

Commentaires via Facebook :

200 COMMENTAIRES

  1. Monsieur KONE a faim. Il faut le comprendre. Voici un petit cours que vous aurez visiblement raté. Les régimes démocratiques sont organisés selon le principe de la séparation des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire afin d’éviter leur concentration entre les mains d’une seule personne. Certaines Constitutions privilégient la stricte séparation des pouvoirs, d’autres leur permettent, tout en étant distincts, de disposer de moyens de contrôle les uns à l’égard des autres.

    • Le pouvoir législatif est chargé de la rédaction et de l’adoption des lois mais également du contrôle de l’exécutif. Le pouvoir législatif est généralement exercé par le Parlement, composé d’une ou deux chambres. Au Mali, le Parlement est composé d’une seule chambre : l’Assemblée nationale.

    • Le pouvoir exécutif met en œuvre les lois et conduit la politique nationale. À cette fin, il a le pouvoir d’édicter des règlements et il dispose de l’administration et de la force armée. Il peut détenir des moyens de contrainte vis-à-vis du pouvoir législatif (ex : dissolution de l’AN). Le pouvoir exécutif est exercé par le chef de l’État, qui joue un rôle plus ou moins important selon les régimes, et par le Gouvernement.

    • Le pouvoir judiciaire applique les lois pour trancher les conflits entre les particuliers ou entre l’État et ces derniers. Son indépendance est primordiale, puisqu’elle est la condition de son impartialité. C’est généralement la Constitution qui définit ses compétences et qui garantit son indépendance.

    • Enfin, la Constitution définit également l’organisation des pouvoirs publics locaux. Elle distingue les compétences respectives de l’État central et des institutions locales.

  2. Monsieur KONE, dans votre article on voit que le petit versement en FCFA que vous avez perçu de monsieur Bazoumana Fofana ne vous aide pas dans la réflexion. 😯 😯

    En quoi le président est-il responsable de la descente aux enfers de ce monsieur ?
    Si Monsieur Bazoumana est victime d’une machination ou d’un quelconque délit, ce n’est pas au président de la République de lui venir en aide.
    Il a saisi la justice, c’est tout en son honneur. Dans une République qui se respect comme la nôtre, il est important de mettre en évidence le fonctionnement des institutions.
    Si IBK se mêle du problème de monsieur Bazoumana, il y aura ce qu’on appelle ingérence du pouvoir judiciaire. Il fait bien de ne pas se prononcer sur ce problème. Après vous allez le traiter de dictateur. 😯 😯 😯 😯 😯 😯

    Je pense que si vous étiez un peu intelligent, vous vous souviendrez de la notion de la séparation des pouvoirs. Quand il faut discuter de vos intérêts, vous voulez que le président IBK bafoue les droits de la République. :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

    Votre description de la politique générale du président IBK n’à rien avoir avec monsieur Fofana. 😉 😉 😉 😉 😉 😉

  3. La médiocrité du journalisme malien est connu de tous , mais qu’il en soit réduit à une telle bassesse et à ce stade , c’est pathétique , très pathétique .

  4. Il ne faut pas outre passer ses compétences.Le président n’a pas été élu pour trancher une affaire de justice.Il revient à la justice de la rendre.

  5. Il ne faut pas outre passer ses compétences.Le président n’a pas été élu pour trancher une affaire de justice.Il revient à la justice de la rendre.

  6. Monsieur Bazoumana Fofana doit bien savoir à quelle institution il doit s’adresser pour avoir gain de cause .Mais vous les journalistes véreux n’allez pas prendre cela pour accabler la population et rejeter la faute sur IBK. Laissez la justice faire son travail. 🙁 🙁 🙁

  7. L’affaire BAZOUMANA FOFANA est purement et simple juridique.Nous sommes pas une anarchie à ce que je sache mon cher journaliste.De grâce, laissez le président en paix.

  8. Rendre justice revient au pouvoir judiciaire.En effet le cas Bazoumana, je pense qu’il faut laisser la justice rendre compte et exclus le président dans cette affaire.

  9. A chacun son travail.Mr Koné,faites votre travail de journaliste,le pouvoir judiciaire fera son travail pour que le président IBK puisse faire son travail de Président. 😛 😛 😛

  10. Franchement, ces journalistes ne finiront jamais de nous raconter des ragots.Monsieur KONE, vous appelez les associations et organisations de la Société Civile et Le Haut Conseil Islamique du Mali d’intervenir auprès du président sur l’affaire Bazoumana. Au lieu,d’appeler ces corporations d’intervenir auprès du président pour que justice soit faite, il était préférable que vous demandiez à ceux-ci de demander à la justice de rendre justice.

  11. IBK fais bien de ne pas se mêler de cette histoire.Car s’il le faisait,c’est encore vous,les journalistes véreux qui allez vous lever pour dire qu’il veut contrôler la justice.Alors,laissez la procédure suivre son cours normal jusqu’à son terme. 🙁 🙁 🙁

  12. La justice est l’amour guidé par la Alors le pouvoir judiciaire malien fera du bon boulot pour la satisfaction de bazoumana

  13. Monsieur Koné,il est vrai que IBK a promis de rendre justice à tous les justiciables.Mais il ne peut pas tout faire à la fois.C’est pourquoi il y a la séparation des pouvoirs pour permettre une nette visibilité dans toutes les affaires et aussi une certaine rapidité d’exécution.Donc si cette affaire traîne toujours,ce n’est pas la faut de IBK. 🙁 🙁 🙁

  14. Monsieur le journaliste, j’aimerais vous rappeler que nous sommes dans un régime démocratique dont les pouvoirs sont séparés.La justice, à la justice et l’exécutif à l’exécutif.Veuillez laisser le président hors de cette affaire.

  15. Cher journaliste je vais vous donner un cour gratuit sur le pouvoir judiciaire vu que vous manquez de moyens pour vous informez:

    LE POUVOIR JUDICIAIRE

    OBJECTIFS :

    1 – Le rôle des structures du pouvoir judiciaire est connu

    2. Son importance au sein des institutions républicaines est comprise.

    CONTENU :

    1. Rôle et structures
    2. a – ­Rôle

    * En cas de conflits, statuer sur la base de la loi.
    * Rendre justice et sanctionner le non respect de la loi.

    b ‑ Structures .
    ‑ Pouvoir judiciaire spécial (Cour Constitutionnelle, Haute Cour de justice)
    ‑ Pouvoir judiciaire ordinaire : Les tribunaux, la Cour d’Appel, la Cour suprême, le Conseil Supérieur de la Magistrature.

    2. Les compétences
    * Arbitrer les différends entre Institutions de 1’Etat
    (Cour Constitutionnelle, Cour Suprême, Conseil Supérieur justice)

    * Arbitrer les différends entre Institutions de I’Etat et les citoyens
    (Cour Constitutionnelle, Cour Suprême, Tribunaux)

    * Arbitrer les différends entre citoyens (tribunaux ordinaires) le principe de 1’indépendance du pouvoir judiciaire dans 1’application de la loi.

    3. L’indépendance du pouvoir judiciaire
    * Le juge décide conform2ment a la loi et en sa conscience. Ni 1’exécutif, ni le législatif ne doivent intervenir dans le cours de la justice.

    * L’indépendance est garantie par 1’inamovibilite du juge et le fait qu’il n’est subordonné dans 1’exercice de sa fonction, qu’a la loi et a sa propre conscience.

    * Exemple de manifestation d’indépendance et son importance pour la Société : cas des juges anti‑corruption en Italie et en France.
    SUGGESTIONS

    1. L’animateur pourrait attirer l’attention sur le fait que 1’indépendance proclamée du juge peut souffrir de restriction par le truchement des mesures disciplinaires.

    2. La crainte des mesures disciplinaires peut conduire le juge a ne pas jouir de son indépendance; Cette crainte peut être vaincue par le courage civique. Le courage civique est d’autant plus grand qu’il est soutenu par la Société civile et même la classe politique soucieuse du bien commun.

    3. Le Président de la République, chef de 1’exécutif (cas du Bénin) est en même temps, Président du Conseil Supérieur de la Magistrature. Il est habilité a prendre des mesures disciplinaires et a nommer les magistrats. Ce pouvoir peut être utilisé pour renforcer la démocratie comme il peut 1’être pour renforcer I’arbitraire, la non ‑transparence, les injustices. Le silence ou I’inaction des citoyens favorisent le renforcement de ces tendances négatives.

    Matériels didactiques

    DU POUVOIR JUDICIAIRE

    Article 125.‑ Le pouvoir Judiciaire est indépendant du Pouvoir Législatif et du Pouvoir Exécutif. Il est exercé par la Cour Suprême, les Cours et Tribunaux créés conformément à la présente Constitution.

    Article 126.‑ La justice est rendue au nom du Peuple Béninois. Les juges ne sont soumis dans 1’exercice de leurs fonctions, qu’a 1’autorité de la loi . Les magistrats du siège sont inamovibles.

    Article 127. ‑ Le Président de la République est garant de 1’indépendance de la justice. Il est assisté par le Conseil Supérieur de la Magistrature.

    Article 128. ‑ Le Conseil Supérieur de la Magistrature statue comme Conseil de discipline des magistrats.

    La composition, les attributions, l’organisation et le fonctionnement du Conseil Supérieur de la Magistrature sont fixés par une loi organique.
    Article 129. Les magistrats sont nommés par le Président de la République, sur proposition du Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, après avis du Conseil Supérieur de la Magistrature.

    Article 130‑ Le Conseil Supérieur de la Magistrature étudie les dossiers de grâce et les transmet avec son avis motivé au Président de la République.
    😆 😆 😆 😆 😆

    • merci belzebult moi aussi je vais evoquer le rôle du Président de la republique:
      On distingue les pouvoirs propres au Président de la République et les pouvoirs partagés. Ces derniers nécessitent un contreseing ministériel.
      Les pouvoirs propres :
      la nomination du Premier ministre (>> art. 8)
      le recours au référendum (>> art. 11) sur proposition du gouvernement ou sur proposition conjointe des deux assemblées.
      le droit de dissoudre l’Assemblée nationale (>> art. 12)
      la mise en oeuvre des pouvoirs exceptionnels de l’article 16 (>> art. 16)
      le droit de message aux assemblées parlementaires (>>art. 18)
      la nomination de trois des membres, et du président du Conseil constitutionnel (>> art. 56)
      le droit de saisine du Conseil constitutionnel (>> art. 54 et art. 61)
      Les autres pouvoirs du Président de la République sont contresignés par le Premier ministre et, le cas échéant, par les ministres responsables (>>art. 19) :
      le Président de la République dispose du pouvoir réglementaire
      il nomme les ministres et met fin à leurs fonctions (>> art. 8),sur proposition du Premier ministre.
      il signe les ordonnances et les décrets délibérés en conseil des ministres (>> art. 13).
      il nomme aux emplois civils et militaires de l’Etat (>> art. 13). L’article 13 précise les nominations devant choir au Conseil des ministres et renvoie à une loi organique.
      il peut convoquer le Parlement en session extraordinaire à la demande du gouvernement ou de la majorité des députés (>> art. 30).
      il a le droit de faire grâce (>> art. 17)
      le Président de la République nomme les ambassadeurs (>> art. 14)
      il négocie et ratifie les traités (>> art. 52)
      le Président de la République est chargé de la promulgation des lois dans les quinze jours qui suivent la transmission au gouvernement de la loi définitivement adoptée. Avant l’expiration de ce délai de promulgation, le Président peut demander au Parlement une seconde délibération de la loi ou de certains de ses articles qui ne peut lui être refusée (>> art. 10).
      Le Président de la République assure la présidence de certaines instances :
      la présidence du Conseil des ministres (>> art. 9)
      la présidence du Conseil Supérieur de la Magistrature
      en tant que chef des armées, la présidence des conseils et comités supérieurs de la Défense nationale (>> art. 15).
      Alors sachez que cette affaire ne relève pas des fonction de IBK.
      VIVE IBK

  16. Koné nous la société civile on parle quand c’est nécessaire mais pas tout le temps pour dire des bêtises comme tu le fais dans ton brouillon que tu qualifierais d’article.

  17. Cette affaire ne relève pas du ressort du président IBK. Il est le président de la république et il y a des institutions qui sont habilitée à gérer ce genre d’affaire. Arrêtez donc désinformer le peuple cher journaliste. 😆 😆 😆 😆

  18. J’aimerais dire au journaliste que nous ne sommes pas dans un régime anarchique, mais plutôt dans un régime démocratique.Allez demander au président d’interférer dans une affaire de justice c’est violer un principe démocratique.Donc, il est du ressort de la justice Malienne de rendre justice et non au chef de l’exécutif l’occurrence IBK.

  19. Les autorités de ce pays savent les maux qui minent la société et ils font tout pour trouver des solutions car c’est pour ça qu’on leur a donné notre confiance et je suis sûr qu’ils ne la trahiront pas.

  20. hé les journalistes vont nous tuez les gas quoi entre nous Bazoumana a quoi avoir avec les problèmes socio Economiques du mali lui il est déja riche nous lutte pour la stabilité au mali avec IBK notre leader

  21. Ce que moi je peux dire à monsieur fofana et je veux que koné en soit le relais c’est que la justice fera son travail que ce soit celle des hommes où divine alors si ces biens ont été bien acquis il les retrouvera… 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

  22. la politique malienne est une politique basée sur le respect des droits de l’homme.Vous aussi Bazoumana avait des problèmes avec KKB qu’il devait les regler et vous ne savez pas quel s concensus entre eux alors foutez nous la paix

  23. Si c’est une journaliste même qui tient des propos pareilles nous les simples civiles on va dire quoi ?
    Djagaaa si demain j’ai un problème je vais appeler mon frère député là au lieu d’aller me fatiguer à la justice là. Si lui il passe des coups de fils je suis sauvé !
    Merci koné pour l’information.
    CORRUPTEUR DE JOURNALEUX QUE TU SOIS!

  24. Que ce journaliste de pacotille nous foute la paix.Qu’il comprenne que IBK N’est ni un juge ni le président de la cour constitutionnelle.Il est le Président de la république et au mali la séparation des pouvoirs est une réalité. 😆 😆 😆

  25. L’affaire BAZOUMANA FOFANA est très sérieuse car ce dernier a été spolié des tous ses biens sous le régime passé.Mais demander au président d’intervenir dans cette affaire serait une faute lourde car c’est à la justice de faire son travail et non au chef d’Etat.

  26. IBK est un président empli de respect parce qu’il combat à faire sortir le peuple dans cette obscurité financière et social.
    Alors journaliste farouche contentez vous d’éclaircir le peuple sur ce qui est réel et vrai .

  27. Le vieux bazoumana peut saisir les autorités du pays mais uniquement les autorités chargées de la justice car c’est une affaire judiciaire et non politique.

  28. Pour exercer un métier aussi noble que le journalisme,il faut avoir un minimum de bagages intellectuels.Cela suppose que Mr Koné sait ce que c’est que la séparation des pouvoirs.Et moi,je tiens à l’informer que l’affaire qu’il évoque dans son article est une affaire purement judiciaire et le Président n’a pas à s’en mêler.Alors,qu’il retourne encore sur les bancs pour le bien de ses lecteurs. 😀 😀 😀

  29. Monsieur le journaliste, je ne sais pas franchement sur quelle base vous demandiez aux associations et organisations de la Société Civile et au Haut Conseil Islamique du Mali d’intercéder auprès du président IBK sur le cas Bazoumana Fofana. A ce que sache le Président est le chef de l’exécutif et non le chef du pouvoir judiciaire.Cette affaire est du ressort du pouvoir judiciaire et à lui de le rendre.

  30. Les proches d’IBK lui disent la vérité sans quoi il répondrait aux journalistes véreux comme vous et vous poursuivrait en justice pour diffamations et incitations à la révolte.
    Vous êtes un ennemi du peuple.

  31. Je pense que Bazoumana doit prendre son mal en patience, certes, son affaire date depuis le régime d’ATT, le régime d’IBK n’est pas le fautif du litige, la justice malienne a seulement besoin de temps pour trancher ou encore donner à qui de droit se qu’il mérite.

  32. Quant au rehaussement des salaires, le gouvernement a amélioré sensiblement certains indicateurs. « Le salaire minimum inter professionnel garanti a été porté à 35 000 F CFA en janvier 2015, a-t-il relevé. Il sera de 40 000 F CFA en janvier 2016. Les traitements indiciaires des fonctionnaires et les salaires de base du personnel de l’Administration relevant du code du travail, du personnel enseignant contractuel de l’Etat et du personnel enseignant contractuel des collectivités territoriales sont majorés de 10%, 3% et 7% respectivement pour compter du 1er janvier 2015, du 1er janvier 2016 et 1er janvier 2017. Le taux des allocations familiales est porté à compter du 1er juillet 2015 à 3 500 F CFA par mois et par enfant et 4 000 F CFA par mois et par enfant vivant avec un handicap. »
    SOYONS REALISTE UN JOUR!

  33. Le chef de l’Etat a pris l’engagement de mettre à la disposition du Développement rural 15% des budgets du pays en application de la déclaration de Maputo, qui invite les pays y adhérant à consacrer 10% de leurs budgets à l’agriculture.
    En 2015, 7 mines d’or sont entrées en production avec un taux de croissance de 5,8%. « On peut citer la mine d’or de Kofi avec des réserves estimées à environ 7,7 tonnes. Le démarrage de la mine de Yanfolila, avec un niveau initial de 79 000 onces d’or par an, avec la sortie du premier lingot prévue début 2016.»
    ça aussi c’est du bavardage? 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯

  34. La justice malienne est une justice indépendante et le président de la république ne peut rien contre ses décisions.
    Nous nous habituons de pointer des doigts tous les problèmes de la nation au président, mais il est important de comprendre que des hommes sont nommé et ont prêté serment pour prendre soin de certaines institutions alors à chaque problèmes à ses responsable.
    IBK de son côté joue bien son rôle de président…

  35. Pour exercer un métier aussi noble que le journalisme,il faut avoir un minimum de bagages intellectuels.Cela suppose que Mr Koné doit sait ce que c’est que la séparation des pouvoirs.Et moi,je tiens à l’informer l’affaire qu’il évoque dans son article est une affaire purement judiciaire et le P

  36. Concernant l’énergie et l’eau c’est un axe prioritaire du gouvernement : « 1500 lampadaires éclairent les Régions de Kayes, Koulikoro, Sikasso, Ségou et Mopti. Des centrales photovoltaïques associées au diesel ont été installées à Nara, Diéma et Ansongo. Des résultats significatifs ont été obtenus dans le domaine de l’électrification rurale avec la réalisation de 14 centrales hybrides solaires/diesel d’une puissance totale de 283 kW, le démarrage du projet Systèmes hybrides d’électrification rurale (SHER) qui concerne 50 localités choisies suivant des critères bien définis sur financement de la Banque mondiale, etc. »

  37. En deux ans de pouvoir IBK en termes de création d’emplois dans le secteur formel, 14 116 emplois créés du 1er janvier au 31 juillet 2015. Pour les deux ans d’exercice, expliqua-t-il, 71 652 emplois durables ont été générés par les activités économiques sur l’étendue du territoire national, soit 36% de la promesse du Président de la République. A l’en croire, environ 5 000 jeunes ont été placés en stage de formation professionnelle dans les structures publiques et privées par l’APEJ, en vue du renforcement de leur employabilité

  38. Vous vous croyez où cher journaliste même si le pape est informé de ce problème nous on s’en fout c’est une affaire de justice et c’est là-bas qu’elle trouvera des solutions.

  39. Je pense que le journaliste indexe la mauvaise personne ou le mauvais pouvoir, le président IBK n’a rien n’avoir avec cela. C’est à la justice malienne qu’on doit tout ces critiques. Bazoumana Fofana mérite plus ou moins d’être aider, mais la justice est lente mais précise.

  40. Mr le journaliste on analyse bien les mots qu’on utilisé avant de publier un article car si vous ne le savez pas nous ne sommes pas dans une tyrannie ni une monarchie encore moins une dictature où le chef de l’état doit imposer son diktat dans la gestion de la vie courante.
    Dites au vieux fofana que le Mali possède une justice ; à elle donc de traiter ce genre de dossier. 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯

  41. Koné sache que le mali est un pays démocratique et les pouvoirs sont séparés.
    IBK est le tenant du pouvoir EXECUTIF et non du pouvoir judiciaire donc concernant l’affaire de monsieur Fofana c’est à la justice de gérer cette affaire et non au chef de l’état car ce n’est pas un problème personnel.

  42. Je pense fermement que l’affaire BAZOUMANA FOFANA est très délicat.Monsieur le journaliste demandez au président de se pencher sur cette affaire serait d’enfreindre à loi.C’est au pouvoir judiciaire de rendre justice et non au Président IBK.

  43. Le président IBK n’as rien en commun de cette affaire. Au Mali je ne comprends pas que même les petits problèmes du quartier sont attribués au président de la république alors que chaque institution est là pour prendre soin de son affaire. A la justice de prendre soin de cette affaire, IBK n’est pas la justice malienne, il est certes le président de la république mais il n’est pas la justice. Alors il faut que nous sachions qui nous devrions accuser…

  44. IBK a promis des choses aux maliens certes il en a réalisé certaines et d’autres non ! Mais je pense que nous devons être patient car la volonté de cet homme est infaillible alors dans la mesure de ses possibilités il saura nous satisfaire…

  45. Monsieur le journaliste, je remarque tout de suite par votre article que vous voulez seulement poter atteinte au régime au pouvoir. Sinon vos arguments ne tiennent pas, faites preuves de bonne foi et de professionnalisme.

  46. La crise au mali n’est pas un problème qui a pris pieds aujourd’hui. C’est la résultante de plusieurs pouvoirs qui ont mal gérés ce pays depuis des décennies.
    Et tout c’est joué sous l’ère ATT où le pays a sombré dans le gouffre. En 2 ans on ne peut pas guérir un pays malade depuis des décennies. Que peut donc dire la société civile qui a vécu ses situations et qui constatent des améliorations ? ➡ ➡ ➡ ➡ ➡

  47. Mais de quoi es ce que ce journaliste veut nous faire comprendre ?
    Cette affaire de Bazoumana n’est pas d’Aujourd’hui, maintenant il essaye d’attribuer cela sur le dos du président IBK, dans cette affaire seule la justice malienne doit jouer un rôle.
    Et nous avons confiance en la justice malienne …

  48. Je pense qu’on doit s’en prendre à la justice et non à IBK, Si le journaliste veut s’en prendre à un président, je pense qu’il devrait s’en prendre à ATT, IBK est innocent. IBK est le président du pouvoir exécutif et non du pouvoir judiciaire.

  49. Monsieur le journaliste je pense que nous devrions faire la différence entre la liberté des trois pouvoirs. Tous les trois pouvoirs ( législatif, exécutif, judiciaire) aucun des trois pouvoir n’a le droit, ni le devoir de interférer dans l’affaire de l’autre. Alors le président IBK n’a rien voir à cela.

  50. Le Mali est un pays de justice, nous devons laisser cette affaire à la main de la justice malienne car cette justice saura bien jouer son rôle et nous devons enlever de nos sens que le président a un rôle à jouer dans ça car cela date bien avant de son investiture….

  51. Purement judiciaire Bazoumana fofana a fait ses requêtes or le terrain judiciaire, distingue deux éléments dans une cause : le Droit et l’Équité. L’équité résulte des faits, le droit est l’application des principes aux faits. Un homme peut avoir raison en équité, tort en justice,
    Laissons la justice faire son boulôt.

  52. Le problème Bazoumana doit être plus ou moins pris au sérieux, mais cela n’a rien n’avoir avec la gouvernance d’IBK. C’est un problème judiciaires alors je pense qu’un journaliste professionnel doit savoir faire la différence entre un pouvoir judiciaire et un pouvoir exécutif.

  53. En tout cas IBK veut une justice équitable dont il ne fait pas une justice parentale ou du favoritisme
    la loi tranchera qui a tord et qui a raison

  54. En matière judiciaire, la morale a souvent le visage des évidences trop faciles et les oripeaux de la présomption de culpabilité.
    Le premier caractère de la puissance judiciaire, chez tous les peuples, est de servir d’arbitre. Pour qu’il y ait lieu à action de la part des tribunaux, il faut qu’il y ait contestation. Pour qu’il y ait juge, il faut qu’il y ait procès.Alors que le pouvoir judiciaire émette un procès et non IBK.
    L’affaire de Bazoumana fofana est personnelle et ne concerne pas la société .Alors laisser IBK travailler Il en a trop fait .On est fatigué de vous les faux journalistes

  55. Ce litige est aussi la faute d’IBK? C’est le comble. Les journalistes maliens ont vraiment de sérieux problèmes. Une affaire qui date depuis le régime d’ATT, la faute revient à ATT, c’est lui qui est à la base de tous ses problèmes. IBK est à fait innocent.

  56. Je ne suis pas assez naïf pour croire qu’un jour il n’y aura plus d’erreurs judiciaires, dans un sens défavorable ou favorable à celui qu’on accuse.
    Le problème de Bazoumana Fofana purement critique doit être jugé et pris en compte par le pouvoir judiciaire .
    Alors ne dites pas que IBK ne fait pas son boulot .Il en a trop fait pour le mali bande d’égoïstes.

  57. Certes, Bazoumana a été privée de ses droits d’appartenances, mais le président n’y peut rien s’est à la justice de faire son travail. La justice est indépendante, comme le rédige la constitution malienne.

  58. Au Mali je ne comprends rien, même les anciens problèmes des régimes précédent sont attribuer au président IBK c’est quoi ses fantaisie ?
    IBK n’as rien à avoir avec cette affaire de Bazoumana, la seule chose qu’il peut est de rendre justice à cet homme et pour ça la justice malienne fait son travail.

  59. la justice est indépendante et n’est pas sous le contrôle du président.
    Même s’il va pleurnicher chez IBK il pourra rien
    constipé de mémoire
    Apprenez vos cours de journalisme au lieu de pourrir la vie des honnêtes citoyens

  60. La Ve République était caractérisée par un pouvoir exécutif fort entre les mains du président et un pouvoir législatif au rôle très encadré.
    Si une personne a un problème avec une autorité ce n’est pas à IBK de gerer ce problème mais plutôt au pouvoir judiciaire
    On est fatigué de vous

    • Mais si ces journalistes au lieu d’informer désinforment les gens. Ils passent leur temps à ouvrir des brèches partout si comment confondre le pouvoir exécutif au pouvoir législatif pour un journaliste digne de ce nom

  61. Nous sommes dans un pays de loi, pour cela nous devons laisser la justice faire son travail.
    Sous l’ère IBK la justice sera rendu à tout ceux qui en ont de droit.

  62. Pourquoi accuse t-on IBK des méfaits des régimes passés, cette affaire n’est pas la faute à IBK. La justice malienne est entrain de tout mettre en œuvre pour que Bouzoumana Fofana ait de droit tout ce qui lui appartient.

  63. Il faut que la justice soit rendue au nom de la justice. L’affaire Bazoumana Fofana doit faire objet d’un autre jugement. Parce qu’il me semble qu’à l’époque d’ATT la justice malienne était une justice pour les riches et non pour les citoyens. 😛 😛 💡 💡 💡 😆 😆

  64. IBK respecte toutes les personnalités du Mali que vous soyez de la même classe politique ou religieuse soit le contraire IBK vous accorde ses considérations comme vous le méritez. Pour votre information ce n’est pas DICKO seulement, même ZERBO. Donc cette histoire n’est pas une priorité de la venue d’IBK à la tête de ce pays, il y’a des défis à relever plus urgents que cette affaire.

  65. Les lois rencontrent toujours les passions et les préjugés du législateur. Quelquefois elles passent au travers, et s’y teignent ; quelquefois elles y restent, et s’y incorporent.
    C’est juste pour dire que IBK fait parti du pouvoir législatif et non du pouvoir judiciaire.
    Ce n’est pas à IBK de regler ce problème et arrêter de l’embêter

  66. Sa se voie bien que ce journaliste tente de faire renaître une polémique de longue date, la justice malienne travail sur cette affaire, nous ne devons en aucun cas tenter de faire de cela une nouvelle polémique.
    Vive le Mali

  67. IBK ne peut outre passer les décisions de la justice car c’est un pouvoir à part entière ou autonome. Mr le journalisme vous défendez quoi alors. Apprenez votre cours

  68. L’expropriation n’est légale que si elle est accompagnée des dommages et intérêts. Dans l’affaire de Bazoumana Fofana, ce dernier n’a pas été dédommagé par les autorités de l’époque et les procédures n’ont pas été suivies. C’est normal que la justice soit rendue. Mais IBK est mal barré pour le faire. 😛 😛 😛 💡 💡 💡

  69. IBK l’a toujours dire, nul n’est au déçu de loi. Bazoumana Fofana doit prendre son mal en patience. Le régime d’ATT s’est assurer de bien tout mélanger pour qu’elle soit très difficile à être régler.

  70. IBK n’est le procureur général même s’il est le chef suprême de toutes les institutions du pays, il faut savoir qu’il y’a le principe de la séparation des pouvoirs, qui ne permet pas à IBK de s’immiscer du fonction juge sinon ce sera de la monarchie.

  71. Sous le régime précédent, la justice était au service des riches. Les pauvres ne gagnaient aucun procès sauf entre pauvres. Mais avec l’élection d’Ibrahim Boubacar Keïta à la présidence du Conseil Supérieur de la Magistrature, les maliens espèrent sur une justice équitable. 😛 😛 💡 💡 💡 😆 😆

  72. Le régime d’IBK n’est pas à la base de cette affaire et IBK aussi ne peut pas aller au delà des décisions de la justice. Il y’a la cour suprême et il y’a des justices encore au delà de cela aussi, il faut saisir la justice et laisser IBK.

  73. Cette affaire de Bazoumana ne date pas de maintenant, le président IBK est venu trouver cette affaire alors j’appelle à la patience.
    La vérité viendra tôt ou tard…

  74. Babou Yara était le seul fils de la nation sous ATT. Il est le propriétaire de presque tous les immeubles du grand marché. Selon certaines informations, ATT, lui-même, a des immeubles au grand marché. Mais tous ses bâtiments sont au nom de Babou Yara. 😛 😛 😛 💡 💡 💡 😆 😆 😆

  75. IBK accorde sa considération et son respect à toutes les grandes personnalités de ce pays. Il ne faut pas que vous transformez le cas de Mamoud Dicko à une autre chose. Pourquoi vous aimez toujours créer la polémique.

  76. Monsieur le journaliste cette affaire n’a pas été faite sous le mandat d’IBK, donc IBK a d’autres préoccupations plus urgentes et importantes que cette affaire du vieux.

  77. La justice malienne doit, si cela est possible, revoir tous les jugements de l’époque. Car à cette époque, l’exécutif s’immisçait dans le pouvoir judiciaire. Toutes les décisions de la justice étaient influencées par les élus, et autres agents de l’Etat intervenait dans les procès de façon indirecte. 😛 😛 😛 😆 😆

  78. Dans les années 2000, la justice malienne s’était transformée en une justice à double vitesse. Une justice pour les riches et une autre justice pour les pauvres. C’était l’autorité de l’argent. Il faut reconnaître que cela n’a rien à voir avec la gestion d’IBK. Même si l’Etat est une continuité. 😆 😆 💡 💡 💡

  79. Cette affaire du vieux Fofana à la justice malienne est antérieure à la venue d’IBK au pouvoir du Mali. IBK ne peut pas se permettre de contester ce que la justice a décidé. Mais je pense que la justice est faite des étapes par étapes, si une décision ne vous va pas, il faut interjeter l’affaire à niveau supérieur de la justice.

  80. Les électeurs ne se sont pas trompés du choix, ils peuvent bien avoir ce qu’ils attendent d’Ibrahim Boubacar Keita. Par contre, ce n’est en un clin d’œil que tout peut changer. Le changement dont nous nous attendions il a besoin d’un maximum de temps.

  81. Arrêtons de nous blâmer, le Mali est un pays longtemps plongé dans la crise. Si aujourd’hui nous voulons du changement, il faudra aussi que nous aussi nous changions. On doit accompagner le régime actuel et non se laisser influencer âr les ennemis jurés de la République.

  82. Vive Un Peuple-Un But-Une Foi
    Vive une Mali un et indivisible
    Vive un Mali uni et prospère
    Vive un Mali uni et émergent

  83. Bazoumana Fofana, selon ce que l’histoire de cette affaire nous dit, est victime d’une expropriation, non pour cause d’utilité publique, mais pour cause d’utilité privée. Le vieux a été spolié de son titre foncier. Cela avec la complicité des autorités de l’époque.
    Cher journaliste, je vous demande de ne pas impliquer IBK dans cette affaire. 😯 😯 😯 😆 😆 😆

  84. IBK n’a pas été élu par un groupe de personne bien déterminé et ni par un parti politique. C’est la population malienne toute entière qui a mis sa confiance sur IBK avec un plébiscite de 77,88% des voies. Donc IBK n’est pas venu pour quelqu’un mais pour les problèmes du Mali.

  85. L’expropriation n’intervient que pour cause d’utilité publique. Si réellement le vieux Bazoumana a été spolié de son titre foncier, cela veut dire que le régime précédent était fondé sur l’injustice de toute sorte, surtout foncière. Mais le président de la république et le président du haut conseil islamique ne peuvent absolument rien pour cela. IBK est le chef de l’exécutif est un chef religieux. 💡 💡 💡 :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

  86. Ce que vous oubliez chers journalistes, ce n’est pas parce qu’on vous a donné 10 000 Fcfa pour que criez haut et fort avec cette affaire que vous allez incriminer les gens pour rien. Est ce que c’est MAMOUD DICKO le médiateur de la république?

  87. Si nous tenons à un Mali de nos rêves, il va falloir se donner au travail et arrêter d’agir dans l’ignorance. Dieu seul est témoin des efforts que fournis nos dirigeants dans le but d’une sortie de crise définitive.

  88. le Président de la République, Chef de l’Etat, M. Ibrahim Boubacar Kéïta, aurait promis, à son tour, de s’impliquer dans l’affaire. Pour ce faire, il aurait même instruit à ses services de protocole d’organiser une rencontre avec Bazoumana Fofana.
    L’affaire Bazoumana tourne bien, la patience fera le reste…

  89. Le problème du Mali n’est pas Ibrahim Boubacar Keita, mais plutôt les maliens eux-mêmes. De toute évidence nous voulons sauver notre pays mais personne n’agit dans le cadre de la reconstruction. On préfère écouter les rumeurs et les scenarios scandaleux inventés par l’opposition pour abimer l’image de nos gouvernants que de contribuer à la convalescence du Mali.

  90. Le Mali ne tardera plus à se relever définitivement comme Soundiata Keita. Je peux vous assurer qu’on est déjà sur la bonne voie. Par contre, il faut la participation de chacun de nous tous pour une sortie définitive de la crise.

  91. C’est vrai que les maliens s’attendaient en un changement brusque. Mais il est une nécessité de comprendre qu’IBK n’est pas un géni pour apporter un coup de baguette à la souffrance des maliens. Il a aussi besoin du temps pour redonner à ce pays ce don les maliens espèrent.

  92. Elu avec 77% des voix électorales, le président Ibrahim Boubacar Keita est conscient de cette confiance que lui procure le peuple malien. Cependant, nous devons comprendre que ce n’est pas son arrivé qui doit changer les choses du jour au lendemain. Il faut du temps.

  93. A mon avis le Mali va très bien, il suffit juste qu’on soit patient et attendre à un bon résultat à la fin du quinquennat d’IBK. Néanmoins, force est de reconnaitre que le Mali d’aujourd’hui est beaucoup différent à celui de 2012.

  94. J’aimerai bien qu’Ibrahim Boubacar rende justice au vieux Bazoumana Fofana. Mais cela est impossible dans les normes. Le Mali est un Etat démocratique, un Etat de droit dans lequel le pouvoir est séparé en trois (3) : le pouvoir exécutif, le pouvoir parlementaire et le pouvoir judiciaire. Le président de la république relève de l’exécutif. Il ne peut pas rendre justice. S’il le fait, il se rendra coupable d’un abus de pouvoir. Il s’immiscera dans le fonctionnement de la justice ce qui est condamner par les lois d’un Etat de droit comme le Mali. Néanmoins, Bazoumana peut continuer d’espérer à la justice. Le mensonge peut courir pendant des siècles, mais un beau matin, la vérité triomphera. Cette spoliation foncière est l’œuvre du médiocre chef de l’Etat de l’histoire du Mali. C’est aussi valable pour le président du haut conseil islamique, Mahamoud Dicko. 😛 😛 😆 😆 😆 😆

    • La justice est impartiale donc IBK n’est pas concerné dans cette histoire même s’il est le président cela ne lui donne le droit de s’ingérer dans décisions de la justice
      la justice c’est rendre à César ce qui est à César
      A BON ENTENDEUR SALUT

  95. Merci monsieur le journaliste pour votre campagne au vieux BAZOUMANA FOFANA. Mais Vous accusez les innocents pour rien. Que Dieu vous sauve !!!

    • Comme si le vieux BAZOUMANA était le celui à élire IBK
      En justice même si c’était son père s’il n’a pas raison il a tord
      Donc ne merder pas les gens avec cette histoire à dormir debout

  96. Pour votre information, je pense que le Mali ne peine pas à se relever. Au contraire, le changement est sur la lèvre de chacun de nous mais on a du mal à rentrer en action. Certes on n’a élu IBK comme président de la République mais ce n’est pas à lui seul de gérer le pays.

  97. L’affaire Bazoumana Fofana n’est pas à confondre avec la gestion d’Ibrahim Boubacar Keïta. Cette affaire est ancienne, elle date de la gouvernance d’Amadou Toumani Touré, le prédécesseur d’IBK. Mais ce qui est sûr c’est que le président fera de son mieux pur que la justice soit rendue. 💡 💡 😆 😆 😆 :mrgreen: :mrgreen:

  98. Nous maliens nous ne doutons pas de la compétence du président IBK.
    Mr. le journaliste vous ne pouviez que vous limité à ses simples analyses, mais les faits sont réels sur cette affaire.
    Vive la République Du Mali.

Comments are closed.