Ils récusent la démocratie, la critiquent, l’accablent de tous les péchés d’Israël ; curieusement et paradoxalement, au même moment, ils invoquent promptement et systématiquement le soutien, l’adhésion de la foule, pardon du peuple, pour légitimer leurs avis, décisions, opinions, actes… Que signifie donc d’autre la démocratie que le système de gouvernance permettant de décider au nom du peuple, pour le peuple, DE FAÇON PROBANTE et ORGANISÉE à travers les urnes (ou se servir à moindre frais de la FOULE DE FAÇON MALICIEUSE) ? Contribuons à éclairer la lanterne des populations. Pour mémoire, l’éducation à la démocratie fait partie intégrante de l’éducation aux droits de l’Homme… Dieu préserve notre Patrie !
Aguibou Bouaré, président de la CNDH
Boiré est un naïf. Il vit sous tutelle de maître coulibaly. C’est un menteur intégral. Son accréditation à Genève montre que la plus part des maliens vivent du bluff.
Le cadavre d’Aguibou BOUARE vaut 100 milles fois mieux que beaucoup ici. Y’en a marre de la politique de l’autruche et du négationisme dans ce pays.
Aguibou Bouaré est malheureusement très en retard dans la compréhension des éventements politiques en cours dans beaucoup de pays d’Afrique.
J’ai cessé de lire ses communiqués stériles rédigés au non de l’inefficace CNDH quand j’ai vu sa tendance à s’aligner systématiquement sur les analyses des pays occidentaux qui défendent leurs intérêts en Afrique au détriment des Africains.
Pour le reste, le sujet de fond au Mali et en Afrique dans la jeunesse en particulier n’est pas de rejeter “la démocratie”. Il s’agit plutôt d’un rejet de “la démocratie occidentale” telle que l’ont pratiquée nos politiciens démocrates par mimétisme des Occidentaux durant les dernières décennies, pour construire des “démocraties des pays africains”.
Les Africains, particulièrement les plus jeunes, ont compris qu’il n’existe pas “la” démocratie qui serait celle que nous vendent les Occidentaux et qui pourrait apporter à l’Afrique émancipation politique et développement économique.
Il existe des “des” démocraties. Et le Mali et les autres pays africains doivent construire “leurs” démocraties en fonction de leurs réalités historiques, géographiques, politiques et économiques.