Pour sauver le Mali, il nous faut être unis, unis pour réclamer et exiger des élections crédibles, libres, transparentes et sécurisées. C’est ce qu’a déclaré Etienne Fakaba Sissoko lors de la clôture d’une rencontre d’échanges qui a réuni ce samedi des leaders d’associations, Activistes, Leaders d’opinion, Personnalités indépendantes et des leaders politiques sur l’alternance en 2018. Lisez plutôt.
MOT DE FIN
Camarades, Leaders d’associations, Activistes, Leaders d’opinion, Personnalités indépendantes,
Nous voici au terme de notre après-midi d’échanges avec les leaders politiques sur une question existentielle de notre pays : L’alternance en 2018.
A l’issue des débats francs et sans passion que j’ai trouvés d’une qualité rare dans notre pays, vous avez partagé vos craintes, vos doutes, vos aspirations, vos attentes pour cette élection combien importante pour l’avenir de notre nation.
Je le sens, je le sais, et je le vois dans vos différentes interventions, votre désir à donner un nouveau souffle à notre pays, qui agonise du fait de la mauvaise gouvernance et de l’incurie de nos autorités.
Vous avez compris, je le sais, qu’au-delà de nos divergences politiques, de nos querelles politiques, de nos problèmes d’égo, il y a le Mali à sauver et l’extirper des griffes des fossoyeurs de la République.
Pour sauver le Mali, il nous faut être unis, unis pour réclamer et exiger des élections crédibles, libres, transparentes et sécurisées. Nous en sommes capables, nous l’avons démontré avec ANTE ABANA lors de la révision constitution impopulaire et incohérente du président IBK.
Il faut, dès à présent, nous mobiliser tous ensemble avant la fin de ce mois ou plus tard début du mois de mai pour exiger du gouvernement de réunir l’ensemble des conditions matérielles et sécuritaires en vue de donner la possibilité au peuple malien de choisir en toute liberté et en toute sérénité celui ou celle qui doit diriger le pays pendant les cinq prochaines années.
Personne ne volera cette élection, personne ne se donnera un mandat supplémentaire que le peuple ne lui a pas donné. La grande nuit dans laquelle nous fûmes plongés par cette gouvernance, il nous faut la secouer et en sortir. Quittons cette gouvernance qui ne finit pas de mettre notre pays en pièces détachées.
Camarades, l’avenir du pays est entre nos mains. Comme le dit Frantz Fanon : « chaque génération doit dans une relative opacité, découvrir sa mission, la remplir ou la trahir ». Quelle est la nôtre aujourd’hui camarades ?
Redonnez au Mali et aux Maliens leur fierté d’antan, restaurer l’image des pères de l’indépendance, l’image du Mali de Modibo KEITA.
Je vous remercie.
Etienne Fakaba Sissoko
Mon cher Étienne votre leçon de morale on s’en moque car vous vous avez déjà perdu votre crédibilité . Un enseignant qui couche avec son étudiante en plus une femme marié ne peut apporter aucune alternance crédible. si avec Ante an bana vous avez été toléré par Abdoulaye Idrissa maiga , soumeyelou est d’une autre espèce .
Etienne, il faut marier une bonne fois la fille là et on va plus se gêner avec ton image, on va se dire il l’aimait et voilà qu’il l’a mariée! Pour paraphraser Fanon ” Chaque homme doit dans une relative opacité trouver son amour, la marier ou la trahir”, alors tu es de quel côté? The thrill should be materilised now into a real unshakable love story, isn’t?
bjr Sissoko
le ridicule ne tue pas au Mali. Moi, à ta place, je tairai à jamais. Tu n’es pas la bonne personne.
Mes salutations
Merci Dr Etienne Fakaba SISSOKO de votre expose . Ce qui n’avait pas et compris en 2013, est bien assimile aujourd’hui . Le Mali, notre bien commun doit etre sauve. Ce sauvetage passe necessairement par l’alternance sans IBK d’abord , mais aussi et surtout ceux qui se sont convertis comme des professionnels en politique. La refondation du Mali nouveau passe par l’alternance, ou le Mali sombrera.
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