Alors que le mois béni du Ramadan débute ce 29 février, l’atmosphère à Bamako et dans plusieurs villes du Mali est loin d’être sereine. Dans un pays frappé par une crise économique persistante, l’insécurité et une inflation galopante, de nombreuses familles peinent à assurer leurs besoins alimentaires de base.
Le Ramadan, période de spiritualité et de partage, s’annonce comme un mois d’angoisse et de privations pour beaucoup de Maliens. Les denrées de première nécessité, telles que le riz, le sucre, l’huile et le lait, connaissent une flambée des prix. Sur les marchés de Bamako, les commerçants expliquent cette hausse par la raréfaction des produits et l’augmentation des coûts de transport due à l’insécurité sur les routes.
« Avant, on pouvait se permettre un repas copieux pour la rupture du jeûne. Aujourd’hui, même acheter du pain est devenu difficile », confie Mariam Traoré, mère de cinq enfants rencontrée au marché de Médina Coura.
Face à cette crise, la tradition de solidarité propre au mois de Ramadan est mise à l’épreuve. Certaines mosquées et associations tentent d’organiser des distributions alimentaires, mais les moyens restent limités.
Quel espoir pour les plus démunis ?
« Nous faisons de notre mieux, mais les demandes sont de plus en plus nombreuses et nous manquons de ressources », déplore Amadou Konaté, responsable d’une association caritative.
Les autorités assurent travailler sur des solutions pour stabiliser les prix et approvisionner le marché, mais la population reste sceptique.
Dans ce contexte difficile, la crainte de ne pas pouvoir observer le jeûne dignement pèse sur les esprits. Beaucoup espèrent une intervention rapide de l’État et des partenaires humanitaires pour soulager leurs souffrances.
En attendant, les Maliens s’en remettent à leur foi et à la résilience qui les caractérise depuis toujours.
« Nous prions pour des jours meilleurs et pour que ce Ramadan apporte la paix et l’apaisement à notre pays », conclut Fatoumata Sissoko, les yeux pleins d’espoir malgré les difficultés.
Mohamed Diallo
Un pays isolé avec à sa tête des individus sans aucune vision.
La pauvreté extrême dans un tel pays n’étonne que les ânes.
Les putschistes ont enfoncé le MALI dans une crise économique sans précédent depuis l’indépendance si on met à part la crise alimentaire de 1972.
Les militaires qui débarquent subitement au sommet d’un pays ne peuvent que mener ce pays au désastre pour la simple raison qu’ils ne savent pas comment faire. Un pays n’est pas un camp militaire.
Aujourd’hui, les colonels qui se sont déclarés généraux ne savent pas quoi faire.
Ils font des annonces tous les jours. Les annonces et communiqués ne se mangent pas.
Cela fait 4 ans que le MALI recule dans tous les domaines.
Depuis l’indépendance jusqu’à nos jours, le MALI n’avait jamais connu une telle situation de manque de courant entrainant des fermetures d’entreprise et des petits commerces.
DEs milliers de personne ont perdu leurs travail. Les aides internationales sont gelées. LEs mercenaires coûtent des milliards chaque mois. Les populations des régions ont fuient vers Bamako parce qu’ils ne peuvent plus faire ni l’agriculture ni l’élevage. Ces mercenaires tuent des centaines de maliens dans les régions dans l’impunité totale. Aucun agent de Wagner ni aucun militaire malien n’a jamais été traduit à la justice pour crime.
Ceux qui ont pris le pouvoir par les armes se contentent maintenant de faire des promesses sans lendemain. C’est le moyen qu’ils ont trouvé pour calmer les populations.
Le pays est complètement isolé. Les nouveaux partenaire AES sont encore plus pauvre que nous. La propagande a remplacé l’information. La menace de la prison sans jugement fait régner la terreur.
La liberté d’expression est un lointain souvenir. La démocratie chèrement acquise en 1991 au pris du sang des jeunes est morte et enterrée.
La jeune femme Rose vie chère est en prison plus de deux année pour avoir dit que tout est devenu cher au marché. Le cas de cette femme est un exemple de la terreur que fait régner ces soldats des palais. Le président que les Maliens pensaient visionnaire à surpris les maliens avec son histoire de Drône et de missile qui a fait rire les gens à défaut de leur faire pleurer.
Le mouvement continu. LE mois de Ramadan est arrivé. Il va ouvrir les yeux de ceux qui se bercent d’illusions.
Les Maliens doivent travailler pour sortir de la pauvrete car comme on le dit en Bambara: la viande cuite de l’ oiseau ne va pas tomber dans ta bouche parce que tu as faim.
Rien ne tombe du ciel tout est le fruit du travail. A bon entendeur, salut!
Notre kingui national ne va pas être content de ces informations factuelles 😂