La police a interdit un rassemblement à Bamako à cause de « risque d’attentats »
1 Jan 2013 - 11:16
1 Jan 2013 - 11:17
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Un véhicule de la police malienne
© AFP[/caption] La police malienne a interdit lundi soir, en raison de « risque d’attentats terroristes », un rassemblement de jeunes à Bamako, qui voulaient manifester contre l’occupation du nord du Mali par des jihadistes armés, a-t-on appris auprès des organisateurs et de source policière. « La police est arrivée sur place pour nous demander d’annuler la manifestation à cause de risque d’attentats terroristes à Bamako », a déclaré mardi à l’AFP, Bouba Fané, coordinateur d’une coalition d’associations de la jeunesse malienne. « L’agent de la police qui a parlé de risque d’attentats terroristes a précisé que depuis deux semaines les forces de sécurité sont (mobilisées) à cause de ce risque », a ajouté M. Fané dont la coalition compte notamment des jeunes d’une association musulmane locale. Une source policière contactée par l’AFP a confirmé l’information. « En cette fin d’année, les forces de sécurité du Mali, redoublent de vigilance à cause de menaces lourdes+ », a-t-elle ajouté.

© AFP[/caption] La police malienne a interdit lundi soir, en raison de « risque d’attentats terroristes », un rassemblement de jeunes à Bamako, qui voulaient manifester contre l’occupation du nord du Mali par des jihadistes armés, a-t-on appris auprès des organisateurs et de source policière. « La police est arrivée sur place pour nous demander d’annuler la manifestation à cause de risque d’attentats terroristes à Bamako », a déclaré mardi à l’AFP, Bouba Fané, coordinateur d’une coalition d’associations de la jeunesse malienne. « L’agent de la police qui a parlé de risque d’attentats terroristes a précisé que depuis deux semaines les forces de sécurité sont (mobilisées) à cause de ce risque », a ajouté M. Fané dont la coalition compte notamment des jeunes d’une association musulmane locale. Une source policière contactée par l’AFP a confirmé l’information. « En cette fin d’année, les forces de sécurité du Mali, redoublent de vigilance à cause de menaces lourdes+ », a-t-elle ajouté.
Plusieurs centaines de jeunes étaient déjà réunis dans la nuit de lundi à mardi Place de L’indépendance à Bamako pour une sobre cérémonie destinée à « avoir une pensée pour le nord du Mali », lorsque les forces de sécurité ont demandé aux organisateurs d’interrompre la manifestation.
Le chanteur ivoirien Tiken Jah Fakoly devait participer à ce rassemblement.
Le Mali « n’attendra pas des mois » pour lancer « la guerre contre les terroristes », a affirmé le président malien par intérim Dioncounda Traoré lundi soir dans un message à la Nation, en allusion à certains groupes armés liés à Al-Qaïda occupant le nord de son pays depuis neuf mois et y appliquant la charia (loi islamique). Le 20 décembre, le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté une résolution approuvant le déploiement d’une force armée internationale au Mali. Aucun calendrier précis n’a toutefois été décidé pour ce déploiement, programmé par étapes selon les Nations unies, qui ont aussi appelé au dialogue avec les groupes armés rejetant le terrorisme et la partition du pays.Mots clés:
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justicequityça fait 9 mois que tout ça dure , il est grand temps de sortir du symbolique , ceux qui vivent au nord n'ont rien à faire que tout Bamako les soutienne ou pas ils attendant maintenant des actes sinon tous les bamakois dorment sur leurs 2 oreilles , si vous voulez des symboliques j'ai des tas d'idées qui vont pas libérer le nord mais au moins peuvent prouver la sincérité , par exemple refusons d'aller travailler tant que libération du nord n'a pas commencé, que les enseignants désertent les classes tant que ceux qui sont au nord ne pourront pas aller à l'école,.... , c'est beaucoup mieux qu'une marche où au moins 80% des participants sont juste des curieux qui ne savent même pas le pourquoi du rassemblement , à chaque fois que je vois une marche je pose la question aux participants et le plus souvent ils ne savent même pas de quoi il s'agit , tout ce que vous avez a gagner c'est une mouvement de troupes avec des morts ou un débordement qui peut conduire aux pillage des biens d'autrui.12 ansRépondreLike (0)
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JOE STRUMERJE NE SAIS PAS COMMENT MALIWEB.NET PEUT PERMETTRE A CERTAINES PERSONNES D INSULTER TOUT UNE RACE .IL FAUT SAVOIR QUE LE RACISME EST INTERDIT PAR DES LOIS EN FRANCE .IL EST CERTAINEMENT FACILE D INSULTER LES GENS SUR LE NET MAIS IL EST AUSSI FACILE DE PORTER PLAINTE EN FRANCE CONTRE X POUR PROPOS RACISTE ET INSULTANTES AU PRES DU PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE.SE SERAIT LA PROCHAINE ETAPE ET LES RESULTATS DE L AUDIENCE PUBLIES SUR MALIWEB.NOUS NE SOMMES PAS DES MASOS12 ansRépondreLike (0)
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blanche neigece n'est pas du racisme ,juste un constat :mrgreen: :mrgreen:12 ansLike (0)
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blanche neigeil est préférable d'eviter les rassemblements chez les nègres :wink: .......pour la nuit du Nouvel An à Abidjan ,une bousculade a entrainé la mort de 61 personnes + une cinquantaine de blessés :( :( :( :(12 ansRépondreLike (0)
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alkerousale putain de merde tu est vrai ma le croisement d un porc et une putain ne :oops: :oops: :oops: chien en chaleur12 ansLike (0)
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BroulayiTiens... le grand con de 2013 est déjà là... Con, tu l'étais en 2012, et tu le resteras en 2013... Toujours à éprouver de la jouissance quand des noirs versent leur sang... :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: Le stade de Heisel... tu te rappelles la bousculade ? Le stade de Furiani... tu te rappelles la bousculade ? Les tours jumelles le 11 novembre... tu te rappelles la bousculade ? Ces drames te font encore plaisir ? :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: Tu es vraiment malade... Va te soigner. :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:12 ansLike (0)
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KassinLe Mali en début 2013, l'état des lieux. Embourbé depuis janvier 2012, dans une crise sécuritaire, institutionnelle, humanitaire, sociétale, économique et diplomatique, et devenu la tasse à café de ses voisins et de la communauté internationale, le Mali est à la croisée des chemins en ce début 2013, soit il lèvera la tête de l'eau soit il sombrera dans les profondeurs abyssales de l'inconnu. Le pays, gravement attaqué par des groupes armées islamistes et indépendantistes, n'était pas préparé à défendre efficacement son vaste territoire de 1241000 km². Les politiques laxistes de gestion financière et sécuritaire du pays et la légèreté avec laquelle les accords et négociations de paix contre nature sont menés avec des groupes rebelles ont affaibli, considérablement, l'état et ses institutions y compris l'armée et les services de renseignement du pays. Le modèle socio-économique de développement, basé sur un système de projets de développement, financés par l'extérieur, n'a pas permis un développement endogène du pays, (qui reste parmi les plus pauvres du monde malgré d'immenses potentialités), il l'a au contraire fortement rendu dépendant à l'aide extérieure budgétaire et pour financer des investissements publics. Le très faible niveau de développement des infrastructures économiques et sociales de bases, (routes, électricité, eau potable, télécommunications, écoles, hôpitaux et centres de santé...) et l'étroitesse du marché intérieur, accroissent le coût d'opportunité du transport, et de la production et ne permettent pas une éclosion rapide du secteur privé. La main d'œuvre bon marché est très peu qualifiée et le coût de l'électricité et des télécommunications reste très élevé pour une correcte industrialisation du pays. L'économie reste donc majoritairement agricole avec des techniques de production des années 50 qui maintiennent les rendements du travail à un niveau tel que la production agricole peine a explosé. Le pays enregistre donc au gré des aléas climatiques des niveaux aléatoires de production agricole du coton, du riz, des sorghos et d'autres céréales malgré des efforts de la CMDT, de l'état dans des projets de type Initiative Riz et des aménagements hydro agricole, des paysans et des privés. L'économie urbaine reste essentiellement informelle, de négoce et de services, non adossée sur un secteur industriel réel et performant et n'ayant pas la confiance des banques pour le financer correctement, elle peine aussi à prendre le relais de la production agricole aléatoire pour doter le pays d'un taux de croissance économique suffisant pour résorber un chômage massif des jeunes entretenu par un fort accroissement naturel de la population et un système scolaire et universitaire désuet dont les échecs surplombent les succès en matière de formation d'une ressource humaine de qualité. Les 12% de succès au baccalauréat 2012 en sont la parfaite illustration. La vie sociale, s'accommode avec une urbanisation sauvage et galopante, qui désactive toutes les bonnes mœurs et des bonnes valeurs de la société, pour les remplacer par des vices comme l'incivisme, la tentation, le manque de respect du bien public et d'autrui, la facilité, le laisser aller, avec la complicité des élus locaux et nationaux et de la classe dirigeante. La gouvernance du pays, née dans cette dépravation des mœurs et de ses pratiques rétrogrades n'arrive pas à inventer des politiques publiques pour permettre à la justice de remettre les bonnes pratiques en place et permettre au pays de créer et de distribuer sainement la richesse par le mérite du travail. L'homme malien se perd désormais dans une identité de vol, de mensonge et de déni de réalité, et d'opportunité, toute chose qui lui permet de raccourcir son désir de jouissance d'un bonheur lointain qu'on veut tout de suite ramener à la maison, pour une mère, une femme, une soeur, un frère ou pour des enfants qu'on aime à tout prix. Dans cet océan de cherche-bonheur immédiat et gratuit, le bien public est ce qu'on respecte le moins, et l'Etat la vache laitière qui le produit et qu'on croit immortel. Alors les maliens (gouvernants comme gouvernés) n'ont aucune notion de respect des institutions publiques, qui font partie du décor pour eux, ils accordent plutôt leur importance et leur respect au prince du jour, car pour eux lui, il est un élément important dans leur politique quotidienne de cherche-bonheur immédiat. C'est dans ce climat contre nature de "je cherche donc je suis" que la classe politique ou du moins une partie a fait allégeance à un régime d'exception contre un régime démocratique qu'ils ont eux mêmes contribuer à travestir des années durant, quand bien même qu'ils savent que l'avènement de ce régime d'exception fera perdre au pays des centaines de milliards de FCFA de ressources financières d'aides extérieures. C'est pour cela que des chefs religieux ou du moins certains cherchent à tout prix une influence politique pou12 ansRépondreLike (0)
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blanche neigejusqu'à nouvel ordre ,les rassemblements de plus d'une personne sont interdits :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: ........................certains vont me demander pourquoi une personne .C'est tout bete ils ne savent pas compter plus loin :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:12 ansRépondreLike (0)
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kabako12Dur pour les noctambules !12 ansLike (0)
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koudis:lol: :lol: Combien de français il faut pour changer une ampoule ?????? Aucune le temps de réfléchir, il fera déjà jour !!! :lol: :lol: :lol: :lol: Un gars (Foudkg) se cherchait du travail. Lors d'une entrevue, un patron lui demande s'il est quelqu'un de responsable. -----"Ah oui ! Lors de mon dernier travail, à chaque fois qu'il y avait une bêtise, c'était moi le responsable." :lol: :lol: :lol: :lol: Bonne année cher ami..... :lol: :lol: :lol:12 ansLike (0)
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Titebonne initiative, courage ma patrie.12 ansRépondreLike (0)