« Même si on veut négocier sur des questions politiques, il faut mettre au cœur la question de l’impunité ». Telle est la conviction de Mme Reine Alapini Gansou, chef de la composante Droits de l’Homme de la Mission de l’Union africaine pour le Mali et le Sahel (MISAHEL). Elle l’a clairement exposé le 25 octobre 2013, au cours d’un point de presse sur les activités de sa structure.
La composante Droits de l’Homme de la MISAHEL suit avec beaucoup d’attention les négociations qui visent à la libération de certains prisonniers éléments des groupes armés du nord du Mali et l’annonce de la levée des mandats d’arrêt. Et la chef de la composante Droits de l’Homme de cette mission, a son avis sur tout ce qui se passe actuellement. « Même si on veut négocier sur des questions politiques, il faut mettre au cœur des négociations la question de l’impunité », a-t-elle indiqué. Selon elle, on ne peut pas régler des questions politiques, sans mettre au centre la question des victimes. « Aujourd’hui, avec ce qui se passe au Mali, je pense qu’on a des victimes qui se demandent si elles ne sont pas nées pour subir les affres des groupes armés », a-t-elle indiqué. Avant de révéler qu’au Mali, elle n’a pas encore vu des victimes à qui on a donné la parole. « Il faut mettre au centre des discussions les intérêts des victimes », a-t-elle souhaité.
Quand aux évènements de Kati du 30 septembre 2013, elle a indiqué que sa structure a initié une enquête pour les cas de disparition forcée. Pour tous les cas de violations flagrantes des droits de l’Homme, elle a souhaité que justice soit rendue. Mieux, elle a invité les autorités à prendre en charge la gestion de ces questions au niveau de la justice nationale. « Si on ne prend pas des dispositions à l’interne, d’autres viendront d’ailleurs pour intervenir à notre place », a-t-elle conseillé. Avant de dire que si on ne balaie pas devant nos maisons en Afrique et dans nos pays, d’autres viendront le faire à notre place. Pour conclure sur la question, elle a souhaité que les acteurs politiques en Afrique suivent les acteurs de la défense des droits de l’Homme.
Assane Koné
Hier, Ag Bibi et Ag Intalla étaient de l’AZAWAD, de l’ADEMA, du MNLA/HCUA/ ANECARDINE. Aujourd’hui, ils sont RPM convaincus. Demain, ils seront URD, sans aucun doute. C’est aussi simple que cela. Le drame, c’est qu’ils seront toujours prêts à vendre le Mali aux terroristes, si c’est ce qui leur rapporte dans l’immédiat. ET LES MALIENS LAISSENT FAIRE, la transhumance et le nomadisme étant des systèmes pastoraux particulièrement prisés dans l’élevage au SAHEL. A la recherche permanente d’eau et de pâturages. Mais à force d’allumer des feux de brousse irréfléchis, le risque certain est de détruire l’écosystème au passage…
ACCORD DE 0UAGADOUGOU OU PIEGE MORTEL POUR LE MALI A MOYEN TERME AVANT 2018 AP JC
Croyant à la paix avec la fraction mineure, mais puissante parmis les Touareg ,qu’est ce le MNLA ;refusant la large décentralisation nationale ;mais insistant toujours s sur l’indépendance voilée de la région de KIDAL ;les xénophobes du MNLA ,avec les immenses ressources de pétrole ,gage, Ur et fleuve souterrain sous les ADRAR ;gagneront en puissance economique,poliique ,et surtout militaire en moins de 3 ans ,pour revendiquer et conquérir toutes les localités Sahélo/Sa hariennes du Mali d’abord des régions de GAO,TOMBOUCTOU ,KIDAL ,allant jusqu’à MOPTI,NARA,NIORO et même KAYES ;et cela après Agades au NIGER .EN SOMME UNE GUERRE SANS LIMITES ;pouvant déstabiliser tous les pays Sub Sahariens Africains *Ce ne sont pas seulement les TOUAREG qui sont éparpillés entre les différends pays, il ya aussi les Sarakollés ,les PEULHS les BOBOS , ET LES GRANDES TRIBUS MANDINGUES *La meilleure et rapide solution est l’intégration accélérée ouest Africaine (CEDEAO) ,de toutes les régions Africaines (MAGHREB,SADEC etc. ),et cela ,dans tous les domaines avant 2020*l’autodétermination pour l’entité touareg à Kidal est ouvrir la boîte à Pandore continentale ,car basée sur les hégémonies ou intégrisme ethniques et religieuses en gestation même dans le SUD Malien ,les associations Mandeka,peulhs ,DAVA, etc…
;pouvant devenir des milices fascistes que le nouveau pouvoir doit dissoudre à l’instars de toutes autre comités à caractère tribale et religieux qui sont entrain de ruiner la GUINEE CONAKRY ACTUELLEMENT*
La photo publie avec l’article est celle de: UN Humanitarian Chief Valerie Amos. Mrs Amos etait passee au Mali en visite meme! Confusion non acceptee!,… Secundo, l’article est base’ sur une phrase,..et une seule. Nos journalistes ont besoin d’une formaion de base 🙄 🙄 🙄
Merci Almahdy Dicko pour votre vigilance.
Assane Koné journaliste au ” Républicain ” vient de décrocher le prix envié des lamentables écrivailleurs: “APPAREIL BRUITEUR DÉGLINGUÉ”
Messieurs les journalistes, un peu d’effort.
Ma REINE, ne vous fatiguez pas: qui connait le courage du matamore du Mandé sais qu’après cette IMPUNITÉ il y aura bientôt une récompense en sus.
On se rappelle de Fagaga, ce colonel déserteur multirécidiviste… figure de proue de la mutinerie de Kidal (2006),…contraint de signer les accords d’Alger. Puis désarmé et rasé jusqu’au pubis par Gamou…
IBk n’a pas manqué l’occasion, lors des jeux concours de 2007, afin de glaner quelques électeurs… que ces bandits ” sont des frustrés” que c’est la frustration qui leur ont poussé à prendre des armes contre leurs compatriotes.
Toto,je te l’ai dis et je te le repete aujourd’hui que le Mali “VERSION IBK” avance ,il nous faut la paix et rien ne vaut la paix et pour cela il nous faut se pardonner bien sure que les victimes ne seront pas oublier mais le tout se fera Etape par Etape inchaallah.
Mon révérant PREACHER, j’espère que les victimes de la casse de l’école depuis 30 ans, ceux qui ont été, pour la même période, victimes des fonctionnaires véreux au service de politiques corrompus etc….”ne seront pas oublier mais le tout se fera Etape par Etape inchaallah.”
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