Notons que cette émission a abordé deux axes fondamentaux, notamment l’état de lieux de la justice et les droits de l’homme au Mali. En répliquant aux questions des journalistes, le ministre de la justice confirmera que l’état de la justice dans notre pays est appréciable à travers les documents élaborés par les institutions habilitées malgré quelques insuffisances. Il a rappelé que le gouvernement s’est engagé à assurer le respect des droits et des libertés fondamentales, en particulier les libertés d’expression, d’opinion, des droits culturels ou de manifestation pacifique conformément à la Charte africaine des droits de l’Homme et des Peuples et des autres instruments internationaux des droits de l’Homme dont le Mali est partie prenante.
Il estime, qu’au delà de certaines insuffisances, que la justice malienne a enregistré des performances. Tout en évoquant quelques dysfonctionnements, liés à la faiblesse de la justice, le ministre a expliqué les raisons qui ont motivé la levée de mandat d’arrêt contre certains rebelles. Un geste qui, à l’en croire, n’encouragera pas la promotion de l’impunité. Et qui du reste se justifiait par la sauvegarde du processus de paix et de réconciliation en cours.
Seydou Karamoko Koné
Quel rigolo c mr quel progrès à fait notre justice
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