Viol collectif : Le présumés coupables déférés hier à la Maison centrale d’arrêt

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Viol collectif

Le juge d’instruction de la huitième chambre du tribunal de première instance de la Commune III a décerné hier, un mandat de dépôt à l’encontre des six présumés coupables du viol collectif filmé et balancé sur les réseaux sociaux.

Première nuit pour les présumés coupables du viol collectif à la Maison centrale d’arrêt de Bamako. Ils ont comparu pour la première le jeudi 15 février devant un juge d’instruction au tribunal de la Commune III. A l’issue  de l’audience de près de deux heures de temps, le magistrat a décerné un mandat de dépôt à l’encontre des membres du « grin fabelas » de Sotuba qui ont violé à tour de rôle une fille de 14 ans, le 26 janvier.

Détenus à la Brigade des mœurs depuis leur arrestation, les bandits sexuels ont été  conduits directement à la prison centrale de Bamako. Ils resteront là-bas jusqu’à la fin de l’instruction du dossier.

Maliki Diallo

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8 COMMENTAIRES

  1. On doit leur arracher les couilles avec des pinces ou un couteau bien tranchant. Ce sont des criminels qui ne devraient pas humer de sitôt l’air de la liberté. Quelle bande de fils de délinquants ces bâtards!! Qu’ils croupissent en prison le restant de leur vie, et leurs parents doivent payer des dommages et intérêts pour la victime, la pauvre. C’est pourquoi, les chefs de familles doivent veiller sur leurs enfants avec beaucoup de rigueur, afin qu’elles n’échouent entre les mains de fils de pute comme ceux-ci.

  2. AU MALI RIEN N’EST PRIS AU SÉRIEUX IL FAUT LES BRÛLER VIFS POUR EVITER UN SECOND SCÉNARIO. SINON LE MALI SERA MAUDIT PAR SES ANCÊTRES. JE DIS ET JE RÉPÈTE BRÛLER CES ENFANTS VIFS POUR QUE NOS ANCÊTRES PUISSENT DORMIR EN PAIX.

  3. AU MALI RIEN N’EST PRIS AU SÉRIEUX IL FAUT LES BRÛLER VIFS POUR EVITER UN SECOND SCÉNARIO. SINON LE MALI SERA MAUDIT PAR SES ANCÊTRES. JE DIS ET JE RÉPÈTE BRÛLER CES ENFANTS VIFS POUR QUE NOS ANCÊTRES PUISSENT EN PAIX.

  4. – Aw kakan ka wo kiliw tiguè fôlô ka sôrô ka taga now yé kasso kônô.

    Par Kôrô Yamyélé

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