Sékou Samassa, juge d’instruction duTPI de la Commune I

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Sékou Samassa puisse que c’est de lui qu’il s’agit est un jeune magistrat très connu dans le milieu de la justice pour son combat en faveur de la bonne distribution de la justice.

Sékou Samassa puisse que c’est de lui qu’il s’agit est un jeune magistrat très connu dans le milieu de la justice pour son combat en faveur de la bonne distribution de la justice.

 

Après avoir décroché une maitrise en 1999 à l’Ecole Nationale D’Administration, il poursuit ses études en Allemagne où il décroche, en 2006, un précieux doctorat en droit.

Ce qui va lui permettre, à son retour au pays, de transmettre son savoir au profit de l’école qui a été la base de sa formation en droit ainsi que d’autres structures d’enseignement supérieur privées.

 

Sékou Samassa est membre du bureau de l’Association des Jeunes Magistrats du Mali et principal fondateur d’un groupe sur Facebook dénommé « REJUMA, Réseau des Juristes du Mali). Un réseau où l’on voit intervenir fréquemment des éminents juristes et juristes en herbe pour discuter sur les sujets de droit.

 

Avant sa nomination récente comme juge d’instruction du tribunal de 1ère instance de la Commune I, il était Substitut du Procureur de la République de la commune III du District de Bamako et du Pôle économique et financier.

L’homme donne son impression sur la justice et la fonction du juge.

 

Selon lui, «  la justice est le socle de base, voire le fondement de l’équilibre et de la cohésion sociale ».  Et de poursuivre, « il ne saurait avoir de paix sociale sans une justice équitable et impartiale et cela sans distinction entre riches et pauvres ou entre peaux noires et blanches. ».

S’agissant de la fonction de juge, il dira que celui-ci en tant que gardien des libertés individuelles doit mesurer la portée de ses missions. C’est-à-dire, considérer que la liberté demeure le principe et la prison,  son exception. Car selon le jeune magistrat, « en usant inopportunément du mandat de dépôt, le juge s’amuse avec la liberté, la dignité et l’honneur du citoyen ».

                                                                                                                        Modibo Dolo

 

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