Plainte contre Alpha Oumar Konaré : Quand l’escroc crie à l’escroquerie !

1

Que le président KONARE fasse peur ou que son silence dérange, on assiste à une campagne d’intoxication mensongère et fallacieuse d’individus tapis dans l’ombre. De nos investigations, il ressort que Toriba Diarra n as jamais été le chauffeur du président KONARE. Au contraire, nous avons découvert qu’il figure bien dans les archives de la police et de la justice pour être trempé dans des affaires de trafic d’or. Par ailleurs, il n’a jamais connu le président AOK qui de son côté ne le connait ni d’Adam ni d’Eve.

 

Depuis les années 2000 et jusqu’à nos jours, il existe de grands réseaux internationaux liés à l’escroquerie portant sur l’or au Mali. Ces escrocs évoluaient entre le Mali, le Burkina Faso, la Guinée Conakry et bénéficiaient, à cause de leurs largesses, du soutien de certains fonctionnaires dans l’appareil judiciaire et policier.

Ils causèrent à l’époque beaucoup de préjudices à cette filière qu’est la vente d’or.

 

Ces personnages sont connus de tous à Bamako et particulièrement du monde judiciaire et sont interconnectés entre eux et se partagent les rôles et les butins. Ils sont, très souvent détenteurs de plusieurs passeports, malien, guinéen, etc. Nous nous ferons le devoir de les identifier clairement dans nos prochaines livraisons.

 

Ce sont en général, des Occidentaux et des Maliens de l’extérieur qui traitent avec eux. Et ces clients savent pertinemment que les gens avec lesquels ils traitent ne sont pas aussi propres mais préfèrent tout de même passer par les voies illicites leur permettant de majorer leurs bénéfices alors qu’ils pouvaient passer directement par les circuits officiels, notamment la direction générale des mines qui les orientent vers des comptoirs agréés par l’Etat.

 

Leur mode opératoire est simple: ils utilisent les noms de personnalités publiques, de faux documents étatiques (douane, direction des mines etc.), un métal ressemblant à l’or pour appâter davantage leurs victimes.

En conclusion et à propos du dossier Moussa Diallo, il s’agit d’une banale affaire d’escroquerie liée à l’or. Des dossiers de ce genre, il y en a des centaines dans les tiroirs de la justice malienne. Moussa Diallo n’a pas voulu passer par les filières normales d‘acquisition de l’or en République du Mali ; il a préféré les voies illicites et détournées c’est-à-dire celles des escrocs bien connus à Bamako et par tout professionnel du monde de la justice et de la police, et qui, dans leur mode opératoire, ont utilisé le nom de la 1ère personnalité publique de l’époque, en l’occurrence Alpha Oumar Konaré, alors président de la République, pour appâter davantage. Une personnalité qui ne connaît ni d’Adam ni d’Eve ces escrocs. Pour cela Alpha doit porter plainte contre Moussa Diallo, qui, à part les dires des escrocs en question, ne peut fournir la moindre preuve d’un lien entre les escrocs et la personnalité.

Nous y reviendrons !

B . Diarrassouba

 

Commentaires via Facebook :

1 commentaire

  1. ******Quand l’escroc crie à l’escroquerie !*********
    JE NE VOIS PAS EN QUOI CELA PEUT ÉTONNER !
    Au MALI , cela fait partie des habitudes !
    En quoi cela peut il encore surprendre ?
    😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

Comments are closed.