La justice malienne a inculpé jeudi six personnalités civiles, dont un ancien Premier ministre et un populaire animateur radio, et écroué cinq d’entre elles pour tentative présumée de coup d’Etat selon leurs avocats, quatre mois et demi après le dernier putsch en date dans le pays en guerre.
Cette affaire, révélée en décembre avec une série d’interpellations menées par la Direction générale des services de l’Etat (DGSE, le renseignement malien), demeure entourée de mystère. Elle a suscité une grande perplexité, étant donné la personnalité des hommes mis en cause et le caractère étonnant d’une éventuelle tentative de déstabilisation, alors que les militaires ont la mainmise sur le pouvoir depuis le putsch qui a renversé le président Ibrahim Boubacar Keïta le 18 août.
Le parquet de Bamako a annoncé jeudi dans un communiqué l’ouverture d’une information judiciaire contre six personnalités, dont le dernier Premier ministre avant le putsch d’août, Boubou Cissé, pour “complot contre le gouvernement, association de malfaiteurs, offense à la personne du chef de l’Etat et complicité”.
Le juge a ordonné leur placement sous mandat de dépôt, à l’exception de Boubou Cissé, qui est “resté introuvable” selon le parquet.Le parquet évoque des faits présumés “d’atteinte à la sûreté intérieure de l’Etat”, des “indices graves et concordants” de l’existence d’une “entreprise criminelle” et des “actions de sabotage” contre des initiatives prises par les autorités de transition mises en place par les militaires après leur putsch.
Le parquet se garde de parler de coup d’Etat, mais c’est bien “pour des faits (présumés) de tentative de coup d’Etat” que les mis en cause ont été inculpés, a souligné dans un communiqué le collectif d’avocats qui les défend.
Cette affaire survient dans une période de profonde incertitude, dans un pays plongé depuis des années dans la crise sécuritaire et politique et confronté à la propagation jihadiste, parmi d’autres défis majeurs. Après le quatrième coup d’Etat depuis l’indépendance en août, les militaires ont mis en place des organes de transition qu’ils contrôlent étroitement mais qui sont censés céder la place à des civils élus au bout de 18 mois.
Comment laissez vous publier der telles cponneries
Qui est ce Monsieur qui se substitue a la Police et la Gendarmerie.Qui a deja juge!
Laissez la Justice faire son devoir.Aucun Malien n’est interesse a ces acciusations gratuites,calominieuses .Je connais pas Boubou Cisse.C’est choquant de traiter un cas judiciaitre aussi grave ,Ferme-la,s’il vous plait !11
Vive Boubou CISSÉ, l’inoxydable !
NOTRE DOCTORÉ DE COMPLAISANCE, BOUBOU TIGA CISSÉ, EST-IL INCAPABLE DE SE DÉFENDRE ET AFFRONTER LA JUSTICE DE LA RÉPUBLIQUE DONT IL FUT LE PREMIER MINISTRE ???
NE CROIT-IL PAS EN LA JUSTICE RÉPUBLICAINE MALIENNE ?????
POURQUOI ALORS BOUBOU TIGA CISSÉ FUIT-IL LA JUSTICE RÉPUBLICAINE MALIENNE ??
ALORS JE LANCE UN AVIS DE RECHERCHE CONTRE BOUBOU TIGA CISSÉ:
– TOUTE PERSONNE PATRIOTE MALIEN AYANT APPERCU LE NOMMÉ BOUBOU TIGA CISSÉ, ANCIEN PREMIER MINISTRE, ET LARBIN CONGÉNITAL DES ORGANISATIONS MAFIEUSES INTERNATIONALES FINANCIERES ET MINIERES, EST PRIÉE D’ INDIQUER LE TROU DE RAT OÚ IL SE CACHE.
EN REGLE GÉNÉRALE, LES MENTEURS, LES VOLEURS, LES VIOLEURS, LES TRAITRES ET LES LARBINS DE LA FRANCE SONT LACHES, ILS N’ AIMENT PAS AFFRONTER LA VÉRITÉ.
GLOIRE Á TOLOBA POUR AVOIR RÉVELÉ AUX FAUSSES “AUTORITÉS” DU MALI LE SOMMET DE LA RÉSISTANCE ANCESTRALE CONTRE LES ENVAHISSEURS ISLAMO-LATINS TOUS ABRAHAMIQUES CANCÉREUX SPIRITUELLEMENT..!
QUE TOUS LES ESPRITS DU MALI DÉTRUISENT DE HONTE, DE MALADIES LES DIRIGEANTS VOLEURS, MENTEURS, TRAITRES ET LARBINS DE LA FRANCE…!!!
AMON..! AMON..! AMON..!
SANÉÉ ANI KONTRON…!!
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