Gouvernance au Mali : L’espoir renait enfin !

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Le Mali revient de loin. L’espoir est désormais permis pour tous ceux qui croient encore que le Mali peut rebondir.

Africable, dans un sursaut patriotique,  est en train de réunir les Maliens de toutes tendances confondues  pour qu’ensemble, on ait une visibilité claire de la situation qui prévaut dans notre beau pays  qui, chaque jour, s’enfonce dans le gouffre. On commence petit à petit à comprendre toutes les difficultés auxquelles nous sommes confrontés et on prend conscience en même temps du fait que si nous restons les bras croisés, nous courrons sûrement  vers l’effondrement total de notre pays. Avec les deux émissions  sur Africable et les questions pertinentes qui ont été posées  par notre éminent journaliste, Robert Dissa, on comprend aisément que la solution ne viendra pas d’ailleurs, mais de nous-mêmes Maliens. Car personne ne se sauvera sans l’autre. Nous voulons la régionalisation, l’autonomie, la décentralisation, l’indépendance ? Rien de tout cela ne peut être notre salut, notre salut réside uniquement dans l’unité du Mali. Nos pères fondateurs avaient bien compris cela quand ils ont choisi comme devise pour le Mali : Un peuple, Un but, Une foi.

Le Mali regorge beaucoup de patriotes qui doivent se regrouper, s’organiser et s’engager dans une lutte à mort pour sauver notre pays. Mais cela n’arrivera pas sans cette unité. Nous pensons notamment à Docteur Choguel Maïga qui, à mon avis, a impulsé Africable, à l’Iman Mahamoud Dicko, à Professeur Clément Dembélé et à tant d’autres qui sont prêts à mourir pour le Mali. A partir de maintenant, l’espoir s’ouvre aussi du côté de la justice, le procureur Kassogué qui est parvenu à force de courage et de patriotisme à prendre le lion par la tête, une tête que tous les voraces du Mali cherchent à défendre et même au-delà du Mali,  le président d’une République voisine. Tous les patriotes convaincus du Mali doivent se regrouper autour du procureur Kassogué pour que cette tête ne lui échappe pas. Un proverbe bambara dit: «  Si tu veux que les gens t’aident à abattre ton lion, tâche avant l’arrivée de ceux-ci de maîtriser sa tête ».

Le procureur Kassogué a fait l’essentiel, joignons nous à lui pour qu’il ne se fasse pas dévorer par le lion et par les autres lions qui se sentent menacés, si jamais la situation devait rester ainsi.  Nous devons plus que jamais ceindre la ceinture pour que l’espoir tant  suscité par ces actions d’envergure ne soit pas déçu.

Si nous voulons réussir, tous les groupes constitués pour la défense de notre chère patrie doivent se rencontrer pour unir leurs efforts et éviter de faire cavalier seul. Ils doivent créer une coordination au sein de laquelle tous les groupes doivent se soutenir mutuellement.

Actuellement, nos efforts sont dispersés et si on n’y prend garde, les ennemis du Mali chercheront à nous liquider un à un pour parvenir à leurs fins.

Almatar Mahamar Touré

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4 COMMENTAIRES

  1. Un peuple confronté à une crise s’identifie à un homme CRÉDIBLE VOUÉ corps et âme à son pays.
    Si cet homme n’est pas au sommet de l’État, tout effort est vain.
    À travers cet article, on constate que la naïveté qui a animé certains maliens en 2013 en portant leur choix sur IBRAHIM BOUBACAR KEITA est toujours vive.
    Pourquoi faire sortir une affaire au moment où des mouvements de routes inquiètent les fondements du pouvoir ?
    Pourquoi les sanctions, ne serait ce administratives ne sont pas appliquées dans l’affaire des avions cloués au sol ?
    Pourquoi la disparition du journaliste BIRAMA TOURE n’est pas éclaircie ?
    Pourquoi le procès des SANOGO traine ?
    Qu’est-ce qui explique la présence d’un des complices dans le massacre des bérets rouges à la tête du ministère de la défense ?
    Le pouvoir d’IBK est mouillé jusqu’au cou dans les affaires.
    Sa stratégie est de manipuler pour avoir les LEVIERS DU POUVOIR aussi longtemps que possible.
    PERDRE LE POUVOIR, C’EST ACCÉDER À LA PRISON.
    On ne peut ni déléguer une partie du pouvoir, ni le céder.
    Quand les maliens pensent au pays IBK et ses CAMARADES pensent au pouvoir.
    On a peur d’un soulèvement populaire car c’est le seul procédé qui peut leurs faire perdre le pouvoir.
    C’est pourquoi des accords irréalisables sont signés destinés à neutraliser le mouvement.
    La dernière affaire BAKARI TOGOLA est une poudre au yeux car elle va se perdre dans les procédures judiciaires.
    Elle sert à apaiser la tension autour du régime.
    Qu’on soit clair IBK ne fera rien pour faire avancer le Mali.
    Ce qui l’intéresse, c’est la sauvegarde des sommes colossales placées à l’extérieur.
    Il est de la famille des fossoyeurs qu’a connus l’Afrique pendant la guerre froide .
    OSER LUTTER,C’EST OSER VAINCRE!
    La lutte continue.

  2. Le Mali regorge beaucoup de patriotes et d homme pret a tpout pour notre pays, a l image de notre president de la republique, tout le monde est la pour soutenir notre pays, tout va bien aller et s ameliorer !

  3. Les petits ont parcouru un long chemin. Maintenant, il y a de l’espoir pour tous ceux qui croient encore que le Mali peut se remettre sur pied. confiance a IBK CONFIANCE AU MALI

  4. ” … Nous voulons la régionalisation, l’autonomie, la décentralisation, l’indépendance ? Rien de tout cela ne peut être notre salut, notre salut réside uniquement dans l’unité du Mali… ” … /// …

    :

    Ouai… !

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