Le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Me Mamadou Ismaël Konaté a rencontré successivement le Syndicat des Greffiers, la Section Syndicale du Secteur de la Justice, le Syndicat Autonome de la Magistrature (SAM) et le Syndicat Libre de la Magistrature (SYLIMA). Cette série de rencontre rentre dans le cadre du dialogue social avec les partenaires sociaux initié par le ministre de la tutelle.
Le ministre de la Justice Garde des Sceaux, Me Mamadou I Konaté, dans le cadre d’une rencontre dénommée ‘’dialogue social’’, a rencontré les partenaires sociaux de son département, notamment le Syndicat des Greffiers le 17 mai, la Section Syndicale du Secteur de la Justice le 18 mai, le Syndicat Autonome de la Magistrature (SAM) et le Syndicat Libre de la Magistrature (SYLIMA), le 19 mai 2017.
Ces rencontres ont permis au ministre d’échanger avec les différents partenaires sur les difficultés liées à l’exercice de leurs professions respectives.
Aussi, il s’agissait pour le ministre, à travers cette rencontre, de trouver des pistes de solutions à l’ensemble des préoccupations posées pour l’amélioration des conditions de vie et de travail de chaque corps professionnel.
La rencontre a également permis d’informer les syndicats sur les actions en cours, ainsi que celles envisagées, permettant de répondre à leurs préoccupations professionnelles et syndicales.
Une occasion pour le ministre de réitérer sa volonté et son engagement à œuvrer de manière soutenue pour répondre aux préoccupations et apporter les meilleures réponses aux interrogations et préoccupations soulevées dans les revendications.
Avec les acteurs de la famille judiciaire, en s’appuyant sur le dialogue social, le Garde des Sceaux entend tout mettre en œuvre pour valoriser les corps de métiers judiciaires.
S’agissant des points d’accord conclus avec les syndicats, le ministre a affirmé que le gouvernement est engagé pour accélérer sa mise en œuvre.
Enfin, Mamadou Ismaël Konaté s’est réjoui de l’état d’esprit qui a prévalu lors des rencontres, tout en remerciant les syndicats pour leur sens d’ouverture et de dialogue.
O.M
