Élue présidente de la Coordination des associations féminines et ONG (CAFO) pour 5 ans, lors de l’assemblée extraordinaire du 30 décembre 2017, Dembélé Oulematou Sow vient d’être confirmée par une décision du tribunal de la Commune III.
Les travaux de l’assemblée générale extraordinaire de la Coordination des associations féminines et ONG (CAFO) se sont tenus le 30 décembre 2017 dans la salle de conférence du Mémorial Modibo Kéita. Cette assemblée a enregistré la participation des représentantes de la CAFO de toutes les régions du Mali et celles des coordinations des six communes du district de Bamako.
Lors de la rencontre, les participantes ont apporté de l’amélioration aux textes qui régissent la CAFO. Tout en modifiant certaines parties, elles ont fait des résolutions et ont élu un bureau de 33 membres dirigé par Mme Dembélé Oulematou Sow.
Partant de cette victoire, les détracteurs et la nouvelle présidente se sont retrouvés devant le tribunal de la commune III. Après plusieurs mois d’attente, le verdict est enfin tombé. Le tribunal a confirmé l’élection de Mme Dembélé Oulematou Sow à la présidence de la CAFO pour les 5 prochaines années. Les clans de l’ancienne présidente et l’actuelle ministre de la promotion de la femme, de l’enfant et de la famille ont donc perdu la bataille.
Wassolo
Pujadas (une fois de plus) tente de faire sa prophétie ce soir en mettant la faute sur le “tiers-monde”!
Nouvel an lunaire probablement, ces médias savent la date bien avant les interessés!
Tout ça en vue de générer leurs “dé$ordres” habituels!
Comme la fausse affaire d’espionnage chez Renault,
Affaire contre le restaurant de Brie-Comte-Robert à 25 km de Guermantes. le 31 janvier 2008 (donc une date pas visée au hasard mais bien pour nuire à une certaine communauté!)
C’est la jalousie à son paroxysme dans ce pays (comme nous avons pû encore entendre ce soir de Pujadas sur leur canal Bouygues!
Et là cette nouvelle année lunaire, juste le jour même, ils ont fait leur caca nerveux sur l’echec de la fusion entre Alstom et Siemens… qui se serait fait au détriment de ce dernier…
Dans un pays sérieux, la dite ministre devrait démissionner, mais tout est permis au Mali et l’on ne se préoccupe même plus de l’image que l’on envoie en bas et dans les autres secteurs.
Démissionner vous dites? Ce mot n’existe pas dans le vocabulaire des arrivistes encore moins ministre. Si cette dame avait une once de dignité elle aurait commencé par demander au Bouffon qui l’a placé dans son gouvernement à respecter le quota de femmes que ce Bouffon lui-même à décidé.
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