Depuis deux ans, le chef de l’ex-junte putschiste Amadou Haya Sanogo, son ex-bras droit le capitaine Amadou Konaré, l’ancien ministre de la Défense, le général Yamoussa Camara, l’ex- Directeur de la Sécurité d’Etat, le général Sidi Alhassane Touré ont été placés sous mandat de dépôt dans l’Affaire des bérets rouges disparus. Les concernant, la Chambre d’accusation de la Cour d’Appel de Bamako s’est prononcée sur le cas du Général Dahirou Dembélé (placé sous contrôle judiciaire) et ses compagnons Yamoussa Camara Sidi et Alhassane Touré, tous les trois soupçonnés d’avoir inséré les noms des bérets rouges assassinés par la junte sur la liste des soldats morts au front.
Tout est parti, selon nos sources, d’une demande que les Généraux Yamoussa (sous mandat de dépôt), Sidi Alhassane Touré (ex-DGSE, sous mandat de dépôt) et Dahirou Dembélé (sous contrôle judiciaire), ont adressé à la Chambre d’accusation de la Cour d’appel afin que celle-ci tranche sur qui pourrait ou non être retenu contre eux. C’est à la suite de cette demande que le parquet Général a, au cours d’un débat ouvert sur l’Affaire concernant les trois derniers, a demandé un non-lieu en leur faveur.
Par contre, le parquet d’instance de la commune III n’est pas de cet avis. En attache avec le juge d’Instruction, il est question que l’ensemble des prévenus dans l’affaire des 21 bérets rouges disparus, comparaissent devant une Cour d’assises compétente en matière pénale pour les infractions les plus graves, notamment les crimes.
Cependant, ce bras de fer entre le Parquet Général, pour un abandon de poursuites, et le Parquet de la Commune III qui prône la comparution des trois concernés, intervient à quelques semaines près d’une décision attendue de la Chambre d’Accusation de la même Cour d’Appel de Bamako. Ce qui présage tout simplement une délivrance arbitraire programmée de ceux qui avaient quitté la Roche Tarpéienne avec des forfaits à la clé, pour le Capitole.
Issiaka M Tamboura (maliweb.net)
Je ne suis pas loin de partager cet avis du Bouranké national de maliweb. Maso on nait maso on meurt. Sinon comment comprendre qu’en des temps si durs on s’attarde sur le sort de ces raclures de bidet.
Les juges, les juges, les juges maliens constituent une honte pour le monde entier; comment peut-on donner un non lieu pour des bandits armés? Quelle honte? Quelle Ignominie? Quelle indignité? Quel comportement éhonté pour l’Afrique? Je suis sidéré. Qu’Allah protège et aide le Mali de ses hommes de justice.
«Nous ne devons pas désespérer de l’Homme, puisque nous sommes tous des hommes» (Albert Einstein).
Il faut leur libere
incroyable mais vrai : Daesh avant la fin de l’année 2016 sera au Mali , et au lieu de se préoccuper d’avoir une armée saine et courageuse , les journaleux s’occupent encore de ces deux cons qui auraient du etre passés par les armes depuis longtemps !!! à croire que les maliens aiment les coups de pied au cul ce n’est pas avec des bidasses de l’accabit de ces deux clowns qui vous allez empecher DAESH de pietiner le Mali !
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