Cultiver le concept de « non à la violence » dans le comportement quotidien du jeune malien dans : la famille, la commune et le pays tout entier. C’est une priorité. En effet l’avenir de notre pays le Mali en dépend et nos autorités et nos parents sont interpellés.
Depuis des lustres, la violence est devenue un mode d’expression et de satisfaction des besoins vitaux et de vices pour les individus en manque de suivi et de repères. Et dont la majorité demeure les jeunes. Malheureusement, cette violence se retourne contre la jeunesse elle-même.
Cependant, il est fréquent d’assister dans nos familles à des affrontements terribles et terrifiants entre les membres. Aussi, il est familier de se faire agresser dans les quartiers, les rues par des bandits. Soit pour une moto ou à cause de l’argent ou d’autres motifs. Du coup, la quiétude et la paix sociale dans le pays sont menacées.
Certes, il ya des jeunes qui n’ont jamais connu de suivi parental ou communautaire ; ceci peut aussi pousser les jeunes à la délinquance et au banditisme.
C’est le cas des enfants de la rue qui sont laissés à eux mêmes sans aide ni suivi ; comment ces jeunes pourront avoir un bon comportement dans nos sociétés ?
A lors qu’il existe des structures pour suivre ces jeunes abandonnés, qui, un jour, peuvent semer la terreur dans nos sociétés.
Qu’à cela ne tienne, chose inquiétante même dans nos services de sécurité. Nos jeunes agents ont tendance à semer la violence dans le pays dans le cadre de l’exercice de leurs fonctions.
A ce stade le pays est vraiment hors de lui-même.
Donc, le pays étant en voie de développement, chers jeunes cette voie, faisons tout pour l’élargir, l’agrandir, et l’assainir.
Le Mali compte énormément sur nous les jeunes et il y va de notre propre responsabilité.
COK