Il y a des évènements qui sont têtus. Des grands faits qui restent très longtemps affichés au panneau de l’Actualité. L’attentat effroyable à la vie des journalistes du journal Charlie hebdo, il y a presque un mois, fait partie de ces évènements. Il continue de soulever des indignations et aussi des interrogations. Cet évènement malheureux qui n’a laissé personne indifférent continue d’être condamné, appuyé et analysé de différentes manières.
Aujourd’hui, mardi 03 février, deux grands faits aggravants se sont encore greffés à cette terrible affaire Charlie :
Selon le site 20minutes.fr, « un ancien ministre pakistanais, Ghulam Ahmad Bilour, a annoncé lundi qu’il mettait la tête de l’actuel propriétaire de Charlie Hebdo à prix, pour 200.000 dollars,(au moins 100 millions de francs cfa) rapportent les médias pakistanais. «J’avais déjà déclaré que je ne tolère aucune attaque sur la sainteté du Saint Prophète», a déclaré ce député pakistanais lundi. Riss, l’actuel directeur de la publication, serait donc visé. Il a par ailleurs indiqué qu’il allait proposer 100.000 dollars aux héritiers des frères Kouachi, auteurs de la tuerie de Charlie Hebdo qui a fait douze morts, dont une bonne partie de la rédaction, et d’Amédy Coulibaly, qui a tué une policière à Montrouge et auteur de la prise d’otages de l’épicerie casher de la porte de Vincennes. En septembre 2012, il avait déjà annoncé qu’il proposait une récompense de 100.000 dollars pour la mort du réalisateur du film très controversé L’innocence des musulmans. Son parti, le Parti national Anawi, ainsi que le gouvernement pakistanais s’étaient alors désolidarisé de ses déclarations mais n’avaient pris aucune mesure contre lui. »
En ce même mardi, l’actualité dominant dans la presse française est
« France: un Coulibaly poignarde trois soldats
Trois militaires français ont été agressés par un homme armé d’un couteau, et deux d’entre eux blessés mardi à Nice (sud-est), devant un centre communautaire juif sous protection depuis les attentats de Paris, selon une source policière.
L’un des soldats a été blessé au bras et un autre au visage. L’auteur de l’agression, qui s’est déroulée peu après 13H00 GMT dans le centre de Nice, a été arrêté. Une enquête a été ouverte et confiée à des magistrats antiterroristes, selon une source judiciaire. L’agresseur aurait peut-être eu un complice, a ajouté une autre source policière, sans donner de détail sur les motivations ou le profil de cet homme ou de son éventuel complice.
Selon plusieurs sources proches de l’enquête, l’individu interpellé s’appellerait Moussa Coulibaly mais n’aurait a priori aucun lien avec Amédy Coulibaly, un des trois jihadistes auteurs des attentats de Paris qui ont fait au total 17 morts et une vingtaine de blessés entre le 7 et le 9 janvier.
Amédy Coulibaly avait abattu une policière dans la banlieue sud de Paris le 8 janvier avant de tuer le lendemain un employé et trois clients juifs d’un supermarché casher de la capitale.
Les militaires agressés à Nice assuraient la sécurité d’un immeuble abritant le consistoire israélite de la ville, une radio et une association de la communauté juive.
Quelque 10.500 militaires ont été déployés en renfort en France depuis les attentats de Paris, pour assurer la protection de sites sensibles, notamment les lieux de culte juifs et musulmans, les établissements scolaires, les entreprises de presse et lieux publics les plus fréquentés (gares, sites touristiques… »
Cette dangereuse accentuation des menaces de mort est très inquiétante. Dans notre monde dit modernisé et civilisé nous devons lutter contre la violence meurtrière. Car, la violence, sous toutes ses formes, est à bannir. Qu’elle soit physique, verbale ou morale, la violence ne peut que résoudre momentanément un problème mais jamais définitivement. Celui qui est violent oppresse et laisse des cicatrices souvent indélébiles sur le corps ou le cœur du violenté. Insulter, ironiser, frapper, blesser et tuer sont tous des violences à différents degrés qui prouvent la faiblesse de caractère et d’argument du violent.
La violence engendre la vengeance qui alimente et propage encore la violence. Une telle situation ne produit qu’un cycle de rotation des vexations sous-tendu par des violations. Ce genre de violation de droits élémentaires embrouille les relations interpersonnelles et sociales. Certes, la liberté d’opinion, de religion, de réunion et d’expression sont des droits mais qui requièrent des devoirs dans leur application. Il faut reconnaitre que l’équipe ancienne et nouvelle de Charlie hebdo a fait de la satire sa tirelire pour exagérément tourner en dérision la religion musulmane et son icône : Le prophète Mahomet. Ce journal satirique a ainsi attiré sur lui la malédiction divine et humaine.
La malédiction est la condamnation au malheur causée par des comportements indécents volontairement faits contre autrui dans le but de le salir ou de le détruire. La bénédiction est tout simplement le contraire de la malédiction. Contrairement au maudit, le bénit bénéficie de la protection et de la promotion divines à travers les êtres humains de façon inattendue partout et à tout moment.
Le Grand Dieu, miséricordieux, ne prédestine aucune de ses créatures à la malédiction ou à la bénédiction. Seul Le Bon Dieu demeure entièrement impartial. Nous sommes tous des enfants de ce Bon Dieu. Qu’on soit athée ou religieux, chaque personne ou groupe de personne doit respecter la foi religieuse d’autrui à défaut de l’accepter. Parmi les diverses croyances religieuses, les religions, chrétienne et musulmane, sont les plus répandues à travers le monde. Ces deux religions sont incarnées par ces deux prophètes de Dieu : Jésus Christ et Mahomet. Sans jamais être ni sorciers ni diables, ils furent sur terre des êtres humains qui ont fait preuve d’une impressionnante honnêteté dans leurs relations sociales et surtout d’une indéfectible fidélité à Dieu dans leurs pratiques religieuses. Ils constituent chacun, la caution morale des milliards de croyants. Donc, ils sont, à souhait, imitables mais absolument intouchables. Ils ne doivent jamais faire l’objet ni de moqueries, ni d’insultes, ni de critiques de la part d’un être humain.
Tout humain qui s’adonne à la provocation démesurée des adeptes d’une religion en blasphémant leur prophète s’attire la malédiction divine. Ceux qui ne comprennent pas ou qui ne veulent pas comprendre cette réalité resteront malheureux pendant toutes leurs existences. Le nécessiteux n’est forcément pas le malheureux. L’homme peut se baigner dans la richesse financière et matérielle et se sentir malheureux. Alors qu’on peut patauger dans la pauvreté et être heureux.
Né et mort dans la pauvreté, le prophète Mahomet, fondateur de l’Islam, a pu attirer en son temps et surtout maintenant d’inestimables adhérents à la religion musulmane grâce à sa richesse morale positive. Tentons de comprendre brièvement le miracle marquant l’existence du prophète, dernier messager de Dieu sur terre. Des informations qui ont été glanées pour nos lecteurs et lectrices :
Résumé de la vie du prophète Mahomet
Environ 600 années après le départ du prophète Issa (Jésus), comme Allah n’avait envoyé aucun autre Messager sur terre, les gens étaient plongés dans l’obscurité. Ils avaient oublié Dieu. Ils avaient oublié les bonnes paroles prêchées par les Prophètes.
Ils fabriquaient des idoles et les adoraient. Ils adoraient aussi les arbres, la mer, le soleil, la lune etc… Ils consommaient des boissons alcoolisées et s’adonnaient aux jeux de hasard. Ils enterraient leurs filles vivantes et brûlaient vives les veuves. Bref, le monde était dans le plus grand égarement et dans la plus grande perdition.
On avait cessé d’adorer le Dieu Unique. Il était alors nécessaire qu’un Messager vienne de la part d’Allah pour guider à nouveau l’humanité vers le chemin de la Vérité.
Sa naissance
C’est alors à la Mecque, que le prophète (que Dieu lui accorde Sa Grâce et Sa paix), naquit très probablement le lundi 12 du mois de “Rabi’oul Awwal” de l’année de l’éléphant. En l’an 569 Après Jésus-Christ.
Lors de la naissance de Mohammad, plusieurs événements eurent lieu à travers le monde ; ainsi le palais de l’empereur perse trembla et un feu qui était allumé depuis des siècles dans un de leurs temples s’éteignit.
Sa garde
Son père Abdoullah mourut deux mois avant la naissance de Mohammad. Agé alors de 6 ans, après la mort de sa mère Amina, il fut pris en charge par son grand-père Abdoul Mouttalib. Mais deux ans, deux mois et dix jours après la mort de sa mère, Abdoul Mouttalib tomba gravement malade. Il appela alors à son chevet tous ses fils et décida qu’après sa mort, Mohammad serait confié à l’un d’eux : Abou Talib.
Abdoul Mouttalib mourut quelques temps plus tard alors que Mohammad n’avait que 8 ans. Abou Tâlib était l’oncle de Mohammad. Il avait une famille nombreuse mais malgré cela il n’hésita pas à recueillir Mohammad.
Pour pouvoir élever sa famille, il allait jusqu’en Syrie (le Châm) pour faire du commerce.
Un signe
Lorsque Mohammad fut âgé de 12 ans, son oncle Abou Tâlib décida de faire un voyage vers la Syrie. Le jeune Mohammad voulut l’accompagner mais Abou Tâlib refusa à cause des difficultés du voyage. Puis comme il insistait beaucoup, il accepta de l’emmener avec lui. Ce fut son premier voyage vers la Syrie.
Ce fut à l’occasion de ce voyage qu’il rencontra un moine nommé “Bahira” qui reconnut en lui les signes distinctifs du Prophète qui avait été prédit dans l’évangile et qui était attendu. Il conseilla à Abou Tâlib de ramener Mohammad rapidement vers Makkah et de bien veiller sur lui.
Mohammad avait cultivé pendant son enfance et sa jeunesse un certain caractère et une force morale tout à fait différents des autres. Il avait de bonnes manières. Il était honnête et loyal. Aussi, les gens de Makkah l’appelait “Al-Amine” (le digne de confiance).
Khadija
Il y avait à la Mecque une femme veuve très riche qui s’appelait Khadija (qu’Allah l’agrée). Elle faisait du commerce à Makkah mais aussi en dehors de l’Arabie, par l’intermédiaire d’autres personnes. Quand elle apprit que Mohammad était l’homme le plus honnête de la Mecque, elle lui proposa de conduire une de ses caravanes commerciales vers la Syrie, en échange d’un salaire.
Mohammad accepta sa proposition et accomplit ainsi son second voyage vers ce pays. Maysara ( une servante de Khadija, qui les accompagnait) constata aussi lors de ce voyage d’autres signes étranges concernant Mohammad. Elle en fit alors part à Khadija (qu’Allah l’agrée) à son retour.
Khadija (que Dieu l’agrée) était une femme riche et éduquée. Elle envoya alors une messagère nommée Nafiça chez l’oncle de Mohammad pour lui faire part de son désir d’épouser Muhammad. La demande ayant été acceptée, Mohammad, était alors âgé de 25 ans lorsqu’il épousa Khadija qui pour sa part avait 40 ans.
Elle a vécu plus d’un quart de siècle (plus de 25 ans) avec son époux. Mohammad n’épousa pas d’autres femmes tant que Khadija était encore en vie. Elle fut sa meilleure épouse et compagne. De cette union, naquirent quatre filles et deux fils. Les deux fils s’appelaient Quassim et Tahir. Tous deux moururent en bas âge. Les filles s’appelaient Zeïnab, Oum Koulçoum, Roquayya et Fâtima.
La révélation
Avant la première révélation, il avait l’habitude de se rendre dans une grotte au mont “Hirâ” pour méditer.
Ce fut là ; pendant une nuit du mois de Ramadan, à l’âge de 40 ans, que soudainement, Mohammad perçut une présence, dans le silence de la nuit.
Une voix se fit entendre :
“Lis !” Mohammad était bouleversé. “Je ne sais pas lire” lorsque la voix répéta l’ordre c’est comme si la terre s’était mise à trembler : ” Lis !”
– ” Que dois je lire ? ”
Puis soudain, il se sentit comme libéré.
” Lis ! au nom de ton Seigneur qui a créé ! Il a créé l’Homme d’un caillot de sang. Lis car ton Seigneur est le Très Généreux. Qui a instruit l’Homme au moyen du Calame, de la plume. Il lui a enseigné ce qu’il ne savait pas. ” [ Sourate 96 L’adhérence – Verset 1 à 5 ]
Ce furent les 5 premiers versets du Glorieux Coran, la voix était celle de Gabriel , l’esprit de Foi et de Vérité, qui fut envoyé par Dieu au dernier des prophètes. Mohammad était envoyé à l’Humanité tout entière, pour guider les Hommes mais aussi les Djinns vers le chemin de Dieu.
Son message
L’aimé d’Allah, comme il fut surnommé, reprocha aux Mecquois leurs idoles (statues qu’ils prenaient pour Dieu), les appela à adorer le Créateur Unique et leur récita les versets du Coran pour les guider dans la bonne voie.
Comme réponse il fit face à la torture et à l’oppression. Lorsque les Mecquois prirent conscience de leur incapacité à lui faire face, il lui offrirent royauté, argent et pouvoir mais Mohammad (paix et bénédictions) refusa et dit :
” Même si vous me posez le Soleil sur ma main droite et la Lune sur ma main gauche, je ne renoncerais pas à mon Message ”
Ce message de quelques mots mais qui pesait plus lourd que les cieux et la terre était :
Ô vous les gens ! Dites il n’y a nulle divinité digne d’adoration sauf Allah et vous réussirez !
Les persécutions
Lentement, un par un, le nombre des musulmans augmentait, guidés par le prophète bien-aimé. Mais les musulmans furent l’objet de persécutions dès les premiers temps de l’Islam. On riait et on se moquait d’eux, et comme si cela ne suffisait pas, les non croyants avaient même recours à des attaques et à des tortures physiques.
Quelques centaines de musulmans réussirent à quitter la Mecque, abandonnant leur maison, cherchant refuge en Abyssinie voisine, terre chrétienne, et ceux qui restèrent, subirent des persécutions de plus en plus violentes. Une nouvelle tactique fut mise en place par les chefs de la Mecque. Ils contraignirent le prophète et ses compagnons à vivre dans un endroit isolé de la ville, et aucune provision ne leur parvenait.
L’Aimé d’Allah
Grâce à Dieu, les persécuteurs cessèrent cette pratique inhumaine. Le blocus fut finalement levé et la situation se modifia quelque peu. Les gens purent à nouveau observer et écouter le prophète.
C’était un bel homme, de taille moyenne, les cheveux et la barbe noire, ses paroles étaient toujours pleines de sagesse et de conseils. La gentillesse et la miséricorde de Mohammed étaient inégalables. Il accorda une place d’honneur à la femme, une place dans la société qui était inimaginable, un honneur en islam, que l’on ne trouvait nulle part ailleurs.
Le voyage nocturne
Ce fut lors de la dixième année de la révélation que le prophète Mohammad perdit son oncle Abou Talib, suivit de la mort de son épouse Khadija, de plus il fut maltraité par le peuple de Ta’if lorsqu’il vint leur délivrer le message.
Ce fut une année de tristesse pour le prophète . Mais c’est cette année là que Dieu envoya l’ange Gabriel, pour l’élévation suprême du corps et de l’esprit, le voyage nocturne : Al Isra wal Mi’raj.
Un voile séparait le prophète de son Seigneur et c’est là que Dieu offrit le plus grand honneur à Mohammad : les cinq prières quotidiennes, le deuxième pilier de l’Islam. A la suite de ce voyage miraculeux les incrédules redoublèrent de moqueries et de persécutions envers le prophète
L’hégire
C’est alors qu’une délégation de la ville de Yathrib, située à environ 400 Km de la Mecque proposa l’hospitalité à Mohammad et à sa communauté.
Mohammad accepta après treize années d’appel à l’Islam, à la Mecque. Il immigra, lui et les “convertis” à l’Islam, vers Médine, lieu où la religion a pu s’épanouir et où Mohammad devint le chef de ce nouvel Etat.
C’est ce que l’on a appelé l’Hégire, et qui marque le commencement du calendrier islamique.
L’autorisation
Beaucoup de gens à Médine, ont constaté les bienfaits de l’Islam, et se sont “convertis”. Cependant, les Mecquois étaient toujours déterminés à éliminer la communauté musulmane, et ce fut au cours de la deuxième année de l’hégire, pendant le mois de Ramadan, après de nombreuses persécutions que Dieu le Très Haut donna la permission de se défendre.
“Toute autorisation de se défendre est donnée à ceux qui ont été attaqués. Parce qu’ils ont été injustement opprimés. Dieu est Puissant [ Sourate Le Pèlerinage 22 – Verset 39 ]
Les batailles
La première guerre fut appelée la bataille de Badr ; les Musulmans, (trois fois moins nombreux que les Mecquois qui étaient au nombre de mille), sont sortis vainqueurs miraculeusement, avec l’aide de Dieu.
Bataille après bataille, les musulmans prouvèrent qu’ils pouvaient résister à toutes les attaques grâce à Dieu et Médine ne fut plus jamais attaquée. Ce fut au cours de la sixième année de l’Hégire qu’une trêve fut décrétée entre Mohammad et les mecquois, c’est ce qu’on appela “le pacte d’Al-Hudaybiyya”.
La victoire
C’est en 629 ; huitième année de l’Hégire, deux ans après la trêve dont les termes étaient constamment violés par les mecquois, que le prophète Mohammad décida de se rendre à la Mecque avec une armée de dix milles hommes pour s’emparer de la ville.
Ce fut un miracle, pas une goutte de sang ne fut versée et le prophète passa la porte de la ville, sur son chameau, la tête baissée, en toute humilité, tandis que tous ses ennemis le regardaient.
Il pardonna aux plus grands ennemis de l’islam, face à cette miséricorde, les gens de la Mecque embrassèrent l’Islam sans contrainte.
Le prophète entra dans l’enceinte de la Ka’aba, où se trouvaient les trois cent soixante idoles et statues devant lesquelles les Arabes se prosternaient. Une par une, sur l’ordre du prophète, les idoles furent détruites. Le prophète s’installa à Médine qui devint la capitale du nouveau monde musulman.
Son heure
Dieu le Très Haut, rappela son prophète à l’âge de 63 ans, il mourut dans sa maison à Médine, ne laissant derrière lui que quelques biens, le monde à ses pieds mais sans un dinar à son nom. Alors que personne ne voulut le croire, Abou Bakr, le véridique dit ceci :
” A quiconque adorait Mohamed, j’annonce la mort de Mohamed.
Mais à celui qui adore Allah, Le Seigneur est vivant et ne meurt jamais ”
L’esprit de son message demeure aussi clair et vivant que lorsqu’il fut révélé :
Ô Seigneur, prie sur Muhammad et sur la famille de Muhammad Ô Seigneur, accorde Tes bénédictions a Muhammad et à la famille de Muhammad . Tu es certes Digne de louange et de glorification.
Liberté d’expression à deux vitesses
Il faut déplorer que les dirigeants politiques et leurs faiseurs de lois font preuve de partialité dans la rédaction et l’adoption des normes devant s’appliquer à tous. Cette situation suscite de profondes frustrations. Voyons ce que le journal français, Le Monde, révèle sur les lois et leur application à deux vitesses :
« Charlie », Dieudonné… : quelles limites à la liberté d’expression ?
« Pourquoi Dieudonné est-il attaqué alors que Charlie Hebdo peut faire des “unes” sur la religion » ? La question est revenue, lancinante, durant les dernières heures de notre suivi en direct de la tuerie à Charlie Hebdo et de ses conséquences. Elle correspond à une interrogation d’une partie de nos lecteurs : que recouvre la formule « liberté d’expression », et où s’arrête-t-elle ?
1. La liberté d’expression est encadrée
La liberté d’expression est un principe absolu en France et en Europe, consacré par plusieurs textes fondamentaux. « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi », énonce l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme de 1789.
Le même principe est rappelé dans la convention européenne des droits de l’homme : « Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontière. » Cependant, elle précise :
La liberté d’expression n’est donc pas totale et illimitée, elle peut être encadrée par la loi. Les principales limites à la liberté d’expression en France relèvent de deux catégories : la diffamation et l’injure, d’une part ; les propos appelant à la haine, qui rassemblent notamment l’apologie de crimes contre l’humanité, les propos antisémites, racistes ou homophobes, d’autre part»
Liberté d’expression ou d’exagération ?
Il a été constaté en France même et presque partout dans le monde que le journal Charlie Hebdo étire trop sa satire et tire aveuglement sur des cible sacrées. Ce constat ne vient pas seulement des musulmans mais aussi et surtout d’un des symboles vivants des chrétiens qui est le pape. Ce souverain pontife a, sans ambages, désaprouvé le comportement du journal satirique. Ce jour n’a pas hésité de faire une autre grave provocation dans sa publication du 14 janvier en blasphémant une fois de plus le prophète Mahomet. Et les grands chefs religieux du Mali, à l’instar de plusieurs autres leaders religieux du monde, ont organisé à Bamako, le vendredi 16 janvier une grande marche de protestation contre ce journal. Ce grand monde musulman malien a désavoué et maudit ce journal Charlie. Un monde de croyant qui reste dévouer à la religion comme l’a pratiqué le Prophète Mahomet, un béni de Dieux.
Lacine Diawara, journal Option
Merci monsieur Diawara pour ce rappel de la vie du prophète Mahomet ( PSL)
les musulmans du monde, si vous êtes assis , levez vous le Gouvernement français dans sa politique veut tuer notre réligion puis l’interdir car c’est une réligion qui dérange beaucoup ses projets de l’impérialisme en Afrique .
Merci monsieur Diawara pour ce rappel de l'histoire.
😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Tchieh… LASSI … est ce que toi tu n’as pas des nerfs à retar.dement …??? 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
En tout cas moi je me range du côté … si ça peut nous épargner et une autre sortie de ce genre … sur ce sujet … 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Moussa Ag,… Je suis LASSI … simplement parcequ’ Il risque de nous réciter le Coran … dans sa totalité à sa prochaine sortie … 😆 😆 😆 😆 😆 😆
EH DIAWARA TU NOUS CASSES LES COU.ILLES A FAIRE UN COPIER-COLLER DU CORAN 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿
TON MOHAMED BENI C’EST UNE M……… DIAHRREIQUE QUI NE CHERCHE QU’A FOUTRE LE MONDE A FEU ET A SANG EN UTILISANT DES DEMEURES MENTAUX ET DES ANAPHABETES INCAPABLES DE DIRE 3 MOTS EN ARABE ET QUI NE SONT FOUTUS DE RECITER LE CORAN A FORCE DE BOURRAGE DE CRANE ET DE PAR COEUR SANS MEMES SAVOIR CE QU’ILS DISENT 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿 👿
POUR CE QUI EST DE L’AUTRE ZOZO PAKISTANAIS CORROMPU QUI PROMET 200.000 DOLLARS ,IL FERAIT BIEN DE METTRE SON C.UL A L’ABRI AVANT DE SE FAIRE PULVERISER PAR UN DRONE
UN CHARLIE VAUT 7 MILLIONS DE MOHAMET 😆 😆 😆 😆 😆
jean morel,
J’emmmerde Charlie et je t’emmmder toi blanche merrde amateur de tepus maliennes…
sale bataraden 😆 😆
<>
Votre aurait été correct si les islamistes s’attaquaient seulement à ceux caricaturent leur prophète. Mais ils s’attaquent à tout le monde, les non musulmans et les musulmans considérés comme hypocrites. Eh puis que dites-vous des conquêtes passées, des gens attaqués simplement parce qu’ils pratiquaient une autre religion différente de l’islam?
Il est temps que les musulmans, surtout d’Afrique, acceptent de se poser des questions au regard de leur passé et de leur présent.
Merci pour cet article précis. Croyant et non croyant doivent se respecter mutuellement. Le croyant doit s’en remettre à DIEU pour trancher entre lui et le non croyant pour les offenses de ce dernier. Paix, rien que la paix, wa salam
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