Les quelques raisons qui peuvent faire échouer une union scellée en marge du mois béni de Ramadan :
-Maliweb.net – On s’étonne du grand nombre des unions scellées à la veille du mois de ramadan tout comme la séparation rapide de la plupart de ces couples. Seulement, on ignore souvent l’exigeant décalage chez ces nouvelles mariées, une épreuve que malheureusement toutes ne peuvent surmonter. Se marier à la veille du saint mois de ramadan, superstition ou phénomène de mode pour se garantir une union bénie ? Tel un phénomène de mode, on assiste sans cesse à une recrudescence de mariage aux semaines précédentes le mois de carême musulman dans notre société. Malheureusement, les constats démontrent également que la plupart des mariés se retrouvent mine serrée devant le juge voulant défaire une union qui n’a vécu que quelques sombres mois. La grande interrogation, est qu’est ce qui pousse deux tourtereaux à se regarder en chien de faïence en un si court laps de temps. Selon une conseillère conjugale de la place, Gogo Sidibé, le grand échec des unions scellées à la veille du mois de Ramadan, s’explique par le fait que bon nombre des nouvelles mariées ne sont pas suffisamment préparées à leurs nouvelles vies. A ses dires, il est primordial d’enseigner à la jeune mariée la lourde tâche qui l’attend en se mariant à la veille du carême. « Le mariage en soi est une étape cruciale dans la vie d’une jeune fille, une étape qui consiste à un total remue-ménage, les premiers mois d’un mariage n’est jamais facile pour une femme, elle se doit de tout réapprendre comme un enfant qui fait ses premiers pas, ce qui ne va pas sans erreurs. La jeune mariée laisse ses habitudes pour s’adapter aux habitudes de sa nouvelle maison, elle apprend à connaître son entourage, les goûts de tout un chacun, des détails qui malheureusement sont devenus la cause de nombreux cas de divorces dans notre société. », telle est l’explication donnée par Gogo face au nombre élevé de divorce des mariages contractés à la veille des mois de ramadan. Pour Gogo, le comportement de la belle-famille avec la jeune mariée peut également influer sur ses chances de réussir ou non son épreuve d’intégration conjugale. « Peu de jeunes filles de nos jours savent se lever à l’aube pour préparer à temps et servir les gens qui observent le jeûne et finir la cuisine à temps pour la rupture alors si elles tombent dans une grande famille avec une belle famille compliquée, même si son mari l’ aime fort, la nouvelle mariée à peu de chance d’éviter des disputes avec son mari. Et c’est la somme de ces petits détails qui conduisent la majeur partie des nouveaux couples à la désillusion » poursuit la conseillère conjugale sur la question.
Sachant le processus d’adaptation à une nouvelle vie n’est point facile pour aucun d’entre nous, aussi pourquoi ne pas essayer d’accompagner chaque nouvelle mariée à s’intégrer dans son nouveau univers “en fermant ses yeux” sur des erreurs qui sont humaines ?
AMITA/Maliweb.net
Secret de femme : Les mariages à la veille du carême sont-ils voués à l’échec ?
Par maliweb.net -7 Juin 2016
Le mariage à la veille du carême pourrait avoir le même sens pour quelqu’un qui croît à une religion comme garde-fous de sa vie et de l’autre qui ne croît qu’aux forces de la nature: Pourquoi fait-on des sacrifices dans l’eau, avec de la noix de cola, on évoque nos morts…! Ou même et aussi de quelqu’un qui trouve ses principes dans l’immanence!
1 – C’est un phénomène purement psychologique qui rend une certaine transcendance possible à se surpasser…!
2 – C’est l’exipient dans le suppositoire qui fera qu’on choisira le sourire au lieu des larmes, seulement il va falloir savoir supporter, s’adapter et s’affirmer après!
3 – C’est une espèce de méthode Coué du comportement humain, mais qui vous dit que tout va bien ou peut mieux aller, et puisque c’est parce que vous pensez que tout va pas bien, que tout va bien et on se dit que tout va bien…!
Donc l’échec des mariages, ce serait l’ incapacité pour la plupart des couples de se former une opinion personnelle et dans l’ordre naturel comme dans l’ordre social: c’est à dire d’une part l’éducation comme apprentissage social qui donne à comprendre son environnement, et d’autre part percevoir la nature de l’homme comme un être social et politique, vivant en collectivité et qui donne à respecter sa culture…!
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