Issa Traoré, président du Syndicat Autonome de la Magistrature (Sam) : “Si le député m’avait agressé, c’est son cadavre qui serait sorti de mon bureau”

27

 

Issa Traoré, président du Syndicat Autonomme de la Magistrature (Sam) : "Si le député m'avait agress2, c'est son cadavre qui serait sorti de mon bureau"
Issa Traoré

“Le député Bourama Tidiane Traoré est un Malien comme les autres: il n’est ni ne sera au-dessus de la loi, même s’il est issu du RPM, tonne Issa Traoré, président du SAM, que nous avons rencontré. Le SAM et les autres magistrats sont prêts à tout pour que la légalité prévale dans cette affaire d’agression”. Après le mandat de dépôt décerné, jeudi 27 novembre 2014 par le procureur de la commune 6 de Bamako contre le député agresseur, le président du SAM estime que le détenu a eu de la chance: “Si j’avais été, comme le juge Touré, agressé par le député, c’est son cadavre qui serait sorti de mon bureau !”.

 

Issa Traoré confirme que mardi 25 novembre 2014, vers 18 h 30, le député est venu voir le juge de Ouélessébougou. Ne le trouvant pas à son domicile, il le rejoint à son bureau sans rendez-vous. Le juge, par courtoisie, le reçoit. Il interpelle le juge par rapport à une procédure foncière qui oppose un certain Chacka Traoré à un certain Bamory Lamine Traoré. Le juge lui explique que l’affaire est en cours d’examen et qu’à l’audience du 20 novembre 2014, elle fut renvoyée au 4 décembre pour audition de témoins, en l’occurrence le chef de village et les conseillers de Bananzolé, lieu de situation de la parcelle litigieuse. Le député s’emporte. “Tant que je vivrai, les choses ne se passeront pas ainsi, s’exclame-t-il. Les personnes que vous voulez entendre sont complices  de mes ennemis. Or c’est  moi qui ai payé les frais de la procédure pour le compte du demandeur!”. Le juge, choqué, fait savoir à son interlocuteur qu’il n’a pas légalement à rendre compte à un député et que c’est par courtoisie qu’il le reçoit. Le magistrat lui suggère, s’il veut des comptes rendus judiciaires, de saisir le bureau de l’hémicycle qui, à son tour, interpellera le ministre de la Justice. Le député rétorque qu’il entre dans les missions d’un parlementaire de contrôler l’action gouvernementale. “Je ne dis pas non, objecte le juge; mais il y a une procédure en la matière que je vous prie de respecter”. Le député se met dans tous ses états et porte la main au juge. Ce dernier se défend. Un garde accourt  pour séparer les belligérants. “Aussitôt, poursuit le président du SAM, le juge agressé informe le Secrétaire Général du ministère de la Justice, le procureur général Téssougué, le sous-préfet de Ouélessébougou et le commandant de la brigade de gendarmerie locale”. Sur les instructions du procureur général, le député est interpellé par la gendarmerie du camp 1 de Bamako. Le tribunal de la commune 6 de Bamako est désigné pour juger, le jeudi 27 novembre 2014, le député pour flagrant délit d’outrage à magistrat. Le procureur de la commune 6, au vu du procès-verbal d’enquête, décerne mandat de dépôt contre Bourama Tidiane Traoré et le renvoie, pour jugement, devant le tribunal correctionnel. Les avocats du prévenu demandent sa mise en liberté au même tribunal. Le 27 novembre, le tribunal accède à la demande de renvoi formulée par l’avocat du prévenu, Me T. Samaké, lui-même ressortissant de  Ouélessébougou. Mais le tribunal rejette la demande de mise en liberté du prévenu, renvoyant la cause à l’audience du 3 décembre 2014.

Que pense le président du SAM du refus des députés de voter les lois tant que leur collègue n’aura pas été libéré ?“Les députés peuvent s’agiter comme ils le veulent, mais nous, magistrats, devons veiller à ce que force reste à la loi. Des magistrats sont sous mandat de dépôt dépuis bientôt un an sans que leur corporation embête la terre entière !Il ne faut pas donner l’impression que dans ce pays, il  y a les enfants du bon Dieu et les canards sauvages!”, répond Issa Traoré. Qui ironise: “Les lois qui frappent le député Traoré ont été votées par les députés eux-mêmes !”. Issa Traoré trouve inadmissible l’acte du député qui, selon lui, “se prend pour Dieu le Père” et “a une  mauvaise conception de l’immunité parlementaire”.

 

Abdoulaye Koné 

Commentaires via Facebook :

27 COMMENTAIRES

  1. Vous les internautes maliens vous faites la risée du Monde. Pour juger cette affaire et dire qui a raison ou tord. C’est la parole de l’un contre l’autre s’il n’y a pas de témoin. Je vous sollicite à parler au nom des principes et de Dieu le Père. Vous êtes des menteurs pour la plupart d’entre vous. Celui qui va chez un homme ou une femme et l’agresse quelque manière que ce soit est fautif. Que l’agression soit verbale ou physique.
    Pour ceux qui se disent instruits il y a la séparation des 3 pouvoirs qui gouvernent les démocraties. Et le quatrième pouvoir est la presse mais elle est inexistante au Mali, sans cela ces forums bidons seront réglementés et les imbéciles censurés.
    Chers amis grandissez un peu, un pays est à l’image de ses habitants, la démocratie au Mali est à votre image, la politique au Mali est à votre image.
    Un député qui agresse un homme de loi dans n’importe quel pays européen et qui puis est dans son bureau, serait jugé et inéligible !Et le peuple c’est vous.

  2. Certains juges au Mali
    Un magistrat, fonctionnaire de l’Etat malien connu pour les sales besognes, a été recruté pour créer un bureau parallèle du réseau Apem. Il s’appelle Dramane Diarra. Son beau-père en la personne du magistrat Toubaye Koné, Président du tribunal de la commune IV a été mis à contribution pour accélérer la destruction du réseau Apem, à travers trois procédures judiciaires différentes et farfelues.
    Qui ne se souvient du tribunal de la Commune IV qui a abrité un jugement extraordinaire, dans l’affaire de Kalabambougou, orchestré par le ministre de la justice, garde des sceaux. Mieux, qui ne se rappelle la grève avortée des deux syndicats de magistrats : Syndicat Autonome de la Magistrature (SAM) et Syndicat Libre de la Magistrature (SYLIMA), lors de l’arrestation de certains juges par le ministre Bathily.
    A l’époque des faits, Toubaye Koné était le président du SYLIMA. Me Bathily s’est appuyé sur lui pour faire avorter la grève contre le Gouvernement ; au détriment de ses collègues juges qui l’ont déposé par la suite de la tête du SYLIMA.
    A la suite de Toubaye Koné, il y a aussi le juge Issa Traoré, Président du SAM, qui a été recruté. Il avait aidé Toubaye Koné dans l’échec de la grève des magistrats. Il a été mis à contribution pour envoyer deux juges détruire le réseau Apem. Il s’agit de Ibrahima Berthé, magistrat, et de Cheick Mohamed Chérif Koné, magistrat, avocat général près la Cour suprême.
    Voyez-vous, le droit est enterré. On ne se soucie pas de servir. Où est la justice qui doit être dispensée au seul profit des citoyennes et des citoyens du Mali, quand les magistrats eux-mêmes usent de leur pouvoir judiciaire pour opérer des holdup ?
    C’est en partie en direction de ce type de magistrats que s’est adressé le nouveau président du SYLIMA Adama Yoro Sidibé, le 9 novembre 2014, dans son Appel des magistrats contre le ministre de la Justice. Là aussi, le président du SAM s’est précipité sur les antennes de la télévision nationale du Mali, pour désavouer le SYLIMA.
    L’article 29 du Code de procédure civile dit que si un magistrat ou un auxiliaire de justice est impliqué dans une affaire judiciaire, c’est le 1er président de la Cour d’appel qui doit être saisi pour désigner la juridiction qui va statuer sur la dite affaire. Le juge Toubaye Koné a mis cette disposition légale dans sa poche, quand bien même le bureau de Dramane Diarra est truffé de magistrats et d’un avocat. Le juge Toubaye Koné a estimé que cela ne le concerne pas, parce que bénéficiant de la haute protection du numéro 2 du Gouvernement.
    Voyez-vous des fonctionnaires de l’Etat malien, passant tous à la caisse de la République à chaque fin du mois, se transforment en animateurs de la société civile, sous l’œil condescendant du Gouvernement.
    Le Ministre de la Justice, des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux, Me Mohamed Ali Bathily a été informé, le 17 février 2014. Rien. Le premier président de la Cour d’appel, Moussa Sara Diallo, qui a résisté aux assauts de la mafia, a été relevé de ses fonctions. Les autres juges, membres de la mafia, ont eu des promotions. Au lieu de les déshabiller tout simplement, comme cela se fait dans tout Etat de droit digne de ce nom !
    Le Premier ministre, chef du gouvernement, Moussa Mara a été, lui aussi, informé le 3 juin 2014. Et puis, rien. Lui, auparavant, si prompt à répondre aux lettres à lui adressées, demeure sourd, aveugle et muet.

  3. Certains juges au Mali
    Un magistrat, fonctionnaire de l’Etat malien connu pour les sales besognes, a été recruté pour créer un bureau parallèle du réseau Apem. Il s’appelle Dramane Diarra. Son beau-père en la personne du magistrat Toubaye Koné, Président du tribunal de la commune IV a été mis à contribution pour accélérer la destruction du réseau Apem, à travers trois procédures judiciaires différentes et farfelues.
    Qui ne se souvient du tribunal de la Commune IV qui a abrité un jugement extraordinaire, dans l’affaire de Kalabambougou, orchestré par le ministre de la justice, garde des sceaux. Mieux, qui ne se rappelle la grève avortée des deux syndicats de magistrats : Syndicat Autonome de la Magistrature (SAM) et Syndicat Libre de la Magistrature (SYLIMA), lors de l’arrestation de certains juges par le ministre Bathily.
    A l’époque des faits, Toubaye Koné était le président du SYLIMA. Me Bathily s’est appuyé sur lui pour faire avorter la grève contre le Gouvernement ; au détriment de ses collègues juges qui l’ont déposé par la suite de la tête du SYLIMA.
    A la suite de Toubaye Koné, il y a aussi le juge Issa Traoré, Président du SAM, qui a été recruté. Il avait aidé Toubaye Koné dans l’échec de la grève des magistrats. Il a été mis à contribution pour envoyer deux juges détruire le réseau Apem. Il s’agit de Ibrahima Berthé, magistrat, et de Cheick Mohamed Chérif Koné, magistrat, avocat général près la Cour suprême.
    Voyez-vous, le droit est enterré. On ne se soucie pas de servir. Où est la justice qui doit être dispensée au seul profit des citoyennes et des citoyens du Mali, quand les magistrats eux-mêmes usent de leur pouvoir judiciaire pour opérer des holdup ?
    C’est en partie en direction de ce type de magistrats que s’est adressé le nouveau président du SYLIMA Adama Yoro Sidibé, le 9 novembre 2014, dans son Appel des magistrats contre le ministre de la Justice. Là aussi, le président du SAM s’est précipité sur les antennes de la télévision nationale du Mali, pour désavouer le SYLIMA.
    L’article 29 du Code de procédure civile dit que si un magistrat ou un auxiliaire de justice est impliqué dans une affaire judiciaire, c’est le 1er président de la Cour d’appel qui doit être saisi pour désigner la juridiction qui va statuer sur la dite affaire. Le juge Toubaye Koné a mis cette disposition légale dans sa poche, quand bien même le bureau de Dramane Diarra est truffé de magistrats et d’un avocat. Le juge Toubaye Koné a estimé que cela ne le concerne pas, parce que bénéficiant de la haute protection du numéro 2 du Gouvernement.
    Voyez-vous des fonctionnaires de l’Etat malien, passant tous à la caisse de la République à chaque fin du mois, se transforment en animateurs de la société civile, sous l’œil condescendant du Gouvernement.
    Le Ministre de la Justice, des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux, Me Mohamed Ali Bathily a été informé, le 17 février 2014. Rien. Le premier président de la Cour d’appel, Moussa Sara Diallo, qui a résisté aux assauts de la mafia, a été relevé de ses fonctions. Les autres juges, membres de la mafia, ont eu des promotions. Au lieu de les déshabiller tout simplement, comme cela se fait dans tout Etat de droit digne de ce nom !
    Le Premier ministre, chef du gouvernement, Moussa Mara a été, lui aussi, informé le 3 juin 2014. Et puis, rien. Lui, auparavant, si prompt à répondre aux lettres à lui adressées, demeure sourd, aveugle et muet.

  4. L’Assemblée est remplie de députés analphabetes les intellectuels sont mis de cote dans nos villes car ils sont pauvres pour être député au Mali il faut avoir de l’argent.On doit changer la lois pour être un élu avoir le niveau BAC au moins et cela va encourager les jeunes a etudier il faut que les Maliens sachent que c pas l’argent qui donnent tout.Quel avenir pour le Mali?Une assemblée remplie d’ignorants.Des legislateurs qui ne savent ni lire ni ecrire.Dans l’hemicycle ils tiennent souvent les documents a l’envers.Combien de députés savent chante l’hymne du Mali ???

    • Issa Traore’ qui a tenu des propos indignes d’un magistrat est considere’ comme un intellectuel!
      LE PEUPLE DOIT ETRE LIBRE DE CHOISIR QUI IL VEUT! S’IL FAUT LE NIVEAU BACCALAUREAT POUR ETRE UN DEPUTE’, QUE FAUT-IL AVOIR COMME NIVEAU POUR ETRE UN ELECTEUR!!!
      JE PEUX TE DONNER 100 EXEMPLES DE JEUNES DIPLOME’S DES FACULTE’S DE BAMAKO MAIS QUI NE SAVENT ABSOLUMENT RIEN!!!! TOUT EST PRIORITAIRE AU MALI!!!!

  5. L’Assemblée est remplie de députés analphabetes les intellectuels sont mis de cote dans nos villes car ils sont pauvres pour être député au Mali il faut avoir de l’argent.On doit changer la lois pour être un élu avoir le niveau BAC au moins et cela va encourager les jeunes a etudier il faut que les Maliens sachent que c pas l’argent qui donnent tout.Quel avenir pour le Mali?Une assemblée remplie d’ignorants.Des legislateurs qui ne savent ni lire ni ecrire.Dans l’hemicycle ils tiennent souvent les documents a l’envers.Combien de députés savent chante l’hymne du Mali ?

  6. L’Assemblée est remplie de députés analphabetes les intellectuels sont mis de cote dans nos villes car ils sont pauvres pour être député au Mali il faut avoir de l’argent.On doit changer la lois pour être un élu avoir le niveau BAC au moins et cela va encourager les jeunes a etudier il faut que les Maliens sachent que c pas l’argent qui donnent tout.Quel avenir pour le Mali?Une assemblée remplie d’ignorants.Des legislateurs qui ne savent ni lire ni ecrire

  7. L’Assemblée est remplie de députés analphates les intellectuels sont mis de cote dans nos villes car ils sont pauvres pour être député au Mali il faut avoir de l’argent.On doit changer la lois pour être un élu avoir le niveau BAC au moins et cela va encourager les jeunes a etudier il faut que les Maliens sachent que c pas l’argent qui donnent tout.Quel avenir pour le Mali?

  8. je viens de lire cet article . vous constatez avec moi que cet individu n as encore fini avec la gueule de bois. tu peux cadavre r qui. grande gueule avec un petit cul. tu est agresse tous les matins par tes greffières dans ton bureau mais elles ne sont pas cadavrer. occupe toi de guerrier ton sida que d insulter tes collègues avec cette sortie digne d enfants mal élevé. Ton départ de la commune te hante. triste souvenir!!!!!!
    comment les magistrats ont pu porter leur confiance sur un malfrat. il prend l argent même avec son père pour rendre son verdict. un homme malsain et impoli clochard. je viens dans ton bureau demain on verra qui va mourrir

  9. Dans cette affaire je donne raison au juge….. il a été agresse dans son bureau et cela en dehors des heures de service (delibere) par un soit disant honorable qui n’en est certainement pas un… La vulgarité a atteint un niveau insoupçonné dans mon pays… tout le monde se trouve des qualités pour faire de la politique car c’est le seul moyen de devenir riche en quelques heures, de moto BB RS a la 4×4, aux milliards et au palais.
    Depuis que des badauds ont envahi le palais, drogues par des politiciens qui voulaient a tout prix devenir President ou Premier Ministre, je me suis dit le Mali des analphabètes et des cheytanes est entrain de s’installer.
    IBK est un porte malheur il faut le dégager….. Son assemblée est irresponsable… aller en grève pour soutenir la vulgarité et la barbarie….. on est dans quel pays…….?

  10. si ces faux députés budgétivores veulent, ils n'ont qu'à rester en grève jusqu'à a fin de leur mandat, leur collègue sera puni par la loi pour flagrant délit

  11. SAM=GUILLOTINE.
    Le Mali est sans pouvoir juridique.Mais de quelles ecoles juridiques sont sortis ces magistrats ?

  12. issa toi vilain garçon sa m étonner pas vous les juges vous vous prenez pour qui le mali a appartient a nous tous force rester a la loi si c était vrai il aura moins de problème foncier des juges corrompus nulle part un députe n est arrêté comme vous venez de faire l insécurité le banditisme tout est votre faute vous les juges raison les gens commencer a se rendre justice vous étiez le mal du pays des virus Ebola un état fort c est avec une justice forte crédible tel n est pas le cas du mali

  13. nous avons connu un homme humble federateur bien eduque a la tete de cette instittution. des annees durant . le magistrat etait respecte humble. toi tu sort tes muscles contre qui? issa vas y a la cour des sages peut etre que tu apprendra.

  14. UN MAGISTRAT QUI PARLE AINSI N’EST QU’UN IDIOT!!!! AU LIEU D’ENCOURAGER LES CITOYENNES ET LES CITOYENS MALIENS A’ RESPECTER LES LOIS ET EVITER LA VIOLENCE, IL POUSSE A’ LA VIOLENCE!!!! HONTE A’ TOI FAUX MAGISTRAT ISSA TRAORE’!!!! SHAME ON YOU! TA DECLARATION ME DONNE L’ENVIE DE VOMIR!!!! CETTE DECLARATION IDIOTE NE FAIT PAS DE TOI UN HOMME BRAVE!!! ELLE NOUS DEMONTRE QUE TU NE MERITES PAS LA ROBE DE JUGE QUE TU PORTES!!!!! DIRE QUE TU ES LE PRESIDENT DES BRIGANDS QUI SE CROIENT MAGISTRATS, EXPLIQUE POURQUOI IL N’Y A AUCUNE JUSTICE AU MALI!!!! DES IDIOTS QUI CONTINUENT A’ FAIRE MARCHER NOTRE FASO SUR SA TETE!

    • Le simple fait de faire une declaration HORRIBLE de ce genre, dans un pays serieux ou le droit est dit, l’aurait interdit le port de la robe de magistrat pour l’eternite.
      En un mot on send LA HAINE.

  15. tu etais ou ? qq gassama agressait mme konte.soyons serieux toi c le bon dieu qui t agressera dans ton bureau. tu as agresse combien de personne? . un depute est elu si on devrai elire les juges tu ne seras jamais juge.

  16. C’EST BIEN GRAVE D’ENTENDRE DE TELS PROPOS VENIR DE LA BOUCHE D’UN MAGISTRAT!!!!!
    NEVER TAKE LAWS INTO YOUR OWN HANDS!!!

  17. nous osons esperer que ce bras de fer ne se mue à une querelle entre 2 pouvoirs à savoir judiciaire et legislatif et qu’une sanction pareille soit appliquée à toute personne quelle qu’elle soit qui se rendra coupable de flagrant delit et cela sur n’importe quel citoyen de ce pays. j’exhorte les magistrats à eviter de faire de cette histoire, une affaire personnelle et de tenir compte des circonstances atténuantes.Une chose est sûre, e député bardé de son echarpe nouvellement acquis,n’est pas assez fou pour s’attaquer à un juge sans que la dispute n’est atteint son point culmunant. Je mets en garde les deputés de l’hemycicle de laisser les grandes questions de la nation pour s’occuper de leur problème d’immunité, la sagesse veut que vous meniez les deux combats séparement.

Comments are closed.