Comme de nombreux secteurs culturels, le Palais de la Culture a été sévèrement touché par la pandémie de la COVID 19. Pour éviter une fermeture prolongée des installations, le syndicat et la direction avaient convenu de maintenir les emplois afin de surmonter ensemble les défis. Malgré les efforts conjoints, les conséquences économiques de la crise n’ont pas pu être entièrement résorbées, expliquant ainsi les retards des impayés qui se prolongent dans le temps.
Il ne s’agit donc nullement d’une mauvaise gestion ou d’une volonté délibérée de la direction de faire souffrir les travailleurs comme veut le faire croire une certaine opinion, non sans intention. Depuis quelque temps, une cabale anonyme s’acharne à ternir la réputation et les efforts louables du Directeur du Palais de la Culture, un homme reconnu pour son sérieux et son dévouement. Les tentatives de sabotage proviennent d’un individu dont l’identité demeure confidentielle
Mais selon toute vraisemblance, il occupe un poste clé au sein de l’administration interne depuis une décennie et donc est au parfum de la situation.
Ce personnage, tapi dans l’ombre, semble chercher à déstabiliser le Directeur en place, malgré les efforts évidents de ce dernier pour le bien-être du Palais de la Culture. L’instigateur qui bénéficie d’un statut peu mérité au sein de l’institution, semble nourrir une rancune personnelle envers le Directeur actuel. Avant l’arrivée de ce dernier, il jouissait de privilèges démesurés et s’attirait régulièrement des critiques pour sa gestion douteuse, notamment dans la gestion du salon d’accueil.
La décision du DG actuel de recentrer les responsabilités l’aurait visiblement froissé d’où son activisme à vouloir chercher désormais à semer le chaos à travers des manœuvres déloyales, notamment en exploitant la situation de crise liée à la pandémie de COVID-19 qu’il connait parfaitement. Les allégations concernant les salaires impayés des travailleurs font référence à la période difficile vécue pendant la pandémie. Comme de nombreux secteurs culturels, le Palais de la Culture a été sévèrement touché. Pour éviter une fermeture prolongée des installations, le syndicat et la direction avaient convenu de maintenir les emplois afin de surmonter ensemble les défis.
Malgré les efforts conjoints, les conséquences économiques de la crise n’ont pas pu être entièrement résorbées, expliquant ainsi les retards des impayés liés à la pandémie COVID 19. Pour faire face à cette situation, le Syndicat et la Direction avaient décidé de ne pas recourir au chômage partiel, optant plutôt pour une collaboration étroite afin de surmonter ensemble les difficultés. Malgré les efforts concertés, la situation demeure complexe, notamment en ce qui concerne la prise en charge du personnel.
Le Directeur actuel honore toujours les mensualités, mais les retards de paiement accumulés durant la crise sanitaire rendent la situation plus compliquée à régler
Fousseyni SISSOKO
Notre Voie