Pour exprimer leur ras-le-bol face à l’attitude française à Kidal, dernier bastion des rebelles du MNLA et de tout ce que le Mali compte comme groupes terroristes, des organisations de la société civile ont décidé de battre le pavé ce mercredi.
A Bamako, les organisations de la société civile n’envisagent plus aller avec le dos de la culière face à la situation confuse à Kidal. Ce statu quo est qualifié par la société civile comme un mépris vis-à-vis des Maliens et une violation des principes juridiques de l’Accord préliminaire de Ouagadougou signé entre le Mali et les groupes armés.
Selon le président de la Communauté des rastas du Mali, Me Mohamed Aly Batilly, « lors de la signature de cet accord, les groupes armés avaient pris l’engagement d’assurer le retour de l’administration et que la sécurité de la zone devait être assurée par l’armée, conformément à sa mission régalienne. Malheureusement, c’est avec une grande consternation que les populations constatent qu’aucun de ces droits n’est reconnu à l’Etat du Mali et la France est juste là en train de soutenir ces hommes sans foi ni loi. Dans une mobilisation digne d’un sentiment de révolte, nous avons le droit de dire non à la France ».
Me Batilly a aussi déploré que malgré la libération des locaux du gouvernorat et de la station de l’ORTM par les rebelles du MNLA, notre armée demeure cantonnée.
« La présence de l’administration n’est que symbolique, les populations de Kidal sont victimes de pression et de manipulation de la part des rebelles avec la bénédiction de la France et de ses alliés. Cette attitude est ambigüe. Et nous ne pouvons pas être des spectateurs », a-t-il fulminé. Avant de dire qu’ils vont battre le pavé, à travers une manifestation pacifique ce mercredi 27 novembre 2013. La marche partira de la place de la Liberté, avenue Mamadou Konaté, Place OMVS, pour terminer à la place de l’Indépendance.
Nabila Ibrahim Sogoba
sortez et marchez tout le monde
Bravo pour l’initiative. L’Etat français ne recule que devant une opposition de la société. Je dis bien l’Etat français, à ne pas confondre avec le peuple français. Tous les maliens sont maintenant conscients du mépris des autorités française pour le Mali. Elles ne voient que les intérêts illusoires qu’elle peuvent tirer d’une scission du Mali.
La population malienne doit aider ses hommes politiques par des initiatives comme la vôtre afin que les autorités hexagonales comprennent qu’elles ont face elles non pas seulement les hommes politiques maliens mais tout un peuple.
L’Etat français roule pour le MNLA actuel comme il a toujours roulé pour les velléités indépendantistes de ramassis de voyous depuis 1963. Le grand danger pour le Mali cette fois, c’est que même les Nations Unies sont à la remorque de la France. Ce sont les français qui orientent les décisions de la MINUSMA. Et ces voyous ne sont pas des touareg, ce sont des pieds nickelés comme il y en a dans toutes les communautés.
enfin les vrais maliens se réveillent; politique étrangère ou pas il ne peut avoir un état dans un état. La France ne peut pas nous ligoter et nous offrir gratuitement à ces bandits violeurs voleurs assassins terroristes toxico mens pédophiles pédés…….de kidal…….
Leur organisation doit être dissoute et bannie à jamais au Mali.
Le mot M QUOI ENCORE……. NE DOIT PLUS JAMAIS être prononcé sur le sol malien.
Maliennes, Maliens RDV tous à la place de la liberté demain pour crier notre indignation à la face du monde.
VIVE LE MALI VIVE LE MALI VIVE LE MALI VIVE LE MALI
A BAS LES ENNEMIS DU MALI, A BAS LE M…. ET SES ALLIES , A BAS LES ENNEMIS DU MALI LIBRE ET PROSPÈRE.
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