Si réellement la carte NINA peut servir de document d’identification, le ministère de l’administration territoriale doit revoir sa copie.
Depuis 2010, le RAVEC a permis aux maliens d’avoir la carte NINA pour voter.
Bien qu’elle devait servir de carte d’identité, elle a été mise au second plan avant la récente décision du ministre de la sécurité intérieure, Col-Major Salif Traoré.
Pourtant, la carte NINA ne contient pas les identifications précises comme la rue et porte du détenteur. Plus loin, les professions de beaucoup ont changé avec le temps. Ce qui revient à dire que pas mal d’informations caduques constituent la carte NINA. Et c’est pourtant ce qui sera validé à plusieurs niveaux. Au plan local, on ne mesure pas l’ampleur mais les ambassades ne tarderont pas à déchanter.
L’administration territoriale se doit cependant d’effectuer une campagne globale de recensement afin de corriger les erreurs contenues dans le fichier d’état civil national. Cela permettrait d’atténuer les conséquences de ce qui finira par conduire à la confusion.
Idrissa Keïta
c’est quel français …?
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