Après le naufrage d’une embarcation clandestine avec à son bord plusieurs dizaines de nos compatriotes, l’Association malienne des expulsés (AME) a organisé samedi dernier une conférence de presse pour attirer l’attention des autorités sur l’importance de l’élaboration d’une politique migratoire.
Etayer la situation générale des migrations des Maliens, aborder le cadre juridique qui protège les acteurs de la mobilité humaine et proposer des réponses politiques pour une meilleure maîtrise des enjeux sur les migrations, tels sont les sujets qui ont été abordés au cours de cette conférence de presse organisée par l’AME et ses partenaires de l’association malienne des droits de l’homme (AMDH) et de l’espace migrations et développement de la région de Kayes (EMDK).
Pour les conférenciers, l’élaboration et l’adoption d’un cadre réglementaire qui protège les migrants vont contribuer à protéger les Maliens au-delà des frontières ouest-africaines.
A l’entame de ses propos, Alhassane Dicko de l’AME a fustigé le mode de gouvernance des pays africains qui ne disposent pas de politiques en termes de mobilités humaine et de protection de leurs citoyens à l’étranger. Pour le conférencier, l’absence de cette politique, la corruption et le chômage endémique dans les villes et campagnes mettent les jeunes sur le chemin de la migration au péril de leur vie. Au cours de cette conférence, il a révélé que ce sont 87 Maliens qui ont perdu la vie lors du récent naufrage en Libye.
Face à cette situation, le conférencier a déclaré qu’il est urgent pour le pouvoir public malien d’achever le processus d’élaboration de la politique migratoire. Il y va, déclare Elbéchir Sangaré, de sauvegarder les vies des Maliens qui apportent à leur pays plus que l’aide publique au développement.
Pour le représentant d’Amensty Mali, le traitement inhumain dont sont victimes les migrants dans les pays de transit et dans les pays d’accueil constitue des violations et des atteintes aux droits de l’homme.
Les différents intervenants au cours de cette rencontre ont souligné la nécessité de poser des actions de développement dans les régions afin que les jeunes ne soient pas attirés par le projet de migration.
Adama DAO
IL FAUT ORGANISER DES MARCHES DE PROTESTATION ET EXIGER DU GOUVERNEMENT MALIEN, DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE DU MALI TROIS JOURS DE DEUIL NATIONAL.
Est-ce que drame emeut les autorites Maliennes ?
Non il n’y a pas de blancs, surtout de francaise, parmi les victims. donc ils en ont rien a foutre!!!
Sinon ils pouvaient envoyer ne serait-ce que le minister des transports ou de la cooperation…
L’afrique francofolle est maudite!!!
Paix a leurs armes!Paix a leurs armes! pauvrete en afrique ses tristes
pourquoi l’union africaine peut pas créée une monnaie forte rivalisant l’euro pour que eux viennent en Afrique pour travailler.et si les cadres africains gardaient toujours le CFA dans le soucis de chercher des ristournes que peut générer les fonds africain dans la banque française par an .si 100 f cfa dans une banque africaine peut produire au minimum 5 f cfa par an , combien de milliards les cadres africain peuvent-ils récolter auprès du trésors français par an ,car hébergeant des millions de milliards de la zone franc de l’ouest et du centre D’AFRIQUE ? PAIX A LEUR ÂMES.
Le Franc des Colonies Francaises d’Afrique consernent d’abord les pays francofous, les pays sous domination francaise…
En restant dans cette domination francaise: politique, culturelle, economique et militaire… Ils n’yront nul part… Et la france continuera a phagocyter leurs richesses!!!
Paix a leurs armes!
Il est ou tienkoloden drame… le negre qui ne pleure la mort des blancs…
Et ibk, pourquoi il ne va pas sur place?
Les negres se prennent eux-meme pour de la mer-de
IL PRÉFERE PARTIR EN FRANCE POUR FETER AVEC HOLLANDE.
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