Les images de l’arrivée de S.E.M Ibrahim Boubacar KEÏTA ce lundi matin à Kayes

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L'image de l'arrivée du Président de la République, Chef de l'Etat S.E.M Ibrahim Boubacar KEÏTA ce lundi matin à Kayes

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3 COMMENTAIRES

  1. Quand le banal devient l’extraordinaire, cela devient pathétique. Il faut attendre l’arrivée d’un Bouffon avec toute sa cour pour pouvoir bénéficier du strict minimum.

  2. 1- Evidemment on a raison, quand on fait sortir les images, puisqu’ elles y sont! Sauf qu’elles sont dans un contexte qui n’analyse rien et au-delà. Donc on ne pourra en aucun cas se contenter de la seule image, pour la simple raison qu’elle peut paraître violente dans son propre contexte. Consternant non…!

    2- Au delà donc de ce que l’on peut appeler les chroniques d’un président digne du règne d’un NICOLAS 1er, cette argumentation par l'”image” devient un mélange d’humour et de colère, d’ironie et de cynisme! Si on veut vraiment faire de l’humour et de l’ironie dans la grande tradition voltairienne, il semble que l’on peut effectivement prendre cet angle-là et aborder la question présidentielle au Mali, en faisant le pari sur quelques caisses de champagnes, sans être sûr de se les voir offrir au cas où, qu’à cette allure, si rien n’est fait, que le résultat, il était bien connu en 2018. On ne connait pas le nom, mais on sait que ce sera quelqu’un, qui viendra défendre la version suzéraine de la pauvreté Malienne…!

    3- Voilà, pour aller donc a la rencontre de ce “Notre Bien-Aimé Monarque”, “Son Efficace Majesté”, “Notre Bouillant leader”, ” Notre Stupéfiant Souverain “, “Notre Prince”, “Notre Maître”, de Patrick RAMBEAU dans ses chroniques sur M Sarkozy, il faut remonter très en amont pour M IBK, justement avec colère et cynisme engendrés par des monstrueux scandales financiers (frélatés, boeing) et promesses creuses (migration, transports…) qui seront plus tard à ranger dans les “offs” d’un président…!

    4- Si dans un contexte historique les Kayesiens en particuliers pouvaient simplement dire: “Détruisez ce temple, pour qu’il soit rebâtit en trois jours”, Jean 2:19, à l’image de J-C dans l’Evangile, dans un présent immédiat ils ne peuvent se contenter que de la seule colère, parce que simplement impuissants comme les autres Maliens dans cette lutte des classes, dans laquelle, ceux qui ont intérêt à dire qu’il n’y a pas de lutte de classes, sont évidemment qui font partis de la classe dominante et qui ont envie d’écraser toujours la classe impuissante et dominée…

    5- Il paraît évident aujourd’hui qu’au delà de tous ces symboles, c’est à dire l’image, les jours et la reconstruction, ce qui reste et constitue le point commun dans cette histoire, ce sont des jeunes sans boulots, les précaires, tous ces gens qui sont obligés de faire de petits boulots, ces filles à qui il y a du travaille aujourd’hui et zéro demain, ou de ces nombreux écoliers innoncents qu’illettrés à qui on aura enseigné que le jour du Sabba est aussi un lundi pour aller accueillir le suzérain incarné en “Summum bonum” !

    • Cette chronique-fait du jour de l’excellent chroniqueur Mossad, qui pourrait la “vendre” à quelques DirPub des Feuilles de Choux gras constipés de la tronche, est, on ne peut plus, poignante en ce que, le Think Tank Mossad dépanne, en analyse factuelle, Maliweb qui fait sa UNE par l’image de IBKRATIE-IMPERIAL-IBÖKASSATE en visite dans la capitale du Rail, atterrissant, par Force-Oine Mandé-Mansa raté, à l’aéroport Dag-Dag (“cassé-cassé”, en hassaniya des Hartanes de Kayes N’di, la rive droite du fleuve Sénégal.

      Sincèrement

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