Magistrats ; syndicats de l’enseignement fondamental et secondaire ; syndicat de la santé ; les gros porteurs… Le régime IBK affronte la grogne sociale depuis un moment. Les secteurs concernés par ces grèves en cascade, ils dénoncent l’insouciance du régime quant aux conditions de vie et de travail d’une catégorie de maliens. Le gouvernement promet et refuse de s’exécuter.
Cette politique de l’autruche, tous les segments du Mali le sentent. Les grèves plongent le Mali dans une paralysie totale. Ce qui est déplorable dans le comportement du régime, c’est qu’il n’anticipe jamais les situations. Des préavis sont déposés, ils les négligent et attendent de voir les conséquences se manifester sur le terrain afin d’engager des négociations. Les grèves finissent, mais les dégâts sont toujours énormes.
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