Depuis le lundi 27 août 2018 à minuit, les deux syndicats de la magistrature au Mali (le Syndicat autonome de la magistrature (SAM) et le Syndicat libre de la magistrature (SYLIMA)) sont en grève illimitée sur toute l’étendue du territoire nationale pour la sécurité physique et économique. Et cette grève ne va pas sans conséquence sur les droits des citoyens avec le dépassement du délai de la garde à vue occasionnant des détentions illégales. Prenant conscience de cet état de fait, le président de l’Assemblée nationale du Mali, l’honorable Issaka Sidibé a invité solennellement le Gouvernement et les syndicats concernés à trouver rapidement les compromis nécessaires pour une reprise totale et diligente du travail dans le secteur judicaire. C’était au cours de la cérémonie d’ouverture de la session ordinaire d’octobre 2018 tenue hier lundi 1er octobre 2018 dans la salle Modibo Keïta de la représentation nationale.
«Sur le front social, nous assistons depuis plusieurs semaines à une certaine paralysie au sein de la magistrature, situation qui serait consécutive à des doléances syndicales non satisfaites. Les grèves occasionnées par ces revendications corporatistes, comme vous l’avez constaté, ont lourdement affecté le fonctionnement normal de la justice et continuent d’altérer au quotidien les droits des justiciables et des usagers des services judiciaires. Pour cette raison et conformément aux prérogatives que me confère l’article 89 du Règlement Intérieur, j’ai chargé le Président de la Commission des Lois d’une mission de renseignements auprès des protagonistes, devant permettre de renouer le dialogue momentanément interrompu entre les partie », c’est ce qu’à déclaré le président de l’Assemblée nationale, l’honorable Issaka Sidibé lors de la rentrée parlementaire d’octobre 2018.
Avant d’ajouter que le rapport qui sera établi à la suite de ces auditions sera transmis au Chef du Gouvernement à toutes fins utiles. « Sans préjuger de la légalité ou de la légitimité des prétentions des magistrats, la représentation nationale invite solennellement le Gouvernement et les syndicats concernés à trouver rapidement les compromis nécessaires pour une reprise totale et diligente du travail dans le secteur judicaire », a-t-il dit. Et de poursuivre en disant ceci : « Etant moi-même un ancien du monde syndical, je peux vous affirmer que ce milieu reste très sensible et plein de susceptibilités. Malgré tout, je demande aux organisations syndicales de notre pays, de privilégier réellement les cadres de négociations, étant donné que l’Etat travaille au quotidien pour l’amélioration des conditions de vie de l’ensemble des maliens, ce, malgré ses ressources limitées. Je me dois pourtant de préciser que cela ne saurait en aucun cas dédouaner le Gouvernement que j’encourage à être davantage proactif avec les partenaires sociaux pour éviter des désagréments à nos populations ».
On se rappelle que le président de la Commission des Lois Constitutionnelles, de la Législation, de la Justice, des Droits de l’Homme et des Institutions de la République de l’Assemblée nationale du Mali, l’honorable Zoumana N’Tji Doumbia a rencontrée le vendredi 14 septembre 2018 les syndicalistes de la magistrature dans l’enceinte de l’hémicycle dans un premier temps puis dans un second temps les responsables de la police et de la gendarmerie nationale. Aux dires l’honorable Me Zoumana N’Tji Doumbia, les magistrats ont deux points de revendication : le premier point concerne la sécurisation des juridictions et des personnels judiciaires, le second point concerne la relecture de leur statut avec la revalorisation de la grille salariale.
« Nous avons constaté qu’il ya un blocage entre les deux pouvoirs : le pouvoir exécutif et le pouvoir judiciaire. Le point de blocage nous a dit le syndicat, c’est surtout au niveau de la grille salariale. Le syndicat pense que le gouvernement avait pris des engagements et le gouvernement doit être à mesure de les honorer. Dans notre programmation, nous allons écouter le gouvernement », a déclaré le président de la commission loi de l’Assemblée nationale. Avant de mettre l’accent sur les conséquences de cette grève sur les droits des citoyens. « Le constat est amer, normalement dans le code de procédure pénale, la garde à vue est de 48 heures prorogeable à 72 heures mais nous avons vu des longues détentions de garde à vue qui viole allègrement les droits des citoyens », a souligné Me Zoumana N’Tji Doumbia.
Aguibou Sogodogo
LE gouvernement doit jeter tous les magistrats corrompus dans le corbeille .
J’igonre qui vaut mieux que qui dans cette histoire…………………. Entre des députés pourris jusqu’aux os…………………. Des juges corrompus jusqu’aux os……………………….. Un gouvernement incapable jusqu’aux os……………………….. !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Nous disons et rappelons la vérité fait mal aux malhonnêtes et les met hors d’eux mais apaise et ou rend heureux les honnêtes
1)Nous disons et rappelons tout le monde sait avec un brin d’honnêteté mêmes les tarés idiots de naissance et ceux et celles qui refusent de connaitre la vérité d’une chose d’une situation pour des raisons primaires primitives égoïstes partisanes
*UN SECRET C’EST UNE INFORMATION C’EST UNE DÉCLARATION C’EST UN RENSEIGNEMENT C’EST UN DÉLIT UN TÉMOIGNAGE C’EST UN ACTE C’EST UN AGISSEMENT C’EST UNE PRATIQUE C’EST UNE MANIGANCE C’EST UN FAIT etc QUE L’ON TAIT QUE L’ON GARDE POUR SOI
*ET LE SECRET PROFESSIONNEL C’EST CELUI QUE DOIVENT OBSERVER DES PROFESSIONELS ET PROFESSIONNELLES DANS LE CADRE DE LEUR PROFESSION DE LEUR MÉTIER
TELS LES MAGISTRATS LES AVOCATS LES MÉDECINS LES CHIRURGIENS LES ROIS LES CHEFS RELIGIEUX LES CHEFS DE VILLAGES LES CHEFS DE QUARTIERS LES PRÉFETS LES SOUS-PRÉFETS LES MAIRES LES SAGES-FEMMES etc
2)Nous disons et rappelons tout le monde sait avec un brin d’honnêteté mêmes les tarés idiots de naissance et ceux et celles qui refusent de connaitre la vérité d’une chose d’une situation pour des raisons primaires primitives égoïstes partisanes
*IL PEUT ARRIVER POUR CERTAINES RAISONS OU POUR CERTAINES CIRCONSTANCES QUE CES DIFFÉRENTS PROFESSIONNELS RÉVÈLENT CE SECRET
*AINSI SI UN GOUVERNEMENT CORROMPU POURRI RIPOU VÉREUX QUI VEUT TRAITER SES MAGISTRATS DE POURRIS DE RIPOUS
*CES DERNIERS ONT LE DEVOIR DE PUBLIER TOUS LES DOSSIERS SALES DE TOUS LES MEMBRES CE GOUVERNEMENT
ET DE TOUTES LES PERSONNES QUI SOUTIENNENT CE GOUVERNEMENT CORROMPU POURRI RIPOU VÉREUX
*MÊMES FUSSENT-ILS DES RELIGIEUX DES HOMMES EN ARMES DES DÉPUTÉS DES PRÉFETS DES SOUS-PRÉFETS DES MAIRES DES SOCIÉTÉS CIVILES etc
*EN SOMME ILS DOIVENT FAIRE LE GRAND DÉBALLAGE
AUX FINS QUE LE PEUPLE SACHE LA VÉRITÉ SUR TOUS LES CORROMPUS DU MALI
*ILS NE DOIVENT EN AUCUN CAS SE LAISSER DISSUADER SE LAISSER DISTRAIRE PAR QUI SE SOIT
*IL FAUT LEUR APPLIQUER LA LOI DU TALION
AINSI ILS VOUS ONT TRAITÉ DE POURRIS DE CORROMPUS VOUS DEVEZ AUSSI LES TRAITER DE POURRIS DE CORROMPUS AVEC TOUTES LES PREUVES AVEC TOUTES LES PIÈCES Á CONVICTION
*SINON QUOI VOUS SEREZ VUS COMME LES SEULS POURRIS CORROMPUS AU MALI ET CELA NE FERA PAS HONNEUR Á VOS ENFANTS Á VOS FAMILLES RESPECTIFS
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