Les astuces utilisés par les coépouses dans un foyer polygamique restent un véritable puits de mystères pour la gente masculine. Plein d’ingéniosité, certaines femmes n’hésitent pas à provoquer l’asthénie sexuelle chez le mari à fin de le garder pour soi.
L’Afrique et ses mystères, les pratiques fétichistes et ses réalités auront toujours cette difficulté de se frayer un chemin dans un esprit cartésien. Pourtant le hic demeure dans certaines de faits réels dans notre quotidien qui semblent ne pas répondre à la logique. Force serait de croire à un certain pouvoir mystique lorsqu’on est confronté à des témoignages qui ne correspondent guerre à un esprit scientifique et rationnel. La polygamie est une pratique presque anodine dans notre société, coutume et religion y autorisent les hommes. Pourtant rares sont les femmes qui acceptent facilement que leur mari leur ramène une « petite sœur ». Désormais pour décourager leur mari à jouir d’un second mariage, des femmes choisissent de provoquer chez ce dernier une asthénie sexuelle. Plus connue sous de le nom vulgaire d’impuissance sexuelle ou faiblesse sexuelle, l’asthénie sexuelle provoque chez l’homme une diminution de ses forces viriles ou des difficultés totale ou partielles pour lui de conclure une relation sexuelle. Parmi les éléments d’épanouissement d’un couple, l’accomplissement du devoir conjugal, constitue un élément non négligeable et c’est conscient de ce fait que des femmes optent de plus en plus de s’octroyer ce privilège pour « chasser » leur rivale du foyer conjugale. « Je suis désorientée depuis notre nuit de noce, mon mari a eu des difficultés à consommer notre mariage et cela perdure, » larmoya Sita, une jeune mariée à sa marraine. Comme Sita, (des pseudonymes pour respecter l’anonymat de nos sources), Minata a rencontré les mêmes problèmes à son début de mariage « Mon époux avait des difficultés pour accomplir son devoir conjugal et c’était seulement avec moi qu’il avait ce problème. Mais lorsque c’était le tour de ma coépouse il ne rencontrait aucune peine pour bien fonctionner », témoigne –t- elle avec un sourire. Minata avait trouvé la solution à un problème qui avait failli lui coûter son mariage. Selon la jeune femme, son mari a beau sillonné les différentes contrées du pays, se laver avec différentes décoctions, consommer différentes décoctions et consulter différentes médecins de la place, il n’avait pas pu trouver une solution à son problème. Pour résoudre son problème, l’époux de Minata qui avait menacé sa 1ère femme de divorce sans avoir gain de cause, s’était finalement résolu à l’amadouer pour conjurer ce mauvais sort. Et pour le faire Monsieur X, l’époux de Minata, simulait la même difficulté qu’il rencontrait chez sa deuxième femme, c’est-à-dire son asthénie sexuelle. La 1ère épouse lasse des échecs multiples rencontrés par son mari pour accomplir son devoir, lui fît, un jour en pleurs, des confidences embarrassantes « Pardonnes-moi, tout ça c’est de ma faute, c’est moi qui est provoqué ce problème par jalousie et cela se retourne contre moi », pleura la 1ère épouse de X, en lui montrant une tige de mil ficeler par des fils rouges et noirs munie de cauris qu’elle retira de sous son oreiller. Cette histoire rocambolesque rencontrée par Minata, est corroboré par cet autre témoignage de Y qui avoue d’avoir utilisé des pratiques fétichistes pour empêcher son mari de lui être infidèle. Illusion ou réalité, les mystères des pratiques de chez nous et les tours d’imaginations utilisés par les femmes sous l’impulsion de la jalousie, demeurent encore très perplexes pour le cartésien.
Khadydiatou Sanogo
Avec le Viagra, ça marche.
Au poubelle ces fétiches. Et puis pour une musulmane, ce syncrétisme est synonyme de sortie delà religion musulmane.
Mariétou toi tu sembles bien connaitre dès!Moi je t’assure que ça doit marcher même sans le Viagra…si la partenaire est celle qu’on désire.Du coup moi je ne crois pas au “koulouchi dialla la gossi” tel que raconté par fassiri-khady.
Bien dit Dalailama.
Mme Sanogo si par ethique vous avez donnez des pseudonymes aux intervenants, sur la photo on peut facilement decouvrir ou bien attribuer les roles aux femmes y presentent. Si je veux je dirai Sitan a gauche, sa marraine est debout et Minata a droite. Derriere il y a les deux curieuses. Loooooooool
dalailama tu es un saint deh donc il faut pas mentir deh…celle qui est a gauche s,appelle karidjatou sanogo. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
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