«. De la naissance à sa la mort, en temps de paix comme en tant de guerre, les femmes sont confrontées à la discrimination et à la violence de la part des Etats, de la communauté et de la famille ». C’est par ce constat sans appel que Mme Sitan Diakité, coordinatrice du Réseau des femmes d’Amnesty International Mali, a introduit ses produits lors de la 2ème édition du Forum annuel du Réseau des femmes.
A l’exception des déléguées de Gao, Tombouctou et Kidal, toutes les déléguées du Réseau des femmes d’Amnesty International Mali, se sont regroupées à Bamako, le 28 décembre 2013. Dans le cadre de leur forum annuel, elles devaient élaborer un plan d’action genre pour la prise en charge efficace de cette problématique et une stratégie mobilisatrice pour la croissance en membres, en partenaires et en activités. Après avoir égrené la longue liste des activités déjà réalisées, en faveur des femmes, à travers le pays, Mme Sitan Diakité, a estimé que le Réseau des femmes traine des faiblesses. Selon elle, le forum est le lieu indiqué pour des propositions concrètes pour la gestion de ces faiblesses. Elle s’est aussi prononcée sur plusieurs faits qu’elle considère comme des actes de discrimination à l’égard des femmes dans notre pays : difficulté pour les femmes et les filles de prendre librement des décisions concernant leur sexualité, des filles n’ont pas accès à l’éducation sexuelle, des femmes se voient interdire l’utilisation des moyens contraceptifs sans l’autorisation de leur mari, les femmes sont souvent mariées contre leur volonté…
Face à autant de violations, elle dira que depuis des années, Amnesty International s’est mobilisé pour faire avancer les droits des femmes dans tous les domaines de leur vie. Concrètement, elle dira qu’en 2013, Amnesty international a lancé sa campagne « Mon corps, mes droits », afin de défendre les droits sexuels et reproductifs de chacune et de chacun. Mais, convaincue que ce combat n’ira nulle part sans la mobilisation des femmes, premières victimes, Mme Sitan Diakité, a invité les femmes maliennes à la mobilisation. En sa qualité de Directeur exécutif d’Amnesty International, Saloum Traoré, a rappelé que sa structure engagée dans la promotion du genre, se veut pionnière dans ce domaine en Afrique. Selon lui, après avoir fait d’une femme vice-présidente d’Amnesty Mali, la structure vient de designer une femme à sa tête depuis des mois. Il a exhorté les femmes maliennes à ne pas baisser les bras et à se battre pour occuper les places qui sont les leurs.
Assane Koné
les violences contre les femmes sont dictées et mis en oeuvres par des femmes le plus souvant plus que par les hommes, je m’explique: dans les familles polygammes les coépouses se rendent la vie infenale, en politique ce sont encore des femmes qui écrasent les autres femmes, sur le lieux de travail idem, sur les lieux de conflit les causes sont multiples mais si on fait un état des lieux là encore les femmes sont des instigatrices…..
La CPI s’en fout des crimes de guerre… en particulier elle s’en fout des militaires egorges d’aghelhoc.
Ce qui l’interesse avec ses createurs se sont les presidents africains et les 6 touareg de Tombouctou.
IBK semble bien leur donner raison car il n’a jamais et alors la vraiment jamais mentionne ce grave crime de guerre.
Il s’est attaque a Sanogo par peur pour son pouvoir connaissant le degre de nuisance de ce soulard et maintenant il s’attaque a ATT pour anestheiser la conscience populaire.
Les deux actes sont comprehensibles mais ce que nous voulons c’est aussi sa dignite de ‘President’ et la notre a Kidal.
Et dire, de surcroit après trois mois, ce president n’est pas alle rendre visite aux populations terrorisees de Gao, Tombouctou et Kidal… Franchement c’est quel cynique president…. non c’est revoltant.
Il se permet de pleurer a Bamako pour le meutre certes regrettable et cruel de deux journalistes en quete de publicite pour le MNLA…
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