Dure réalité : les vaches ont trépassé, à cause de la « famine » généralisée… C’est là une image qui reflète le marasme actuel d’un Mali au fond du gouffre économique, financier et sécuritaire. C’est dire combien le quotidien des Maliens est difficile, voire infernal. Partout, la pauvreté, la misère et la souffrance (physique et morale) deviennent les choses les mieux partagées dans le pays.
En effet, l’effet continu de la crise sécuritaire et politique (instaurée depuis le coup d’Etat de la bande à Sanogo) et la mauvaise gouvernance (devenue la règle sous IBK) ont contribué à précipiter le Mali dans une situation économique désastreuse. Les populations souffrent le martyr.
En effet, combien de chefs de famille arrivent aujourd’hui à subvenir aux besoins élémentaires de leurs familles ? Combien de mères ont la possibilité d’offrir un simple cachet de paracétamol à leurs enfants? Et ces nombreux travailleurs qui, faute de salaire décent, sont dans l’obligation (humiliante) de quémander à travers la ville ?
Sous IBK, le Mali va mal ! Et les Maliens souffrent comme jamais ils n’ont souffert. Au même moment, des pratiques maffieuses sont savamment entretenues par une poignée d’hommes, qui excellent dans le pillage des ressources du pays. Ainsi, des sociétés écrans sont créées à tour de bras. L’argent public, détourné à coup de surfacturation, est planqué dans des paradis fiscaux à l’étranger. Dans leur folie, ces «nouveaux riches» de la République narguent les pauvres populations ; partagées entre la résignation, la fatalité et la révolte contenue. Pendant ce temps, la maffia corso-malienne se livre à un festival. Pour combien de temps encore ?
C.H. Sylla
Traitre
Toujours les mêmes choses !
Les amis du journal l’AUBE, ayez s’il vous plait un peu de dignité. Soyez des patriotes convaincus, et renoncez à la médisance et à la méchanceté. Notre pays n’a pas besoin de cela. Tous les jours il faut qu’on nous rabâche les oreilles par des propos insultants et dénigrants pour notre pays et ses institutions. « Les partenaires exigent ceci, les partenaires exigent cela ». Attendez nous ne sommes pas un pays sous tutelle de ces soit disant partenaires. Nous sommes souverains et indépendants. Vous parlez de société ECRAN crées à tour de bras, un vrai journaliste apporte la preuve de ce qu’il dit. Vous êtes là à nous fatiguer par les mêmes redites. Ecoutez qu’est ce qui ne se faisait pas sous le règne apocalyptique de votre mentor d’ATT. CES enfants faisaient nommer et relever jusqu’au niveau de la haute sphère de l’Etat. Maboh l’une des premières filles de Président milliardaire à 25 ans. Elle l’a ni hérité de son père encore moins de sa mère. Où est qu’elle a eu cet argent? Pensez vous que c’est ainsi qu’on aide un pays à sortir d’une crise ou la demande sociale est trop grande ?????.Cheickna Hamalla Sylla réfléchis mille et une fois avant de nous sortir tes inepties. Je sais que vous et vos semblables sont nostalgiques des « enveloppes présidentielles » d’alors, c’est pour cette raison que écrivez des histoires faméliques. On ne va jamais vous donner de l’argent pour ne pas dire ce que vous pensez. Vous pouvez continuer à écrire ce que vous voudrez, cela ne nous dérange guère parce que vous êtes en mal d’inspiration. Le Chien aboie, la caravane passe………………….
Ibk lache Traitre
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