On ne cessera jamais d’en parler. Le sujet est tabou sous nos cieux et mérite une attention particulière en ce 21e siècle. L’éducateur qui est censé mettre l’élève sur un avenir s’en empare pour des aventures amoureuses.
Combien sont-ils à mettre l’avenir des apprenantes en péril ? Le sexe ouvre ainsi la porte à tous les déboires entre l’éducateur et l’enseignée qui se séparent souvent en queue de poisson. Dans ces aventures ambigües, combien de jeunes filles élèves n’ont pas perdu le chemin de l’école après avoir contracté des grossesses non désirées ? Le phénomène prend de l’ampleur au sein de nos lycées et collèges de la place et ce sont les portes ouvertes aux différentes relations entre enseignant et enseignée. Elles naissent des plus simples familiarités et éclosent avec des rapports les plus intimes qui conduisent souvent l’enseignant à prendre son apprenante comme épouse. Drôle de manière qui ternit souvent l’éducation en compromettant l’avenir de nombre de jeunes élèves en proie à tous les harcèlements sexuels. Selon les spécialistes en la matière, aller à l’école, c’est avant tout se préparer pour la vie. L’éducateur, véritable guide, a dans ce cas des rôles à jouer. Contrôler et mettre l’apprenante au parfum de la réalité pour un lendemain meilleur. La surveillance et l’éducation, pédagogiquement, doivent donc aller de pair dans un ensemble d’homogénéité où l’apprenante est appelée à côtoyer chaque fois l’enseignant. Dans cette franche familiarité, l’enseignant quelque fois abuse de son pouvoir d’enseignant, d’éveilleur de conscience. Salut les mésaventures qu’on observe çà et là dans le monde scolaire voire universitaire où l’élève devient la proie, la cible à abattre de l’enseignant. Dans les coulisses, l’enseignant mitonne des plans démoniaques pour qu’une de ses élèves par exemple puisse rentrer dans sa gibecière. Comment éviter tout le temps son désir face aux fortes poitrines de ces séduisantes donzelles qui démangent du regard ? Il faut s’accaparer pour combler son désir à tout prix. Agréable mission à accomplir, n’est-ce pas ? « Educateurs coureurs de jupons ». Des enseignants pour la plupart du temps cajolent sur leurs genoux leurs élèves. Et les élèves filles qui s’y adonnent le font pour des raisons diverses. Il faut se mettre à la disposition de l’éducateur pour avoir les meilleures notes sans un effort et pour gagner le pactole de l’année. La deuxième raison est plus délicate de nos jours où les élèves filles préfèrent aller avec leur professeur par simple curiosité. Et la mentalité de la plupart de ces jeunes filles élèves est conçue de telle façon que plus rien ne peut émousser leur ardeur à « adoucir » un enseignant aux mœurs difficiles. Il est temps que nos autorités prennent des dispositions pour éviter cette dérive totalitaire.
Destin GNIMADI