La nouvelle vedette des milieux politiques maliens, vous connaissez ? Sans complaisance, le point 10 sur 10 est accordé à ceux qui ont deviné Karim Kéita, le “fiston national” qui ne se connaitrait plus de limite depuis que Papa est Président de la République. Il y a vraiment de quoi faire perdre la tête à quelqu’un qui va de l’anonymat pour se retrouver député, puis président de la Commission Défense de l’Assemblée Nationale, alors que le beau- Père préside la même Institution, et Papa IBK est à Koulouba. Mais de là à imaginer que Karim pouvait pousser l’audace au point de vouloir s’immiscer dans une affaire aux mains de la justice, c’est vraiment vouloir porter atteinte à la crédibilité du Président de la République.
En effet, dans le milieu proche du dossier des militaires disparus, l’honorable Karim Kéita aurait tenté de faire libérer le Général Yamoussa Camara. Il n’en fallait pas plus pour que le “fiston national” ait droit à son quart d’heure de grondement, avant d’être mis dans ses petits souliers par qui de droit. Et depuis, le puissant président de la Commission Défense de l’Assemblée aurait mis un peu d’eau dans son vin. Un mauvais vin à lui servi par des opportunistes et autres manipulateurs tapis dans l’ombre.
Pour une première, l’homme aura certainement tiré des enseignements. Le Président IBK ne se défait pas de son chef d’état-major particulier pour rien.
Le général Amadou Haya Sanogo à Sélingué
Le transfèrement ajourné ?
C’est ce que croient savoir certains confrères. Et le motif de cet ajournement du transfert du prisonnier le plus célèbre du Mali, à savoir le Général Amadou Haya Sanogo, ex-chef de la junte militaire de Kati, serait un malaise ressenti par ce dernier à l’heure du départ pour Sélingué.
Si un malaise peut empêcher le transfert d’un simple prisonnier de droit commun, à fortiori celui d’un Général quatre étoiles, il n’y a aucune raison de tomber dans des suppositions. Au point d’affirmer que la destination aurait pu être les geôles de la Cpi et non Sélingué.
Le transfert d’un homme à la trempe de Sanogo à la Cpi ne se fait pas dans la clandestinité. Sans oublier que le processus de transfert à la Cpi requiert des préalables, dont le plus élémentaire serait que le Procureur de cette auguste Cour en fasse une demande officielle aux autorités de Bamako. Tel n’est pas encore le cas, pour ce qui concerne Amadou Haya Sanogo.
Rassemblés par Assane SY DOLO
Vive URD, vive Soumaila CISSE, vive le peuple malien
A voir son visage comme il brille, je suis sûr qu’il a commencé le gâteau en cachette avant que Papa ne donne son Go 😀 . Il a la gueule d’un gourmand et a bouffé et picolé sans arrêt durant l’hivernage de Papa… on comprend pourquoi la distribution des parts ne s’ est pas élargie en dehors de la family. Eh oui 😛 parce que le fiston a tout bouffé avec Mamie.
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