La Commission nationale des droits de l’Homme (Cndh) a présenté le rapport annuel 2011 sur la situation des droits de l’Homme au Mali et le rapport circonstancié sur les évènements de 2012.
Entourée du 1er vice président, Amadou Bocar Tékété et du rapporteur général, Ibrahim Berthé, la présidente de la Cndh, Me Kadidia Sangaré, a dressé la situation des droits de l’Homme à travers ce doucement de 12 pages. Le rapport annuel 2011 fait état des droits civils et politiques, des droits économiques, sociaux et culturels, en accordant une place de choix à la situation des femmes et des enfants. Le document traite également de la mise en œuvre des recommandations issues de l’examen périodique universel 2008 et du rapport 2010 de la Cndh.
Malgré les efforts du gouvernement pour la mise en œuvre des recommandations et l’adoption des textes relatifs du Code des personnes et de la famille, la carte judiciaire, etc, des insuffisances subsistent. Me Kadidia Sangaré estime que la crise a engendré de graves violations des droits de l’Homme tant au nord qu’au sud du pays avec les événements du 30 avril au 1er mai 2012.
Parlant du rapport circonstancié sur les évènements de 2012, la présidente de la Cndh a expliqué que la situation de cette année est catastrophique. Ce document note les atteintes aux droits de l’homme commises par les mouvements armés, notamment les atteintes à la liberté religieuse et aux droits culturels, les crimes de guerre et le génocide, les atteintes aux droits de l’enfant, les cas de viol, les amputations et châtiments corporels, les lapidations, les atteintes aux libertés publiques, la crise humanitaire, le droit à la liberté de presse, etc.
Le rapport circonstancié dénonce aussi, en rapport avec la rupture de l’ordre constitutionnel, les arrestations arbitraires, la destruction, le vol et le pillage des biens publics et privés, les agressions physiques, les affrontements entre bérets rouges et bérets verts, des exécutions sommaires, des tortures, des traitements cruels et inhumains de détenus.
Nouhoum DICKO
Le Mali est au centre de l’actualité internationale et cela par la faute du CAPITAINE sanogo, qui avide d’argent et de pouvoir a remis les 2/3 du pays aux bandits armés. Sinon comment comprendre qu’à près 6 mois du départ d’ATT, aucune action militaire n’a été entreprise pour la libération du nord mali. Pire cette coalition d’alcooliques de KATI refuse même l’arrivée de la CEDEAO pour aider le mali, que le ridicule ne tue plus.
La junte a menti au peuple malien en disant qu’ATT n’avait pas commandé des armes et ne voulait pas faire la guerre mais aujourd’hui elle se rétracte pour dire que seules les armes commandées par ATT peuvent libérer le Nord. O vaillant peuple malien notre destin est entrain d’être bafouillé par la junte et le DICKO du HCI ? Nous devons prendre conscience et agir au plus vite.
Voyez comme Sanogo a voulu forcer des nominations à la police, les soit disant qui l’ont aidé à commettre le forfait du 22 mars ont monté de grade de façon exponentielle.
Le rapport confidentiel de l’ONU confirme ce que nous savions déjà, la connexion de la junte avec les pros BAGBO pour déstabiliser la CI mais aussi le recrutement des mercenaires pour déstabiliser aussi le FASO. Oumar MARICO sert de trait d’union entre les opposants de ces deux pays et la junte d’une part et d’autre part entre les opposants de ces deux pays et les bandits armés qui sévissent au nord enfin de déstabiliser nos pays voisins qui veulent nous aider au non de la solidarité.
La roue de l’histoire tourne et chacun aura son tour. L’exécution sommaire de plus de 20 militaires bérets rouges enfouis dans une fosse commune sera sans nul doute l’événement qui rattrapera cette clique de bandits de KATI qui en réalité font plus de maux que le MNLA et autres.
Comments are closed.