L’évolution du dossier de notre confrère, Boukary Daou, emprisonné depuis bientôt un mois à la maison d’arrêt centrale de Bamako, dépasse tout entendement. Me Moctar Mariko, président de l’Association Malienne des Droits de l’Homme serait interdit à le voir en prison.
Cet acte incompréhensible s’est passé le jeudi dernier, quand Me Moctar Mariko est allé rendre visite aux prisonniers à la maison d’arrêt centrale de Bamako. Des consignes strictes ont été données pour lui interdire de rencontrer notre confrère, Boukary Daou, Directeur de Publication du journal Le Républicain, emprisonné pour avoir publié la fameuse lettre d’un capitaine en colère contre les avantages accordés au capitaine Sanogo.
« Me Moctar Mariko à son retour de la Haye, où il était allé pour une mission dans le cadre de sa fonction, a rendu visite aux prisonniers détenus à la prison centrale de Bamako jeudi dernier dans la matinée. Quand il a voulu voir Boukary Daou, le régisseur a catégoriquement refusé. Car les instructions qui lui ont été données, n’autorisent l’accès à personne. Excepté les avocats et les parents de Daou. », Nous a confié des sources proches du président de l’AMDH.
Me Moctar Mariko très surpris de cette décision, aurait décliné son identité au régisseur. Malgré tout, le niet était catégorique. L’avocat voulant savoir la source de ces instructions, n’a eu aucune explication.
A sa demande, il a pu rencontrer autres prisonniers sans problème.
Pourquoi a-t-on empêché Me Moctar Mariko de rencontrer notre confrère? Pourtant sa qualité d’avocat et surtout de président d’une association qui défend les droits de l’homme l’y autorise pleinement.
Les geôliers de Daou ont-ils eu peur qu’il ne fasse des révélations sur les conditions de sa détention ?
C’est peut-être la seule hypothèse crédible dans cette affaire. Car la liberté d’expression n’existe plus au Mali et nous sommes les premières victimes (journalistes) pour avoir toujours dit la vérité.
Boubacar Yalkoué
Vous ne comprendrez pas car l’ignorance a pris le pas sur tout au Mali. Liberté de presse ne signifie guerre anarchie. Cet ignorant journaliste est déjà lâché par les siens et il doit être jugé comme un vulgaire prisonnier de droit commun faiseur de trouble dans la rue.
la liberter dexpresion va reprendre fin juillet inchalat la france est la pour ca libre libre et les chiot vont rentrer danns les caserne
HEY QUI QUALIFIES TU DE CHIOTS ? MEFIE TOI ET CONTRÖLE TON LANGUAGE
LE COUP A ETE TRES TRES SALUTAIRE ET VIVE SANOGO ET LE CNDRE.
C’est honteux et scandaleux de laisser Sanogo emprisonner qui et quant il veut.
Merci mon Frere le Mali est un pays FOUTU a Jamais, ca fait vraiment honte d être malien aujourd’hui a cause de nos INCONSCIANT,insouciant DIRIGEANTS , sanogo, qui a fait un coup d etat ds un pays ou il y a president democratiquement elu, suspendre la constitution, tuer des berets rouges et des civils maliens, il ya Quoi de plus pire que Ceci?mais sanogo n est pas en prison, au CONTRAIRE c est sanogo qui imprisonne les gens,, personne ne leve le petit doigt, quel pays honteux sur tous les plans qu’on peut imaginer,MIEUX VAUT LES ISLAMISTES QUE SANOGO REIGNER DE TELLE FACON, le Mali a Besoin d être URGEMMENT sous TUTELLE , RECOLONISER , par l’occident…..
C’est le droit malien qui enferme quelqu’un pas Sanogo,bon sens.Pourquoi cette fixation sur des gens,le Monsieur a publie un article submercible et dangereux pour l’unite du pays,il a ensuite ete interpele comme la loi le reclame.Maintenant laisser la justice faire son boulot,cette justice a ete faite par tous les maliens,comme on le dit DURA LEX SED LEX(la loi est dure,mais c’est la loi).Mr Daou doit faire face a un devoir de responsbilite,il doit assumer le contenu de son article de la justice.ATT avait raison de placardiser tous les rapports du VEGAL,car les faiseurs de loi au Mali ne sont pas prets a faire face a la justice.On veut quelques choses,mais on aime faire son contraire.
VIVE LA JUSTICE MALIENNE SOUVERAINE ET INDEPENDANTE.
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